Depuis plusieurs semaines, les rumeurs vont bon train concernant une probable nouvelle incursion de Google dans le petit monde des réseaux sociaux. Parmi les dernières spéculations on trouve celle, relayée par le Wall Street Journal, qui laisse penser que la firme de Moutain View travaillerait sur un réseau social à destination des joueurs.
En effet, selon le journal, Google serait actuellement en pourparler avec plusieurs éditeurs de jeux orientés social gaming. Parmi les noms cités, on trouve Playdom (racheté hier par Disney), Playfish (une filiale d'Electronic Arts) ou encore Zynga, qui s'est illustré récemment en signant un contrat de 5 ans avec Facebook.
Si l'objectif des démarches effectuées par Google reste encore flou, ce qui l'est moins, c'est la volonté de l'entreprise de se démarquer de la concurrence : le PDG de la firme, Eric Schmidt, a récemment refusé de confirmer le développement d'un site de réseau social, il a néanmoins réfuté l'idée que Google tablerait actuellement sur une "copie" de Facebook. « Le monde n'a pas besoin d'une copie de quelque chose existant déjà » s'est-il contenté de déclarer.
Du côté des éditeurs de jeux, ce nouveau réseau, s'il venait effectivement à devenir une réalité, pourrait leur offrir plus de perspective, dans la mesure où ils sont actuellement principalement tributaires de Facebook et de ses 500 millions d'utilisateurs : Zynga revendique par exemple 60 millions de joueurs mensuels sur Farmville, basé sur le site de Mark Zuckerberg, qui ponctionne au passage 30% des revenus du jeu.
Interrogé par le Wall Street Journal, un porte-parole de Facebook indique que si l'entreprise de désire pas spéculer sur le projet encore tenu officiellement secret de Google, elle reste aux aguets par rapport à la concurrence et « attend avec impatience ce que les autres ont à offrir. »
En effet, selon le journal, Google serait actuellement en pourparler avec plusieurs éditeurs de jeux orientés social gaming. Parmi les noms cités, on trouve Playdom (racheté hier par Disney), Playfish (une filiale d'Electronic Arts) ou encore Zynga, qui s'est illustré récemment en signant un contrat de 5 ans avec Facebook.
Si l'objectif des démarches effectuées par Google reste encore flou, ce qui l'est moins, c'est la volonté de l'entreprise de se démarquer de la concurrence : le PDG de la firme, Eric Schmidt, a récemment refusé de confirmer le développement d'un site de réseau social, il a néanmoins réfuté l'idée que Google tablerait actuellement sur une "copie" de Facebook. « Le monde n'a pas besoin d'une copie de quelque chose existant déjà » s'est-il contenté de déclarer.
Du côté des éditeurs de jeux, ce nouveau réseau, s'il venait effectivement à devenir une réalité, pourrait leur offrir plus de perspective, dans la mesure où ils sont actuellement principalement tributaires de Facebook et de ses 500 millions d'utilisateurs : Zynga revendique par exemple 60 millions de joueurs mensuels sur Farmville, basé sur le site de Mark Zuckerberg, qui ponctionne au passage 30% des revenus du jeu.
Interrogé par le Wall Street Journal, un porte-parole de Facebook indique que si l'entreprise de désire pas spéculer sur le projet encore tenu officiellement secret de Google, elle reste aux aguets par rapport à la concurrence et « attend avec impatience ce que les autres ont à offrir. »
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