L'université de Californie, qui fournissait jusque-là des comptes Gmail à son personnel et ses professeurs, a décidé d'arrêter d'utiliser le service de messagerie de Google.
En cause : des soupçons de la part des responsables du campus, concernant la confidentialité des échanges et la sécurité du service. Google Buzz est en particulier montré du doigt comme étant « la source des vulnérabilités pour la vie privée et la sécurité ».
Le coeur du problème semble donc être Buzz, le réseau social que Google avait intégré à sa messagerie de façon cavalière le 9 février dernier. Jugé intrusif par les utilisateurs de Gmail, mais également par les hautes sphères protectrices de la vie privée sur Internet, le service avait été modifié quelques jours seulement après son apparition sur la toile. Mais le mal était déjà fait : paradoxalement, Google Buzz a bénéficié d'un mauvais... Buzz, des plus tenaces.
Ce sont donc 30 000 comptes Gmail que l'université de Californie va migrer sur une autre plateforme.
Ce n'est pas la première fois qu'une faculté américaine fait marche arrière concernant son utilisation de la messagerie de Google : Mashable rapporte que le mois dernier, c'est l'université de Yale qui annulait son projet d'utilisation de Gmail sur son campus. La question de la confidentialité et de la sécurisation des données dans le cloud avait alors été évoquée.
En cause : des soupçons de la part des responsables du campus, concernant la confidentialité des échanges et la sécurité du service. Google Buzz est en particulier montré du doigt comme étant « la source des vulnérabilités pour la vie privée et la sécurité ».
Le coeur du problème semble donc être Buzz, le réseau social que Google avait intégré à sa messagerie de façon cavalière le 9 février dernier. Jugé intrusif par les utilisateurs de Gmail, mais également par les hautes sphères protectrices de la vie privée sur Internet, le service avait été modifié quelques jours seulement après son apparition sur la toile. Mais le mal était déjà fait : paradoxalement, Google Buzz a bénéficié d'un mauvais... Buzz, des plus tenaces.
Ce sont donc 30 000 comptes Gmail que l'université de Californie va migrer sur une autre plateforme.
Ce n'est pas la première fois qu'une faculté américaine fait marche arrière concernant son utilisation de la messagerie de Google : Mashable rapporte que le mois dernier, c'est l'université de Yale qui annulait son projet d'utilisation de Gmail sur son campus. La question de la confidentialité et de la sécurisation des données dans le cloud avait alors été évoquée.
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