Sur le blog officiel de Canonical, Mark Shuttleworth, fondateur de la société, présente une version du système GNU/Linux Ubuntu baptisée Ubuntu Light et spécialement conçue pour être installée en dual boot. Ubuntu Light fait alors figure d'instant on, c'est-à-dire un système alternatif qui démarre très rapidement et ne proposant que le nécessaire pour surfer sur Internet.
M. Shuttleworth explique que pour ce type de système, l'utilisateur n'a pas besoin d'un large éventail d'applications ou un explorateur de fichier trop poussé. Il précise cependant : "nous souhaitons conserver la possibilité d'avoir quelques applications en favoris", une initiative qui résulte d'une étude montrant qu'en moyenne l'utilisateur d'Ubuntu possède entre 3 et 10 raccourcis au sein de la barre des tâches.
Avec la nouvelle interface Unity, Canonical repousse un peu plus loin l'ergonomie d'Ubuntu Netbook Remix en optimisant davantage l'agencement pour les plus petits écrans. Dans la mesure où "les ordinateurs portables présentent généralement un écran toujours plus large", c'est donc sur la hauteur de la dalle que se jouera l'optimisation de l'affichage. Par ailleurs, la barre de lancement, placée sur la partie gauche de l'écran, présentera des icônes conçues pour les interfaces tactiles.
Ubuntu Light, conçu pour netbooks et ordinateurs portables classiques, est disponible pour les OEM dès aujourd'hui. Mark Shuttleworth précise : "chaque image disque sera modifiée pour optimiser le démarrage en fonction des spécificités matérielles de la machine et sera fournie avec une palette d'outils pour Windows afin de gérer les configurations du dual boot". Pour cette raison, Ubuntu Light ne sera pas officiellement distribué au téléchargement à côté de la version classique du système. Avec Ubuntu Light, Canonical pourrait fortement augmenter ses parts de marché en pariant sur un segment qui se complète à Windows. L'idée d'un système d'exploitation centré sur les usages Internet n'est pas nouvelle et l'on pense immédiatement au prochain Chrome OS. Avec ce dernier, Google pourrait en effet suivre une stratégie similaire.
Lors de l'Ubuntu Developer Summit, qui se tiendra cette semaine à Bruxelles, Canonical invitera les développeurs à plancher sur une version de Unity capable de supplanter Ubuntu Netbook Remix. Plus qu'un simple instant on, cette mouture devra prendre en charge un plus grand nombre d'applications et se doter d'un meilleur explorateur de fichiers. Une première ébauche a été conçue pour le gestionnaire des applications.
M. Shuttleworth explique que pour ce type de système, l'utilisateur n'a pas besoin d'un large éventail d'applications ou un explorateur de fichier trop poussé. Il précise cependant : "nous souhaitons conserver la possibilité d'avoir quelques applications en favoris", une initiative qui résulte d'une étude montrant qu'en moyenne l'utilisateur d'Ubuntu possède entre 3 et 10 raccourcis au sein de la barre des tâches.
Avec la nouvelle interface Unity, Canonical repousse un peu plus loin l'ergonomie d'Ubuntu Netbook Remix en optimisant davantage l'agencement pour les plus petits écrans. Dans la mesure où "les ordinateurs portables présentent généralement un écran toujours plus large", c'est donc sur la hauteur de la dalle que se jouera l'optimisation de l'affichage. Par ailleurs, la barre de lancement, placée sur la partie gauche de l'écran, présentera des icônes conçues pour les interfaces tactiles.
Ubuntu Light, conçu pour netbooks et ordinateurs portables classiques, est disponible pour les OEM dès aujourd'hui. Mark Shuttleworth précise : "chaque image disque sera modifiée pour optimiser le démarrage en fonction des spécificités matérielles de la machine et sera fournie avec une palette d'outils pour Windows afin de gérer les configurations du dual boot". Pour cette raison, Ubuntu Light ne sera pas officiellement distribué au téléchargement à côté de la version classique du système. Avec Ubuntu Light, Canonical pourrait fortement augmenter ses parts de marché en pariant sur un segment qui se complète à Windows. L'idée d'un système d'exploitation centré sur les usages Internet n'est pas nouvelle et l'on pense immédiatement au prochain Chrome OS. Avec ce dernier, Google pourrait en effet suivre une stratégie similaire.
Lors de l'Ubuntu Developer Summit, qui se tiendra cette semaine à Bruxelles, Canonical invitera les développeurs à plancher sur une version de Unity capable de supplanter Ubuntu Netbook Remix. Plus qu'un simple instant on, cette mouture devra prendre en charge un plus grand nombre d'applications et se doter d'un meilleur explorateur de fichiers. Une première ébauche a été conçue pour le gestionnaire des applications.
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