Certains des poids lourds de l'industrie IT sont actuellement en négociations avec le département américain de la Justice. Le sujet porte sur les volets de certains contrats de travail qui contiennent des clauses obligeant une firme à payer une sorte d'amende si elle débauche un employé.
Google, Apple, Adobe, Intel et Pixar seraient ainsi sur le point de passer un accord-cadre qui aurait pour but d'éviter une succession de procès très couteux pour les sociétés concernées. Il faut préciser que la loi américaine n'a jamais clairement défini ces clauses. Un motif qui pousse ces géants à s'entendre sur ce type de modalités.
Le Wall Street Journal explique qu'il existe néanmoins des mesures de règlement à l'amiable de ce type de contentieux. Pour autant, instaurer un cadre fixe dans la loi permettrait de réduire drastiquement les recours à la justice.
Malgré cela, Google, Apple, Intel, Adobe et Disney n'ont pas commenté la situation. Mais ces négociations pourraient bien profiter à toute la chaîne puisqu'elles pourraient amener un tribunal à trancher rapidement sur la légalité d'un contrat de travail. De même, les firmes auraient ainsi l'assurance de pouvoir conserver plus facilement leurs ingénieurs « stars » qui planchent sur des innovations clés.
Reste enfin à savoir si cette légalisation de ce type de contrat mènera à rendre moins mobiles les ingénieurs et ralentir ainsi une forme de créativité. Le ministère de la Justice a déjà émis des réserves sur le fait que ces accords pourraient représenter une limitation de la concurrence pour les talents et « réduirait les incitations pour les personnes à choisir des professions en forte demande ».
Google, Apple, Adobe, Intel et Pixar seraient ainsi sur le point de passer un accord-cadre qui aurait pour but d'éviter une succession de procès très couteux pour les sociétés concernées. Il faut préciser que la loi américaine n'a jamais clairement défini ces clauses. Un motif qui pousse ces géants à s'entendre sur ce type de modalités.
Le Wall Street Journal explique qu'il existe néanmoins des mesures de règlement à l'amiable de ce type de contentieux. Pour autant, instaurer un cadre fixe dans la loi permettrait de réduire drastiquement les recours à la justice.
Malgré cela, Google, Apple, Intel, Adobe et Disney n'ont pas commenté la situation. Mais ces négociations pourraient bien profiter à toute la chaîne puisqu'elles pourraient amener un tribunal à trancher rapidement sur la légalité d'un contrat de travail. De même, les firmes auraient ainsi l'assurance de pouvoir conserver plus facilement leurs ingénieurs « stars » qui planchent sur des innovations clés.
Reste enfin à savoir si cette légalisation de ce type de contrat mènera à rendre moins mobiles les ingénieurs et ralentir ainsi une forme de créativité. Le ministère de la Justice a déjà émis des réserves sur le fait que ces accords pourraient représenter une limitation de la concurrence pour les talents et « réduirait les incitations pour les personnes à choisir des professions en forte demande ».
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