Lors d'une émission diffusée sur France 5, l'acteur Thierry Lhermitte a livré en partie sa position sur la loi Hadopi. Il regrette que le texte ne réponde pas totalement à la problématique du téléchargement illégal et se dit régulièrement insulté sur le Web.Le 15 octobre dernier, Thierry Lhermitte était l'invité de l'émission « C à vous ». Interrogé au sujet de la loi Hadopi, il explique : « Hadopi protège 100 films dans l'année et 10 000 morceaux de musique. Sur la loi il y a beaucoup à en dire mais sur le principe je pense qu'il est normal de faire payer la Culture ». Logique.
Il faut préciser que l'acteur utilise l'informatique depuis plusieurs années. Il est même actionnaire de la société TMG (Trident Media Guard), l'entreprise qui est chargée de collecter les adresses IP des internautes qui téléchargent du contenu illégal. TMG dresse un procès verbal qu'il transmet ensuite à l'Hadopi. Libre à elle d'enclencher le processus de la riposte graduée.
Pour autant, une incompréhension peu subtile survient. Dans la vidéo reprise par Numerama, Thierry Lhermitte explique : « même récemment, je tape un film et on me le propose sur Megaupload. Je l'ai téléchargé, une heure après j'avais un fichier en .avi avec le film. Est-ce que j'ai fait quelque chose d'illégal, je n'en sais rien ».
L'acteur évoque alors clairement le manque d'offre légale et le « bordel noir » des industries musicales et cinéma qui ont pris du retard face aux progrès de la technologie Un motif qui pourrait être qualifier de léger pour se justifier et qui a le mérite de brouiller les pistes sur son soutien, ou non à la loi.
Toujours est-il que cette sortie rappelle celle de Michel Sardou qui expliquait avoir téléchargé le film Iron Man 2 tout aussi illégalement.
Il faut préciser que l'acteur utilise l'informatique depuis plusieurs années. Il est même actionnaire de la société TMG (Trident Media Guard), l'entreprise qui est chargée de collecter les adresses IP des internautes qui téléchargent du contenu illégal. TMG dresse un procès verbal qu'il transmet ensuite à l'Hadopi. Libre à elle d'enclencher le processus de la riposte graduée.
Pour autant, une incompréhension peu subtile survient. Dans la vidéo reprise par Numerama, Thierry Lhermitte explique : « même récemment, je tape un film et on me le propose sur Megaupload. Je l'ai téléchargé, une heure après j'avais un fichier en .avi avec le film. Est-ce que j'ai fait quelque chose d'illégal, je n'en sais rien ».
L'acteur évoque alors clairement le manque d'offre légale et le « bordel noir » des industries musicales et cinéma qui ont pris du retard face aux progrès de la technologie Un motif qui pourrait être qualifier de léger pour se justifier et qui a le mérite de brouiller les pistes sur son soutien, ou non à la loi.
Toujours est-il que cette sortie rappelle celle de Michel Sardou qui expliquait avoir téléchargé le film Iron Man 2 tout aussi illégalement.
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