En terme de parts de marché, les mobiles utilisant l'OS Android viennent de prendre la seconde place des ventes aux Etats-Unis. Au premier trimestre 2010, sur le territoire américain, la stratégie de Google semble donc avoir été celle qui a donné le plus de résultats. Explications.
Le cabinet américain de conseil NPD Group vient de mettre à disposition une partie de son étude portant sur le marché des OS de smartphones. Au bilan comptable, sur le premier trimestre 2010, il se serait vendu 28 % de téléphones sous Android, contre 21 % d'iPhones. De son côté, le canadien RIM, avec son Blackberry, continue sa marche en tête avec 36 % des parts de marché. Apple glisse donc de la seconde à la troisième place des OS mobiles.
L'étude entre dans les détails en estimant que la compétitivité des concurrents d'Apple s'est récemment renforcée. D'un côté, Google a préféré l'ouverture en autorisant tous les constructeurs à adopter Android sur leurs mobiles. De l'autre, les opérateurs ont plus récemment fait le choix de mettre en avant des forfaits plus attractifs vers des mobiles « non-Apple ».
La politique d'exclusivité de la firme de Cupertino aurait-elle vécue ? Pas certain. Avec un iPhone 3GS vieux de presqu'un an, il est logique que ses parts de marché s'érodent quelque peu. De même, on promet beaucoup du côté d'Apple. Outre l'OS 4.0, certaines rumeurs laissent déjà entrevoir une nouvelle génération de smartphones siglés de la pomme dès le 7 juin prochain. La firme est donc très loin de s'avouer vaincue.
De l'autre côté, la stratégie de Google s'avère payante puisque les opérateurs Telecoms souhaitent régulièrement proposer de nouvelles offres couplant mobile et forfait. La fréquence des sorties de nouveaux appareils Apple serait donc apparemment trop lente pour eux. Il est fort probable que les consommateurs soient séduits par des offres ou des promotions nouvelles.
Loin d'une guerre Google-Apple à l'image du combat Mac-PC, le bras de fer entre les deux géants promet encore quelques belles passes d'armes. Outre l'argument de la bidouillabilité et du Libre, il se peut que désormais le grand public soit plus familier avec les smartphones. A l'avenir, Mme Michu préfèrera, peut être, une solution plus libre et surtout moins chère
Le cabinet américain de conseil NPD Group vient de mettre à disposition une partie de son étude portant sur le marché des OS de smartphones. Au bilan comptable, sur le premier trimestre 2010, il se serait vendu 28 % de téléphones sous Android, contre 21 % d'iPhones. De son côté, le canadien RIM, avec son Blackberry, continue sa marche en tête avec 36 % des parts de marché. Apple glisse donc de la seconde à la troisième place des OS mobiles.
L'étude entre dans les détails en estimant que la compétitivité des concurrents d'Apple s'est récemment renforcée. D'un côté, Google a préféré l'ouverture en autorisant tous les constructeurs à adopter Android sur leurs mobiles. De l'autre, les opérateurs ont plus récemment fait le choix de mettre en avant des forfaits plus attractifs vers des mobiles « non-Apple ».
La politique d'exclusivité de la firme de Cupertino aurait-elle vécue ? Pas certain. Avec un iPhone 3GS vieux de presqu'un an, il est logique que ses parts de marché s'érodent quelque peu. De même, on promet beaucoup du côté d'Apple. Outre l'OS 4.0, certaines rumeurs laissent déjà entrevoir une nouvelle génération de smartphones siglés de la pomme dès le 7 juin prochain. La firme est donc très loin de s'avouer vaincue.
De l'autre côté, la stratégie de Google s'avère payante puisque les opérateurs Telecoms souhaitent régulièrement proposer de nouvelles offres couplant mobile et forfait. La fréquence des sorties de nouveaux appareils Apple serait donc apparemment trop lente pour eux. Il est fort probable que les consommateurs soient séduits par des offres ou des promotions nouvelles.
Loin d'une guerre Google-Apple à l'image du combat Mac-PC, le bras de fer entre les deux géants promet encore quelques belles passes d'armes. Outre l'argument de la bidouillabilité et du Libre, il se peut que désormais le grand public soit plus familier avec les smartphones. A l'avenir, Mme Michu préfèrera, peut être, une solution plus libre et surtout moins chère
-
Auteur
-
Origine