Hotmail, la messagerie grand public de Microsoft, devrait selon Cnet s'ouvrir dès lundi à la prise en charge d'Exchange ActiveSync, le protocole propriétaire qu'utilise l'éditeur pour assurer la synchronisation des données entre un terminal donné et un service hébergé à distance.
Concrètement, il devrait donc devenir, dès lors que l'on dispose d'un smartphone ou d'un client de messagerie compatible, de synchroniser automatiquement ses contacts entre son carnet d'adresse local et celui qui est associé à son compte Windows Live.
Cette annonce ouvre également la voie au push, cette fonctionnalité de plus en plus demandée qui fait que l'arrivée d'un nouveau message est signalée automatiquement, sans qu'il soit nécessaire que le client aille lui même vérifier à intervalles réguliers la boite de réception.
Avec Hotmail, Microsoft n'a pas toujours été à la pointe des usages. Le protocole POP3, qui compte pourtant parmi les plus courants, a ainsi pendant un temps été proposé sous la forme d'une option payante aux usagers du service ! L'IMAP se fait quant à lui toujours attendre. L'éditeur rattrape toutefois ici une partie de son retard sur des services concurrents, tels que le Gmail de Google qui prend déjà en charge les fonctionnalités Exchange depuis plusieurs mois.
Concrètement, il devrait donc devenir, dès lors que l'on dispose d'un smartphone ou d'un client de messagerie compatible, de synchroniser automatiquement ses contacts entre son carnet d'adresse local et celui qui est associé à son compte Windows Live.
Cette annonce ouvre également la voie au push, cette fonctionnalité de plus en plus demandée qui fait que l'arrivée d'un nouveau message est signalée automatiquement, sans qu'il soit nécessaire que le client aille lui même vérifier à intervalles réguliers la boite de réception.
Avec Hotmail, Microsoft n'a pas toujours été à la pointe des usages. Le protocole POP3, qui compte pourtant parmi les plus courants, a ainsi pendant un temps été proposé sous la forme d'une option payante aux usagers du service ! L'IMAP se fait quant à lui toujours attendre. L'éditeur rattrape toutefois ici une partie de son retard sur des services concurrents, tels que le Gmail de Google qui prend déjà en charge les fonctionnalités Exchange depuis plusieurs mois.
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