« Internet, c'est fini ». C'est par ces mots que le chanteur et musicien Prince - plus de 100 millions d'albums vendus - a une nouvelle fois condamné les mécaniques de vente en ligne de musique. Dans une interview au quotidien britannique Daily Mirror, il indique ne cesser de chercher de nouveaux canaux de distribution pour sa musique mais réaffirme que ces derniers n'emprunteront jamais Internet, devenu « ringard ».
« Internet, c'est fini. Je ne vois pas pourquoi je donnerais ma musique à iTunes ou à quelqu'un d'autre. Ils ne veulent pas me payer une avance, et après ils sont en colère quand je refuse de leur donner », explique-t-il ainsi.
« Et puis Internet, c'est comme MTV. A une époque, MTV était à la mode, et tout d'un coup, c'est devenu ringard. De toute façon, tous ces ordinateurs et ces gadgets numériques ne servent à rien. Ils se contentent de remplir votre tête de chiffres et ça ne peut pas être bon pour vous », conclut-il.
Engagé dans une véritable réflexion autour du marché de la musique, Prince n'a pas toujours tenu des propos aussi radicaux à propos de la distribution numérique, allant même jusqu'à ouvrir pendant quelques années son propre service de téléchargement, le Musicology Download Store.
De la même façon qu'il n'a jamais voulu laisser une maison de disques régir ses propres productions, l'artiste n'a toutefois pas supporté que certains services en ligne fassent une utilisation qu'il estimait indue de ses oeuvres. En 2007, il avait attaqué en justice YouTube, eBay et The Pirate Bay et a depuis cessé toute expérience de distribution en ligne, préférant inaugurer une formule inédite : la distribution gratuite de son dernier album sous forme de CD avec un journal. C'est d'ailleurs ainsi qu'il proposera son dernier opus, 20TEN. En France, il devait être associé à l'hebdomadaire Courrier International daté du 8 juillet, lequel annonce toutefois un report de dernière minute.
« Internet, c'est fini. Je ne vois pas pourquoi je donnerais ma musique à iTunes ou à quelqu'un d'autre. Ils ne veulent pas me payer une avance, et après ils sont en colère quand je refuse de leur donner », explique-t-il ainsi.
« Et puis Internet, c'est comme MTV. A une époque, MTV était à la mode, et tout d'un coup, c'est devenu ringard. De toute façon, tous ces ordinateurs et ces gadgets numériques ne servent à rien. Ils se contentent de remplir votre tête de chiffres et ça ne peut pas être bon pour vous », conclut-il.
Engagé dans une véritable réflexion autour du marché de la musique, Prince n'a pas toujours tenu des propos aussi radicaux à propos de la distribution numérique, allant même jusqu'à ouvrir pendant quelques années son propre service de téléchargement, le Musicology Download Store.
De la même façon qu'il n'a jamais voulu laisser une maison de disques régir ses propres productions, l'artiste n'a toutefois pas supporté que certains services en ligne fassent une utilisation qu'il estimait indue de ses oeuvres. En 2007, il avait attaqué en justice YouTube, eBay et The Pirate Bay et a depuis cessé toute expérience de distribution en ligne, préférant inaugurer une formule inédite : la distribution gratuite de son dernier album sous forme de CD avec un journal. C'est d'ailleurs ainsi qu'il proposera son dernier opus, 20TEN. En France, il devait être associé à l'hebdomadaire Courrier International daté du 8 juillet, lequel annonce toutefois un report de dernière minute.
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