Dans un communiqué, l'Hadopi, par le biais de son secrétaire général, Eric Walter informe que les logiciels de sécurisation auront du retard. La haute autorité vient de diffuser pas moins de deux communiqués en trois jours. Signe qu'elle souhaite prendre les rênes de sa communication
Dans un court message dévoilé aux rédactions, l'Hadopi explique que : « La question de la protection et de la sécurisation des accès à internet est cruciale à l'heure où le numérique revêt une dimension toujours plus importante et soulève de plus en plus d'intérêt. L'Hadopi a donc choisi d'étendre sa consultation jusqu'au 30 octobre 2010 ».
Ces logiciels doivent servir aux internautes accusés par erreur de prouver leur bonne foi. La Haute Autorité a toujours promis de certifier une liste de ces logiciels. Cette consultation porte sur le document-projet rédigé par Michel Riguidel, expert et enseignant chercheur. Malgré cela, on ne sait encore que peu de choses sur la teneur de ces logiciels.
Seule l'expérience Orange est là pour rappeler à quoi pourraient ressembler ces mouchards installés sur le poste d'un internaute. La firme proposait une option de contrôle du téléchargement à ses abonnés pour 2 euros par mois. Orange se contentait en fait de simplement interdire toute utilisation des réseaux P2P, même légale.
Au-delà de la polémique, l'Hadopi soumet à contribution certaines personnes souhaitant participer au développement et à la labellisation des logiciels. L'Hadopi explique que « Toute personne appartenant aux catégories visées à l'article L331-26 du Code de la propriété intellectuelle et souhaitant apporter sa contribution à la consultation peut le faire en demandant une copie du document à l'adresse suivante : consultationsfh@hadopi.net. »
En attendant, rien n'empêche l'Hadopi d'envoyer ses e-mails, dans le cadre de la riposte graduée, même sans logiciel de sécurisation. Une simple protection de son réseau WiFi (WPA, WEP) et une pratique de « bon père de famille » suffit. Pour l'instant.
Dans un court message dévoilé aux rédactions, l'Hadopi explique que : « La question de la protection et de la sécurisation des accès à internet est cruciale à l'heure où le numérique revêt une dimension toujours plus importante et soulève de plus en plus d'intérêt. L'Hadopi a donc choisi d'étendre sa consultation jusqu'au 30 octobre 2010 ».
Ces logiciels doivent servir aux internautes accusés par erreur de prouver leur bonne foi. La Haute Autorité a toujours promis de certifier une liste de ces logiciels. Cette consultation porte sur le document-projet rédigé par Michel Riguidel, expert et enseignant chercheur. Malgré cela, on ne sait encore que peu de choses sur la teneur de ces logiciels.
Seule l'expérience Orange est là pour rappeler à quoi pourraient ressembler ces mouchards installés sur le poste d'un internaute. La firme proposait une option de contrôle du téléchargement à ses abonnés pour 2 euros par mois. Orange se contentait en fait de simplement interdire toute utilisation des réseaux P2P, même légale.
Au-delà de la polémique, l'Hadopi soumet à contribution certaines personnes souhaitant participer au développement et à la labellisation des logiciels. L'Hadopi explique que « Toute personne appartenant aux catégories visées à l'article L331-26 du Code de la propriété intellectuelle et souhaitant apporter sa contribution à la consultation peut le faire en demandant une copie du document à l'adresse suivante : consultationsfh@hadopi.net. »
En attendant, rien n'empêche l'Hadopi d'envoyer ses e-mails, dans le cadre de la riposte graduée, même sans logiciel de sécurisation. Une simple protection de son réseau WiFi (WPA, WEP) et une pratique de « bon père de famille » suffit. Pour l'instant.
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