La rumeur n'aura duré que le temps d'un week-end : Facebook ne développe pas de téléphone mobile à son compte. C'est ce qu'a affirmé le réseau social de Mark Zuckerberg hier soir, après le bruit lancé plus tôt dans la journée par TechCrunch. Pourtant, ce dernier persiste.
Le site américain affirmait en effet que Facebook était en train de "fabriquer secrètement un téléphone". "Facebook construit actuellement un téléphone mobile. Ou plutôt, il développe le logiciel pour le mobile et travaille avec un tiers pour le matériel" expliquait le site dimanche, en citant "une source proche du projet". Projet auquel, toujours selon TechCrunch, prendraient part "deux employés de haut niveau" de l'entreprise, Joe Hewitt, développeur de l'application Facebook pour iPhone, et Matthew Papakipos, l'ancien responsable du développement de Chrome qui a quitté Google pour rejoindre Facebook en juin dernier.
Des informations précises que Facebook a néanmoins rapidement démenti par l'intermédiaire d'un porte-parole : "La rumeur n'est pas fondée. Facebook ne développe pas de téléphone. Notre approche a toujours été de rendre les téléphones plus sociaux grâce à des applications, mais pas de construire un mobile" explique le communiqué de presse du réseau social.
Pour autant, TechCrunch n'en démord pas et persiste dans son idée : "Facebook ne travaille pas sur un téléphone tout comme Google ne travaillait pas sur un téléphone" titre ironiquement le site, rappelant ainsi l'affaire de Google : le géant de Mountain View avait indiqué fin 2009 qu'il n'était pas intéressé par le lancement d'un Google Phone Avant de dévoiler le Nexus One, smartphone conçu par HTC en collaboration avec Google, début janvier 2010.
Pour TechCrunch, l'histoire se répète et Facebook joue sur les mots en indiquant ne pas développer de téléphone. "Ce n'est pas ce que nous avons dit" rappelle le site, qui soupçonne une collaboration du même type que celle entre Google et HTC.
La rumeur est donc officiellement démentie par le réseau social, mais le doute persisterait néanmoins. On peut cependant se demander ce que le site aux 500 millions de membres révolus aurait à gagner à développer son propre terminal, lui qui est déjà présent sur la plupart des OS mobiles, que se soit via une version Web optimisée ou une application dédiée.
Le site américain affirmait en effet que Facebook était en train de "fabriquer secrètement un téléphone". "Facebook construit actuellement un téléphone mobile. Ou plutôt, il développe le logiciel pour le mobile et travaille avec un tiers pour le matériel" expliquait le site dimanche, en citant "une source proche du projet". Projet auquel, toujours selon TechCrunch, prendraient part "deux employés de haut niveau" de l'entreprise, Joe Hewitt, développeur de l'application Facebook pour iPhone, et Matthew Papakipos, l'ancien responsable du développement de Chrome qui a quitté Google pour rejoindre Facebook en juin dernier.
Des informations précises que Facebook a néanmoins rapidement démenti par l'intermédiaire d'un porte-parole : "La rumeur n'est pas fondée. Facebook ne développe pas de téléphone. Notre approche a toujours été de rendre les téléphones plus sociaux grâce à des applications, mais pas de construire un mobile" explique le communiqué de presse du réseau social.
Pour autant, TechCrunch n'en démord pas et persiste dans son idée : "Facebook ne travaille pas sur un téléphone tout comme Google ne travaillait pas sur un téléphone" titre ironiquement le site, rappelant ainsi l'affaire de Google : le géant de Mountain View avait indiqué fin 2009 qu'il n'était pas intéressé par le lancement d'un Google Phone Avant de dévoiler le Nexus One, smartphone conçu par HTC en collaboration avec Google, début janvier 2010.
Pour TechCrunch, l'histoire se répète et Facebook joue sur les mots en indiquant ne pas développer de téléphone. "Ce n'est pas ce que nous avons dit" rappelle le site, qui soupçonne une collaboration du même type que celle entre Google et HTC.
La rumeur est donc officiellement démentie par le réseau social, mais le doute persisterait néanmoins. On peut cependant se demander ce que le site aux 500 millions de membres révolus aurait à gagner à développer son propre terminal, lui qui est déjà présent sur la plupart des OS mobiles, que se soit via une version Web optimisée ou une application dédiée.
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