Sur son blog officiel Google annonce avoir pris de mesures pour lutter contre certains annonceurs utilisant Google Adwords afin de promouvoir leurs sites Internet pour commercialiser des produits pharmaceutiques interdits à la vente. En achetant quelques mots-clés, les cyber-marchands peuvent alors voir leurs sites promus sur les résultats d'une requête générée par un internaute.
Google explique avoir mis en place plusieurs procédures avec notamment une vérification des annonceurs, le blocage automatique de certains mots-clés tout en modifiant la politique d'utilisation du service Google AdWords. Cependant "un petit pourcentage de ces publicités pharmaceutiques générées par ces sites frauduleux apparaissent toujours sur Google". Michael Zwibelman, conseiller chez Google pour les litiges juridiques, annonce avoir déposé une plainte contre les annonceurs ayant violé les pratiques d'utilisation. La liste des personnes incriminées devrait d'ailleurs se densifier au fur et à mesure que Google identifie les sites Internet frauduleux.
En août 2009, un rapport publié par LegitScript expliquait qu'une vaste majorité de liens sponsorisés sur le moteur de Bing n'étaient pas considérés comme légaux par les autorités américaines. Les experts expliquaient que 89.7% des pharmacies apparaissant sur les résultats de recherche n'étaient pas conformes à la loi en vigueur. C'est ainsi que les analystes auraient pu passer commande sans aucune prescription médicale. Certains de ces médicaments se seraient révélés être des produits de contrefaçon. Les analystes auraient également découvert une faille via laquelle il était possible de présenter une URL sur la page des résultats du moteur de recherche tout en pointant cette dernière vers un autre site ; une technique utilisée afin d'attirer l'internaute pour le retourner vers un site frauduleux.
Google explique avoir mis en place plusieurs procédures avec notamment une vérification des annonceurs, le blocage automatique de certains mots-clés tout en modifiant la politique d'utilisation du service Google AdWords. Cependant "un petit pourcentage de ces publicités pharmaceutiques générées par ces sites frauduleux apparaissent toujours sur Google". Michael Zwibelman, conseiller chez Google pour les litiges juridiques, annonce avoir déposé une plainte contre les annonceurs ayant violé les pratiques d'utilisation. La liste des personnes incriminées devrait d'ailleurs se densifier au fur et à mesure que Google identifie les sites Internet frauduleux.
En août 2009, un rapport publié par LegitScript expliquait qu'une vaste majorité de liens sponsorisés sur le moteur de Bing n'étaient pas considérés comme légaux par les autorités américaines. Les experts expliquaient que 89.7% des pharmacies apparaissant sur les résultats de recherche n'étaient pas conformes à la loi en vigueur. C'est ainsi que les analystes auraient pu passer commande sans aucune prescription médicale. Certains de ces médicaments se seraient révélés être des produits de contrefaçon. Les analystes auraient également découvert une faille via laquelle il était possible de présenter une URL sur la page des résultats du moteur de recherche tout en pointant cette dernière vers un autre site ; une technique utilisée afin d'attirer l'internaute pour le retourner vers un site frauduleux.
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