Facebook ne tentera pas d'introduction en bourse (IPO) « dans un temps proche », a déclaré Mark Zuckerberg, son PDG, par le biais du nouveau système Facebook Answers. La raison est simple : Facebook veut prendre « de gros risques », avec de nouveaux produits qui pourraient être sous haute surveillance si l'entreprise était côtée sur les marchés publics.
« Etre privé est mieux, » estime Zuckerberg. Un autre avantage à maintenir le statu-quo : l'entreprise est actuellement en phase pré-IPO, ce qui fait d'elle un endroit très attractifs pour les embauches potentielles. Facebook a récemment employé des anciens de Google, leur faisant notamment miroiter la possibilité de devenir riches une fois que Facebook serait introduit en Bourse.
Pour Mark Zuckerberg en tous cas, la détention par capitaux privés n'a que du bon. « Par exemple, des produits comme le fil d'actualités, Platform, Connect ou d'autres étaient tous très controversés à leur lancement, mais ont tous prouvé qu'ils étaient des services à forte plus-value depuis. Gérer une entreprise en lançant des services controversés est déjà délicat, mais je peux seulement imaginer à quel point ce serait difficile si nous avions une cote publique à prendre en compte en plus. Il y a encore beaucoup de nouvelles choses à construire, et je préfère me concentrer dessus que sur une introduction en Bourse pour l'instant. »
« Etre privé est mieux, » estime Zuckerberg. Un autre avantage à maintenir le statu-quo : l'entreprise est actuellement en phase pré-IPO, ce qui fait d'elle un endroit très attractifs pour les embauches potentielles. Facebook a récemment employé des anciens de Google, leur faisant notamment miroiter la possibilité de devenir riches une fois que Facebook serait introduit en Bourse.
Pour Mark Zuckerberg en tous cas, la détention par capitaux privés n'a que du bon. « Par exemple, des produits comme le fil d'actualités, Platform, Connect ou d'autres étaient tous très controversés à leur lancement, mais ont tous prouvé qu'ils étaient des services à forte plus-value depuis. Gérer une entreprise en lançant des services controversés est déjà délicat, mais je peux seulement imaginer à quel point ce serait difficile si nous avions une cote publique à prendre en compte en plus. Il y a encore beaucoup de nouvelles choses à construire, et je préfère me concentrer dessus que sur une introduction en Bourse pour l'instant. »
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