Microsoft vient de mettre sur pied une offensive légale pour s'attaquer aux arnaques visant son système de publicité en pay-per-clic. L'entreprise de Redmond a déposé deux plaintes contre ce qu'elle considère être une nouvelle forme de délit sophistiquée.
Microsoft a accusé cette semaine dans ses plaintes des éditeurs de sites web d'utiliser des pratiques de « blanchiment de clics. » Cette expression trouvée par l'entreprise inclut les formes de fraude traditionnelles, au cours desquelles des scripts automatiques ou des personnes génèrent de nombreux clics sur des publicités en ligne, mais qui, selon Microsoft, cachent une autre pratique : le schéma forcerait des clics sur des domaines réservés, et feraient croire qu'ils ont été effectués sur le site web des éditeurs.
Les plaintes de Microsoft visent le webzine scientifique et boutique en ligne - RedOrbit.com, et une dizaine de personnes anonymes. Ils sont accusés de gonfler artificiellement les taux de clic sur les publicités affichées par le site. « En générant frauduleusement un grand volume de clics invalides et en les faisant comptabiliser dans le réseau de publicité de Microsoft, les personnes visées ont tenté de faire du profit illégalement sur le dos des annonceurs, » estime l'une des plaintes. « Microsoft a dépensé de l'argent et des ressources importants pour enquêter et remédier aux effets de leur conduite, en remboursant les annonceurs pour les clics frauduleux générés sur le site RedOrbit.com. »
Pour le président de RedOrbit.com, Eric Ralls, la plainte est sans fondement, et son site ne s'est pas impliqué ni n'a assisté à une fraude au clic. Selon une étude de Click Forensics, qui collecte des données sur la question, environ 17% des clics étaient frauduleux au premier trimestre de l'année 2010. Soit une hausse de 14% par rapport à 2009. Selon Microsoft, RedOrbit a généré près de 75 clics par jour sur son réseau de publicité en 2008. Un chiffre que le système de fraude aurait permis de faire grimper à plus de 10 000 par jour en janvier et février 2009, selon la plainte.
Microsoft a accusé cette semaine dans ses plaintes des éditeurs de sites web d'utiliser des pratiques de « blanchiment de clics. » Cette expression trouvée par l'entreprise inclut les formes de fraude traditionnelles, au cours desquelles des scripts automatiques ou des personnes génèrent de nombreux clics sur des publicités en ligne, mais qui, selon Microsoft, cachent une autre pratique : le schéma forcerait des clics sur des domaines réservés, et feraient croire qu'ils ont été effectués sur le site web des éditeurs.
Les plaintes de Microsoft visent le webzine scientifique et boutique en ligne - RedOrbit.com, et une dizaine de personnes anonymes. Ils sont accusés de gonfler artificiellement les taux de clic sur les publicités affichées par le site. « En générant frauduleusement un grand volume de clics invalides et en les faisant comptabiliser dans le réseau de publicité de Microsoft, les personnes visées ont tenté de faire du profit illégalement sur le dos des annonceurs, » estime l'une des plaintes. « Microsoft a dépensé de l'argent et des ressources importants pour enquêter et remédier aux effets de leur conduite, en remboursant les annonceurs pour les clics frauduleux générés sur le site RedOrbit.com. »
Pour le président de RedOrbit.com, Eric Ralls, la plainte est sans fondement, et son site ne s'est pas impliqué ni n'a assisté à une fraude au clic. Selon une étude de Click Forensics, qui collecte des données sur la question, environ 17% des clics étaient frauduleux au premier trimestre de l'année 2010. Soit une hausse de 14% par rapport à 2009. Selon Microsoft, RedOrbit a généré près de 75 clics par jour sur son réseau de publicité en 2008. Un chiffre que le système de fraude aurait permis de faire grimper à plus de 10 000 par jour en janvier et février 2009, selon la plainte.
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