Internet Explorer poursuit sa "descente infernale" en Europe, au point d'être pour la première fois détrôné en Allemagne, d'après le dernier baromètre des navigateurs en date du cabinet AT Internet. Le navigateur Web de Microsoft y a perdu 11 % de part de marché en un an, chutant de 50,4 à 39,4 %, pendant que Firefox continuait sa croissance, passant de 41,6 à 48,4 %.
Internet Explorer perd quasiment autant de part de marché en France, 10 %, mais son avance fulgurante le tient encore loin devant Firefox, qui n'a pas ici le même succès. Le premier est effectivement passé de 63,0 à 53,0 % tandis que le second n'a gagné que 2,3 % pour passer de 28,9 à 31,2 %.
À l'échelle européenne, Internet Explorer a perdu plus de 8 points en un an. Le butineur de Microsoft ne représente désormais qu'un peu plus de la moitié du trafic des sites web d'un pays européen, 53,8 % en juin 2010 contre 62,2 % en juin 2009.
Cette chute se fait naturellement au bénéfice des concurrents, et en particulier du plus jeune d'entre eux : Chrome. Le navigateur de Google est celui qui a connu la plus forte croissance puisque sa part de marché a quasiment triplé, passant de 2,3 à 6,8 %. Les multiples campagnes de publicité en sa faveur, de la page d'accueil de Google au métro parisien en passant par la presse écrite, y ont vraisemblablement largement contribué.
Enfin Opera, pourtant à l'initiative du ballot screen, reste quant à lui quasiment stable en passant de 2,2 à 2,4 % en un an.
Internet Explorer perd quasiment autant de part de marché en France, 10 %, mais son avance fulgurante le tient encore loin devant Firefox, qui n'a pas ici le même succès. Le premier est effectivement passé de 63,0 à 53,0 % tandis que le second n'a gagné que 2,3 % pour passer de 28,9 à 31,2 %.
À l'échelle européenne, Internet Explorer a perdu plus de 8 points en un an. Le butineur de Microsoft ne représente désormais qu'un peu plus de la moitié du trafic des sites web d'un pays européen, 53,8 % en juin 2010 contre 62,2 % en juin 2009.
Cette chute se fait naturellement au bénéfice des concurrents, et en particulier du plus jeune d'entre eux : Chrome. Le navigateur de Google est celui qui a connu la plus forte croissance puisque sa part de marché a quasiment triplé, passant de 2,3 à 6,8 %. Les multiples campagnes de publicité en sa faveur, de la page d'accueil de Google au métro parisien en passant par la presse écrite, y ont vraisemblablement largement contribué.
Enfin Opera, pourtant à l'initiative du ballot screen, reste quant à lui quasiment stable en passant de 2,2 à 2,4 % en un an.
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