Ca y est, les deux associés du fonds Andreessen-Horowitz ont réussi leur deuxième levée de fonds : Marc Andreessen, ancien fondateur de Netscape, vient d'annoncer qu'il avait levé 650 millions de dollars en trois semaines. Marc Andreessen et Ben Horowitz, les deux associés, avaient mis trois mois pour lever les 300 millions du premier tour de table, en juillet 2009.
Le LA Times, qui a rapporté l'histoire, note l'étrange vigueur du fonds Andreessen-Horowitz, qui a déjà levé près d'un milliard de dollars alors qu'il n'est vieux que de 15 mois, dans un contexte où de nombreux fonds de venture capitalists ne parviennent pas à trouver les fonds nécessaires à leur activité.
Andreessen-Horowitz a une stratégie de diversification du risque assez prudente. Le fonds investit des tickets relativement petits - ils sont même descendus jusqu'à 25 000 dollars. Ce qui a permis aux deux associés de prendre des participations dans 28 entreprises en un peu plus d'un an.
Le LA Times note qu'aucun de ces investissements ne s'est pour l'instant révélé particulièrement profitable - comprendre par là qu'aucune entreprise financée n'a été rachetée ou n'est entrée en Bourse. Mais ça pourrait changer, note le quotidien, car Apple et Google s'intéresseraient de très près à la startup de paiement en ligne Boku, et Skype pourrait tenter une introduction en Bourse l'an prochain.
Le LA Times, qui a rapporté l'histoire, note l'étrange vigueur du fonds Andreessen-Horowitz, qui a déjà levé près d'un milliard de dollars alors qu'il n'est vieux que de 15 mois, dans un contexte où de nombreux fonds de venture capitalists ne parviennent pas à trouver les fonds nécessaires à leur activité.
Andreessen-Horowitz a une stratégie de diversification du risque assez prudente. Le fonds investit des tickets relativement petits - ils sont même descendus jusqu'à 25 000 dollars. Ce qui a permis aux deux associés de prendre des participations dans 28 entreprises en un peu plus d'un an.
Le LA Times note qu'aucun de ces investissements ne s'est pour l'instant révélé particulièrement profitable - comprendre par là qu'aucune entreprise financée n'a été rachetée ou n'est entrée en Bourse. Mais ça pourrait changer, note le quotidien, car Apple et Google s'intéresseraient de très près à la startup de paiement en ligne Boku, et Skype pourrait tenter une introduction en Bourse l'an prochain.
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