Après plusieurs semaines de retour forcé dans les garages de Google suite à la série d'affaires concernant Street View et la récupération de données WiFi, les Google Cars devraient être prochainement de retour sur les routes de plusieurs pays.
La firme de Mountain View vient en effet d'annoncer sur son blog la reprise du projet Street View en Irlande, en Norvège, en Afrique du Sud et en Suède dès la semaine prochaine. Google s'est par ailleurs entouré d'experts indépendants, pour s'assurer (et rassurer, au passage) qu'il n'y aura plus de débordements concernant les données enregistrées par les voitures : « Les experts en sécurités indépendants de Stroz Friedberg ont approuvé un protocole pour assurer que les logiciels associés au WiFi ont été supprimés des voitures, avant que celles-ci ne reprennent la route » explique ainsi Brian McClendon, vice-président de l'ingénierie de Google.
Depuis la découverte du pot aux roses en avril par la CNIL allemande, l'affaire du scannage des réseaux WiFi par les Google Cars a fait grand bruit partout dans le monde : après l'Europe, les Etats-Unis et l'Australie s'étaient également intéressés au problème. Google, qui s'était d'abord défendu de toute pratique illégale, avait finalement admis une "collecte accidentelle" de données WiFi, mais également d'informations personnelles concernant les utilisateurs des réseaux scannés.
Aujourd'hui, l'entreprise semble donc vouloir aller de l'avant en faisant preuve de transparence, et en jouant sur le coté utile de son service : « Nous reconnaissons que de graves erreurs ont été commises dans la collecte des données WiFi, et nous avons travaillé pour les corriger rapidement. Mais nous pensons que Street View est un excellent service pour les utilisateurs, pour trouver un hôtel, un restaurant, ou situer un nouveau logement potentiel » conclut McClendon. Des services certes utiles, mais à quel prix ?
La firme de Mountain View vient en effet d'annoncer sur son blog la reprise du projet Street View en Irlande, en Norvège, en Afrique du Sud et en Suède dès la semaine prochaine. Google s'est par ailleurs entouré d'experts indépendants, pour s'assurer (et rassurer, au passage) qu'il n'y aura plus de débordements concernant les données enregistrées par les voitures : « Les experts en sécurités indépendants de Stroz Friedberg ont approuvé un protocole pour assurer que les logiciels associés au WiFi ont été supprimés des voitures, avant que celles-ci ne reprennent la route » explique ainsi Brian McClendon, vice-président de l'ingénierie de Google.
Depuis la découverte du pot aux roses en avril par la CNIL allemande, l'affaire du scannage des réseaux WiFi par les Google Cars a fait grand bruit partout dans le monde : après l'Europe, les Etats-Unis et l'Australie s'étaient également intéressés au problème. Google, qui s'était d'abord défendu de toute pratique illégale, avait finalement admis une "collecte accidentelle" de données WiFi, mais également d'informations personnelles concernant les utilisateurs des réseaux scannés.
Aujourd'hui, l'entreprise semble donc vouloir aller de l'avant en faisant preuve de transparence, et en jouant sur le coté utile de son service : « Nous reconnaissons que de graves erreurs ont été commises dans la collecte des données WiFi, et nous avons travaillé pour les corriger rapidement. Mais nous pensons que Street View est un excellent service pour les utilisateurs, pour trouver un hôtel, un restaurant, ou situer un nouveau logement potentiel » conclut McClendon. Des services certes utiles, mais à quel prix ?
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