Selon une récente étude menée par l'agence Lightspeed Research, les enchères en ligne en France sont sur le déclin : en moyenne, seulement 25% des français ont participé à des enchères en ligne dans les 6 derniers mois, contre 64% des anglais et des allemands.
Une constatation qui souligne la perplexité des internautes français face à ce type de pratique, à une heure où des sites d'annonces comme Leboncoin.fr ou Priceminister grignotent de plus en plus le marché des enchères en ligne. Ainsi, 55% des internautes qui ne participent pas aux enchères sur le Net expliquent qu'ils sont méfiants à l'égard de ce genre de service.
L'enquête révèle également que les français adeptes des enchères en ligne se tournent majoritairement vers les produits neufs, délaissant à 48% les objets de seconde main. 28% n'enchérissent d'ailleurs que sur des produits jamais utilisés auparavant.
Mais l'exigence ne se fait pas à n'importe quel tarif : c'est évidemment la recherche des prix les plus bas qui poussent 25% des français à se tourner, encore aujourd'hui, vers des sites comme Ebay. 72% des adeptes estiment qu'ils paieraient leurs achats forcément plus chers en magasin que sur les sites d'enchères. Néanmoins, un tiers des utilisateurs ne prennent pas la peine de comparer les prix appliqués sur le service avec ceux proposés sur des sites de ventes en ligne standards.
On notera au final que si les français amateurs d'enchères en ligne ne sont pas les plus nombreux, ils affichent tout de même un enthousiasme certain face à cette pratique : 21% admettent aimer l'excitation provoquée par la participation à des enchères sur Internet. 40% avouent également se coucher parfois plus tard, et 15% se lever plus tôt, pour enchérir. 6% ont même déjà réglé leur réveil au milieu de la nuit pour être sûrs de ne pas laisser filer l'objet convoité.
Selon Ralph Risk, directeur marketing de Lightspeed Research, les réticences des français prendraient leur source dans la crainte des produits contrefaits. Et ce n'est sans doute pas un tort, puisque sur les utilisateurs du service, 14% indiquent être déjà tombés sur des imitations. « Le secteur des enchères en ligne ne capte qu'un quart des consommateurs français là où il séduit deux tiers d'acheteurs au Royaume-Uni et en Allemagne. Il appartient donc aux sites d'adresser les craintes exprimées par les consommateurs, en particulier la peur des contrefaçons. » conclut Risk.
Une constatation qui souligne la perplexité des internautes français face à ce type de pratique, à une heure où des sites d'annonces comme Leboncoin.fr ou Priceminister grignotent de plus en plus le marché des enchères en ligne. Ainsi, 55% des internautes qui ne participent pas aux enchères sur le Net expliquent qu'ils sont méfiants à l'égard de ce genre de service.
L'enquête révèle également que les français adeptes des enchères en ligne se tournent majoritairement vers les produits neufs, délaissant à 48% les objets de seconde main. 28% n'enchérissent d'ailleurs que sur des produits jamais utilisés auparavant.
Mais l'exigence ne se fait pas à n'importe quel tarif : c'est évidemment la recherche des prix les plus bas qui poussent 25% des français à se tourner, encore aujourd'hui, vers des sites comme Ebay. 72% des adeptes estiment qu'ils paieraient leurs achats forcément plus chers en magasin que sur les sites d'enchères. Néanmoins, un tiers des utilisateurs ne prennent pas la peine de comparer les prix appliqués sur le service avec ceux proposés sur des sites de ventes en ligne standards.
On notera au final que si les français amateurs d'enchères en ligne ne sont pas les plus nombreux, ils affichent tout de même un enthousiasme certain face à cette pratique : 21% admettent aimer l'excitation provoquée par la participation à des enchères sur Internet. 40% avouent également se coucher parfois plus tard, et 15% se lever plus tôt, pour enchérir. 6% ont même déjà réglé leur réveil au milieu de la nuit pour être sûrs de ne pas laisser filer l'objet convoité.
Selon Ralph Risk, directeur marketing de Lightspeed Research, les réticences des français prendraient leur source dans la crainte des produits contrefaits. Et ce n'est sans doute pas un tort, puisque sur les utilisateurs du service, 14% indiquent être déjà tombés sur des imitations. « Le secteur des enchères en ligne ne capte qu'un quart des consommateurs français là où il séduit deux tiers d'acheteurs au Royaume-Uni et en Allemagne. Il appartient donc aux sites d'adresser les craintes exprimées par les consommateurs, en particulier la peur des contrefaçons. » conclut Risk.
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