Amazon vient d'obtenir un brevet relatif à la conception d'une "page 404" contextuelle, qui proposerait des contenus associés à la requête initiale de l'internaute, de façon à inciter ce dernier à poursuivre sa navigation sur le site. Le géant américain du commerce en ligne n'en est pas à son coup d'essai en matière de brevets puisqu'il avait déjà tenté de protéger des idées comme l'achat en un clic ou le concept du bon d'achat envoyé par courrier électronique.
L'erreur 404, que vous avez probablement déjà rencontrée, est retournée par un serveur Web lorsque l'on cherche à accéder à une page ou à un contenu qui n'existe pas à l'adresse indiquée. Traditionnellement, le navigateur affiche alors le message "404 File Not Found", mais ce code d'erreur peut être personnalisé et intégrer, par exemple, un script qui redirigera l'internaute vers la page d'accueil du site concerné.
Dans une demande de brevet déposée le 5 août 2003 et validée par le Bureau américain des brevets le 29 janvier dernier, Amazon cherche à faire protéger le concept d'une page d'erreur qui fournirait des liens vers des contenus proches de ce que l'internaute cherchait à obtenir, idée qu'il résume par la proposition suivante : "méthode de traitement visant à fournir à l'utilisateur un contenu réactif lorsqu'une erreur survient au chargement d'une page".
Ici, l'idée serait d'analyser l'adresse Web (URL) entrée par l'internaute pour déterminer quel pouvait être le contenu recherché puis lui retourner un message d'erreur adapté, qui pourrait par exemple être accompagné d'un lien vers une page similaire en termes de contenus, d'une version mise en cache de la page inaccessible si tant est qu'elle ait existé, d'une page proche piochée dans l'historique de navigation de l'utilisateur ou une page générée dynamiquement qui présenterait une série de liens vers des contenus alternatifs.
Ici, Amazon cherche à protéger aussi bien l'idée de l'affichage d'un contenu contextuel que l'outil d'analyse qui permettrait de déterminer quels sont les contenus pertinents à renvoyer à l'utilisateur, et couvre un champ d'éventualités le plus large possible au lieu de décrire une technologie qui serait déjà opérationnelle. Le spécialiste de la vente de biens culturels pourrait profiter d'un tel dispositif pour rediriger intelligemment les internautes vers d'autres pages de son site lorsque ces derniers font une erreur de saisie ou arrivent sur la page d'un produit qui n'est plus au catalogue.
L'erreur 404, que vous avez probablement déjà rencontrée, est retournée par un serveur Web lorsque l'on cherche à accéder à une page ou à un contenu qui n'existe pas à l'adresse indiquée. Traditionnellement, le navigateur affiche alors le message "404 File Not Found", mais ce code d'erreur peut être personnalisé et intégrer, par exemple, un script qui redirigera l'internaute vers la page d'accueil du site concerné.
Dans une demande de brevet déposée le 5 août 2003 et validée par le Bureau américain des brevets le 29 janvier dernier, Amazon cherche à faire protéger le concept d'une page d'erreur qui fournirait des liens vers des contenus proches de ce que l'internaute cherchait à obtenir, idée qu'il résume par la proposition suivante : "méthode de traitement visant à fournir à l'utilisateur un contenu réactif lorsqu'une erreur survient au chargement d'une page".
Ici, l'idée serait d'analyser l'adresse Web (URL) entrée par l'internaute pour déterminer quel pouvait être le contenu recherché puis lui retourner un message d'erreur adapté, qui pourrait par exemple être accompagné d'un lien vers une page similaire en termes de contenus, d'une version mise en cache de la page inaccessible si tant est qu'elle ait existé, d'une page proche piochée dans l'historique de navigation de l'utilisateur ou une page générée dynamiquement qui présenterait une série de liens vers des contenus alternatifs.
Ici, Amazon cherche à protéger aussi bien l'idée de l'affichage d'un contenu contextuel que l'outil d'analyse qui permettrait de déterminer quels sont les contenus pertinents à renvoyer à l'utilisateur, et couvre un champ d'éventualités le plus large possible au lieu de décrire une technologie qui serait déjà opérationnelle. Le spécialiste de la vente de biens culturels pourrait profiter d'un tel dispositif pour rediriger intelligemment les internautes vers d'autres pages de son site lorsque ces derniers font une erreur de saisie ou arrivent sur la page d'un produit qui n'est plus au catalogue.
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