Le Dr Mark Gasson vient de mettre en application sa théorie selon laquelle un être humain pourrait notamment servir de véhicule à une intrusion informatique. Le professeur à l'université de Reading, au Royaume-Uni, explique s'être implanté une puce programmée pour ouvrir des portes de sécurité et débloquer son téléphone portable automatiquement.
Même si on est encore loin d'imaginer une intrusion informatique depuis des éléments du corps humains, la réalité semble éloignée de références comme l'anime Ghost in the shell. Pourtant, le scientifique confie au quotidien The Telegraph qu'à l'avenir, des implants humains auront un impact sur notre environnement. En particulier sur certains appareils médicaux comme les pacemakers.
Lors de son expérience et après s'être implanté la puce dans la main, le chercheur a remarqué que les autres appareils situés à proximité réagissaient et se trouvaient vérolés à leur tour... Ce projet n'est pas le premier de l'université de Reading. En 2008, des universitaires avaient intégré des cellules cérébrales d'un rat dans un robot (Animat) afin qu'il prenne des décisions de manière autonome.
Ces travaux vont dans le sens d'une meilleure compréhension de l'interface homme-machine et ont pour but, selon les chercheurs, de développer la recherche sur l'épilepsie, les maladies d'Alzheimer et de Parkinson.
Même si on est encore loin d'imaginer une intrusion informatique depuis des éléments du corps humains, la réalité semble éloignée de références comme l'anime Ghost in the shell. Pourtant, le scientifique confie au quotidien The Telegraph qu'à l'avenir, des implants humains auront un impact sur notre environnement. En particulier sur certains appareils médicaux comme les pacemakers.
Lors de son expérience et après s'être implanté la puce dans la main, le chercheur a remarqué que les autres appareils situés à proximité réagissaient et se trouvaient vérolés à leur tour... Ce projet n'est pas le premier de l'université de Reading. En 2008, des universitaires avaient intégré des cellules cérébrales d'un rat dans un robot (Animat) afin qu'il prenne des décisions de manière autonome.
Ces travaux vont dans le sens d'une meilleure compréhension de l'interface homme-machine et ont pour but, selon les chercheurs, de développer la recherche sur l'épilepsie, les maladies d'Alzheimer et de Parkinson.
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