Le projet WebinOS vient de recevoir 10 millions de livres Sterling de la part de l'Union Européenne. WebInOS entend mettre en place une plateforme web unique sur laquelle les développeurs pourront créer des applications web fonctionnant aussi bien sur PC, smartphones, télévisions connectées ou encore ordinateurs de bord. C'est l'institut Fraunhofer - connu pour avoir mis au point le format de fichier MP3 - qui est à l'initiative de ce projet.
Pour parvenir à ses objectifs, WebInOS planche sur plusieurs interfaces de programmation. L'environnement de production comporte un émulateur permettant aux développeurs de tester leurs applications telles qu'elles apparaîtraient au travers de différents appareils. Cette technique vise à ne par réécrire constamment une même application pour porter cette dernière sur plusieurs plateformes. Sur son site officiel, l'équipe explique qu'avec de tels outils, les logiciels qui en découleront sauront tirer parti de la puissance de chaque terminal en fonction de leurs caractéristiques matérielles.
Plus que de simples services web, les applications basées sur l'environnement WebinOS seraient sécurisées et capables d'accéder aux données locales de la machine en implementant les API du W3C. L'on imagine par exemple une interaction avec le carnet d'adresses local d'un téléphone ou avec la clé USB branchée dans une voiture.
Parmi les partenaires soutenant WebinOS nous retrouvons entre autres BMW, l'université d'Oxford, les opérateurs Telefonica, Deutsche telecom, Telecom Italia, DoCoMo ou encore les constructeurs Samsung et Sony Ericsson. Notons que le consortium W3C, chargé de réguler les standards du web, est également de la partie.
Par le passé 24 opérateurs téléphoniques avaient également formé une alliance. Baptisée Wholesale Application Community, cette initiative visait à uniformiser le marché fragmenté des plateformes de téléchargement des applications mobiles.
Pour parvenir à ses objectifs, WebInOS planche sur plusieurs interfaces de programmation. L'environnement de production comporte un émulateur permettant aux développeurs de tester leurs applications telles qu'elles apparaîtraient au travers de différents appareils. Cette technique vise à ne par réécrire constamment une même application pour porter cette dernière sur plusieurs plateformes. Sur son site officiel, l'équipe explique qu'avec de tels outils, les logiciels qui en découleront sauront tirer parti de la puissance de chaque terminal en fonction de leurs caractéristiques matérielles.
Plus que de simples services web, les applications basées sur l'environnement WebinOS seraient sécurisées et capables d'accéder aux données locales de la machine en implementant les API du W3C. L'on imagine par exemple une interaction avec le carnet d'adresses local d'un téléphone ou avec la clé USB branchée dans une voiture.
Parmi les partenaires soutenant WebinOS nous retrouvons entre autres BMW, l'université d'Oxford, les opérateurs Telefonica, Deutsche telecom, Telecom Italia, DoCoMo ou encore les constructeurs Samsung et Sony Ericsson. Notons que le consortium W3C, chargé de réguler les standards du web, est également de la partie.
Par le passé 24 opérateurs téléphoniques avaient également formé une alliance. Baptisée Wholesale Application Community, cette initiative visait à uniformiser le marché fragmenté des plateformes de téléchargement des applications mobiles.
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