Après la perquisition dans les locaux de l'hébergeur des sites The Pirate Bay et Wikileaks, la police a donné plus d'informations quant à ses motifs. Ce mercredi, des médias suédois annonçaient qu'une perquisition était en cours dans les locaux de l'hébergeur suédois PRQ. Cette opération entrerait dans le cadre d'une vaste coordination entre 14 pays d'Europe.
Les pays concernés par ces perquisitions sont la Belgique, la France, la Grande-Bretagne, l'Allemagne, l'Italie, les Pays-Bas, la Pologne, la Croatie, la Suisse, l'Autriche, la République Tchèque, la Norvège, la Hongrie et la Suède, selon le site Torrentfreak.
A la base, un réseau belge appelé « La Scène » aurait été le point de départ de l'enquête, en Belgique. Par la suite, ce sont pas moins de 48 grands sites à travers l'Europe qui seraient visés.
Enfin, le site Zataz rapporte que sept hommes âgés de 20 à 30 ans ont été interpellés en Belgique. Ils sont accusés de participation à une organisation criminelle, piraterie, fraude informatique et hacking. Les sites visés sont classés Topsite et diffusent du contenu illégalement par le fait qu'ils sont en contact avec des « groupes créateurs de contrefaçons ».
Par cette manière, les services de police souhaitent mettre un doigt sur la source du téléchargement illégal de contenus protégés par le droit d'auteur.
Les pays concernés par ces perquisitions sont la Belgique, la France, la Grande-Bretagne, l'Allemagne, l'Italie, les Pays-Bas, la Pologne, la Croatie, la Suisse, l'Autriche, la République Tchèque, la Norvège, la Hongrie et la Suède, selon le site Torrentfreak.
A la base, un réseau belge appelé « La Scène » aurait été le point de départ de l'enquête, en Belgique. Par la suite, ce sont pas moins de 48 grands sites à travers l'Europe qui seraient visés.
Enfin, le site Zataz rapporte que sept hommes âgés de 20 à 30 ans ont été interpellés en Belgique. Ils sont accusés de participation à une organisation criminelle, piraterie, fraude informatique et hacking. Les sites visés sont classés Topsite et diffusent du contenu illégalement par le fait qu'ils sont en contact avec des « groupes créateurs de contrefaçons ».
Par cette manière, les services de police souhaitent mettre un doigt sur la source du téléchargement illégal de contenus protégés par le droit d'auteur.
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