Suite à l'attribution de la quatrième licence mobile à Free Mobile, l'Autorité de régulation des télécoms (Arcep) annonce la mise en place d'un nouvel appel d'offres dédié aux deux blocs de fréquence 3G qui sont encore disponibles dans la bande 2,1 Ghz. Tous les opérateurs sont susceptibles de présenter un dossier avant le 11 mai prochain.
Rappelons que la quatrième licence 3G, qui vient s'ajouter aux trois que détiennent Orange, SFR et Bouygues Telecom, couvrait à l'origine une plage de fréquences de 15 MHz. Afin de faciliter l'arrivée d'un quatrième acteur, il a toutefois été décidé de la segmenter en trois blocs de 5 MHz chacun. Le premier, réservé à un nouvel acteur, a finalement été attribué à Free Mobile. Les deux autres, qui doivent permettre à un opérateur d'accroitre les capacités de son réseau, seront attribués au terme de cet appel d'offres.
L'Autorité indique que les candidats seront départagés selon deux critères : « le niveau des engagements qu'ils prendront en vue d'améliorer l'accueil des opérateurs mobiles virtuels (MVNO) et le montant financier qu'ils proposeront ». Le ticket d'entrée minimum est fixé à 120 millions d'euros pour chacun de ces deux blocs d'environ 5 MHz, soit la moitié de la somme déboursée par Free pour obtenir les fréquences réservées à un nouvel entrant.
« Concernant l'accueil des MVNO, l'appel à candidatures invite les candidats à prendre des engagements permettant d'améliorer la concurrence sur le marché de gros et d'augmenter l'autonomie commerciale des MVNO sur le marché de détail. Il les invite également à proposer aux MVNO une plus grande autonomie technique et de meilleures conditions économiques », précise l'Arcep dans un communiqué.
Rappelons que la quatrième licence 3G, qui vient s'ajouter aux trois que détiennent Orange, SFR et Bouygues Telecom, couvrait à l'origine une plage de fréquences de 15 MHz. Afin de faciliter l'arrivée d'un quatrième acteur, il a toutefois été décidé de la segmenter en trois blocs de 5 MHz chacun. Le premier, réservé à un nouvel acteur, a finalement été attribué à Free Mobile. Les deux autres, qui doivent permettre à un opérateur d'accroitre les capacités de son réseau, seront attribués au terme de cet appel d'offres.
L'Autorité indique que les candidats seront départagés selon deux critères : « le niveau des engagements qu'ils prendront en vue d'améliorer l'accueil des opérateurs mobiles virtuels (MVNO) et le montant financier qu'ils proposeront ». Le ticket d'entrée minimum est fixé à 120 millions d'euros pour chacun de ces deux blocs d'environ 5 MHz, soit la moitié de la somme déboursée par Free pour obtenir les fréquences réservées à un nouvel entrant.
« Concernant l'accueil des MVNO, l'appel à candidatures invite les candidats à prendre des engagements permettant d'améliorer la concurrence sur le marché de gros et d'augmenter l'autonomie commerciale des MVNO sur le marché de détail. Il les invite également à proposer aux MVNO une plus grande autonomie technique et de meilleures conditions économiques », précise l'Arcep dans un communiqué.
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