L'Arcep vient de dévoiler quels sont les opérateurs toujours en course pour l'octroi des deux blocs de fréquences mobiles de troisième génération (3G) résiduelles. Ces fréquences sont aujourd'hui disponibles sous la forme de deux blocs d'environ 5 MHz dans la bande des 2,1 GHz. Elles seront donc prochainement mises aux enchères.
Après candidature, l'=26&cHash=06769b1919]Arcep, l'autorité chargée de la régulation des communications électroniques a fait le tri pour retenir Free, Orange et SFR comme candidats aux fréquences mobiles 3G restantes. Les trois premières licences 3G avaient déjà été attribuées à Orange, SFR et Bouygues Telecom. La quatrième a été divisée en trois blocs dont l'un a été attribué à Iliad.
Les fréquences seront donc mises aux enchères et le nom du gagnant sera connu « avant la fin mai », indique l'Arcep. Pour autant, les candidats ont été obligés de proposer un montant supérieur ou égal à 120 millions d'euros pour chaque bloc. Deux critères seront également retenus, à savoir le niveau des engagements que les opérateurs prendront en vue d'améliorer l'accueil et l'autonomie des MVNO mais aussi le montant financier qu'ils proposeront.
Toujours est-il que l'Arcep explique dans un communiqué que l'attribution de ces fréquences permettra ensuite de lancer les procédures d'attribution des fréquences du dividende numérique (bande 800 MHz) et de la bande 2,6 GHz. Ces innovations seront mises en place afin de favoriser le déploiement des réseaux mobiles à très haut débit.
Après candidature, l'=26&cHash=06769b1919]Arcep, l'autorité chargée de la régulation des communications électroniques a fait le tri pour retenir Free, Orange et SFR comme candidats aux fréquences mobiles 3G restantes. Les trois premières licences 3G avaient déjà été attribuées à Orange, SFR et Bouygues Telecom. La quatrième a été divisée en trois blocs dont l'un a été attribué à Iliad.
Les fréquences seront donc mises aux enchères et le nom du gagnant sera connu « avant la fin mai », indique l'Arcep. Pour autant, les candidats ont été obligés de proposer un montant supérieur ou égal à 120 millions d'euros pour chaque bloc. Deux critères seront également retenus, à savoir le niveau des engagements que les opérateurs prendront en vue d'améliorer l'accueil et l'autonomie des MVNO mais aussi le montant financier qu'ils proposeront.
Toujours est-il que l'Arcep explique dans un communiqué que l'attribution de ces fréquences permettra ensuite de lancer les procédures d'attribution des fréquences du dividende numérique (bande 800 MHz) et de la bande 2,6 GHz. Ces innovations seront mises en place afin de favoriser le déploiement des réseaux mobiles à très haut débit.
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