Spotify, qui lançait fin avril une nouvelle version "sociale" de son client logiciel, vient de mettre en place de nouvelles formules d'accès à son catalogue de quelque 7 millions de titres.
Aux côtés de l'offre payante à 9,99 euros par mois qui permet de stocker en local ses listes de lecture, sur PC comme sur mobile, le Suédois inaugure un nouveau forfait baptisé « Unlimited » qui propose, pour 4,99 euros par mois, un accès sans limite de temps à la musique diffusée depuis le Web (streaming), sans publicités.
En contrepartie, le service introduit une limitation au niveau de son offre gratuite, où la musique est régulièrement entrecoupée de réclames, qui ne fonctionnera plus désormais que 20 heures par mois.
« Tous ceux qui sont satisfaits du service dont ils profitent actuellement ne seront pas touchés par ces mises à jour », indique Spotify : les utilisateurs actuels devraient donc pouvoir rester sur la formule dont ils profitent aujourd'hui, notamment sur la version gratuite, qui jusqu'ici fonctionnait sans limite de durée dans le temps.
Pour Spotify comme pour ses concurrents actifs sur le terrain de la diffusion de musique en ligne à la demande, l'objectif est sans surprise de tenter de fédérer de nouveaux internautes tout en attirant ces derniers vers des formules payantes, bien plus lucratives que l'écoute gratuite financée par la publicité. Une problématique que connaissent déjà fort bien des acteurs comme Deezer, Last.fm ou... Apple, qui avec le rachat de Lala.com a prouvé qu'il s'intéressait à ce modèle de diffusion, complémentaire de son iTunes Store.
Aux côtés de l'offre payante à 9,99 euros par mois qui permet de stocker en local ses listes de lecture, sur PC comme sur mobile, le Suédois inaugure un nouveau forfait baptisé « Unlimited » qui propose, pour 4,99 euros par mois, un accès sans limite de temps à la musique diffusée depuis le Web (streaming), sans publicités.
En contrepartie, le service introduit une limitation au niveau de son offre gratuite, où la musique est régulièrement entrecoupée de réclames, qui ne fonctionnera plus désormais que 20 heures par mois.
« Tous ceux qui sont satisfaits du service dont ils profitent actuellement ne seront pas touchés par ces mises à jour », indique Spotify : les utilisateurs actuels devraient donc pouvoir rester sur la formule dont ils profitent aujourd'hui, notamment sur la version gratuite, qui jusqu'ici fonctionnait sans limite de durée dans le temps.
Pour Spotify comme pour ses concurrents actifs sur le terrain de la diffusion de musique en ligne à la demande, l'objectif est sans surprise de tenter de fédérer de nouveaux internautes tout en attirant ces derniers vers des formules payantes, bien plus lucratives que l'écoute gratuite financée par la publicité. Une problématique que connaissent déjà fort bien des acteurs comme Deezer, Last.fm ou... Apple, qui avec le rachat de Lala.com a prouvé qu'il s'intéressait à ce modèle de diffusion, complémentaire de son iTunes Store.
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