L'équipe en charge du développement de Windows 7 l'a confirmé cette semaine : le successeur de Windows Vista conservera la fonction UAC (User Account Control), mais celle-ci sera remaniée de façon à se révéler moins pénible pour les utilisateurs. Ben Fathi, vice président de la division Windows Core Operating System chez Microsoft, indique que ce qui a été identifié comme les quatre principaux défauts de l'UAC devraient être corrigés.
Activée par défaut avec Windows Vista, l'UAC part du principe qu'il est nécessaire de faire valider certaines actions dans un environnement sécurisé. Lorsque le système détecte une action susceptible d'avoir un impact sur son état, comme l'installation d'un pilote ou le lancement d'un exécutable dont la provenance n'est pas identifiée, il affiche une demande de conformation. Cette dernière est ouverte dans un environnement dit sécurisé, de façon à ce qu'une application ne puisse pas elle-même valider son action.
Intéressant sur le plan de la sécurité, l'UAC s'est aussi révélé un mécanisme assez envahissant, conduisant de nombreux utilisateurs à purement et simplement le désactiver, même si l'arrivée du SP1 de Vista a quelque peu contribué à améliorer les choses. Pour Microsoft, il importait donc de revoir le fonctionnement de l'UAC, d'autant que de l'aveu même de Ben Fathi, 40% des messages générés sont provoqués par le système d'exploitation, et non par une application tierce.
Soucieux de montrer que les nombreux retours suscités par l'UAC ont été pris en compte, Ben Fathi indique qu'avec Windows 7, le nombre de fenêtres d'avertissement devrait être considérablement réduit, de façon ne pas en galvauder le message. Le nouvel UAC devrait également être en mesure d'afficher des informations sur l'action provoquée. Enfin, l'utilisateur aura la possibilité d'en régler le fonctionnement. De plus amples informations sur la gestion des droits au sein de 7 devraient être données à l'occasion des sessions techniques de la conférence PDC, fin octobre.
Activée par défaut avec Windows Vista, l'UAC part du principe qu'il est nécessaire de faire valider certaines actions dans un environnement sécurisé. Lorsque le système détecte une action susceptible d'avoir un impact sur son état, comme l'installation d'un pilote ou le lancement d'un exécutable dont la provenance n'est pas identifiée, il affiche une demande de conformation. Cette dernière est ouverte dans un environnement dit sécurisé, de façon à ce qu'une application ne puisse pas elle-même valider son action.
Intéressant sur le plan de la sécurité, l'UAC s'est aussi révélé un mécanisme assez envahissant, conduisant de nombreux utilisateurs à purement et simplement le désactiver, même si l'arrivée du SP1 de Vista a quelque peu contribué à améliorer les choses. Pour Microsoft, il importait donc de revoir le fonctionnement de l'UAC, d'autant que de l'aveu même de Ben Fathi, 40% des messages générés sont provoqués par le système d'exploitation, et non par une application tierce.
Soucieux de montrer que les nombreux retours suscités par l'UAC ont été pris en compte, Ben Fathi indique qu'avec Windows 7, le nombre de fenêtres d'avertissement devrait être considérablement réduit, de façon ne pas en galvauder le message. Le nouvel UAC devrait également être en mesure d'afficher des informations sur l'action provoquée. Enfin, l'utilisateur aura la possibilité d'en régler le fonctionnement. De plus amples informations sur la gestion des droits au sein de 7 devraient être données à l'occasion des sessions techniques de la conférence PDC, fin octobre.
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