Celui qui était convaincu de trouver des traces d'extraterrestres dans les serveurs de la NASA reste sur le territoire anglais. Le hacker Gary McKinnon vient d'obtenir du nouveau gouvernement le report de son extradition. Sur le site du ministère de l'Intérieur britannique, la nouvelle secrétaire d'état pour les affaires intérieures, Theresa May, indique qu'elle compte réexaminer son cas.
McKinnon a avoué avoir cherché des preuves d'existence d'extra-terrestres sur les ordinateurs des organes de renseignement américains. Du coup, il risque jusqu'à 70 ans de prison (contre 4 au Royaume-Uni) dans les geôles de l'Oncle Sam. De leur côté, les autorités américaines estiment que les irruptions du hacker ont causé des dommages s'élevant entre 700.000 et 800.000 dollars.
Le report de l'extradition se base donc sur le fait que Gary McKinnon souffrirait du syndrome d'Asperger. Cette forme d'autisme affecte la vie sociale de la personne, ses perceptions sensorielles ainsi que sa motricité. Le feuilleton juridique est donc encore loin d'être terminé.
McKinnon a avoué avoir cherché des preuves d'existence d'extra-terrestres sur les ordinateurs des organes de renseignement américains. Du coup, il risque jusqu'à 70 ans de prison (contre 4 au Royaume-Uni) dans les geôles de l'Oncle Sam. De leur côté, les autorités américaines estiment que les irruptions du hacker ont causé des dommages s'élevant entre 700.000 et 800.000 dollars.
Le report de l'extradition se base donc sur le fait que Gary McKinnon souffrirait du syndrome d'Asperger. Cette forme d'autisme affecte la vie sociale de la personne, ses perceptions sensorielles ainsi que sa motricité. Le feuilleton juridique est donc encore loin d'être terminé.
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