L'Union européenne souhaite à nouveau mettre en avant le rôle de l'Enisa. Censée être la garante de la sécurité informatique sur le territoire communautaire, elle se retrouve enclavée sur l'île de Crête et dispose de peu de pouvoirs. C'est pourquoi Bruxelles souhaite, grâce à son agenda numérique, renforcer la lutte contre la cybercriminalité.Selon Le Monde.fr, l'Enisa devrait voir son champ d'action et ses moyens élargis. Les Etats devraient également être mis à contribution, même des partenaires privés seraient invités à la table de l'entité.
Au début du mois, l'Enisa avait d'ailleurs déjà proposé 20 recommandations afin de mieux partager leurs informations. Parmi celles-ci, elle préconisait notamment la création de plateformes nationales capables de communiquer entre elles. De même, elle souhaitait que les éditeurs de sécurité soient plus transparents sur les résultats de leurs recherches en matière de sécurité informatique et d'émergence de menaces.
Enfin, l'idée avait été évoquée que les universités puissent prendre le relai afin de traiter les données recueillies, étudier leur impact.
Ces volontés ont donc semble-t-il été entendues. Les institutions communautaires doivent donc prendre les mesures nécessaires afin de coordonner ces initiatives. Pour l'instant, la coopération entre Enisa et Europol, ou encore l'ANSSI pour la France, ne semble pas encore à l'ordre du jour.
Au début du mois, l'Enisa avait d'ailleurs déjà proposé 20 recommandations afin de mieux partager leurs informations. Parmi celles-ci, elle préconisait notamment la création de plateformes nationales capables de communiquer entre elles. De même, elle souhaitait que les éditeurs de sécurité soient plus transparents sur les résultats de leurs recherches en matière de sécurité informatique et d'émergence de menaces.
Enfin, l'idée avait été évoquée que les universités puissent prendre le relai afin de traiter les données recueillies, étudier leur impact.
Ces volontés ont donc semble-t-il été entendues. Les institutions communautaires doivent donc prendre les mesures nécessaires afin de coordonner ces initiatives. Pour l'instant, la coopération entre Enisa et Europol, ou encore l'ANSSI pour la France, ne semble pas encore à l'ordre du jour.
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