N'en déplaise aux régies publicitaires des réseaux communautaires, l'internaute aura le dernier mot concernant ses informations confidentielles. C'est en tout cas ce que souhaite la Commission Européenne qui présente sa stratégie concernant la gestion des informations personnelles publiées sur Internet.
Dans un communiqué, Viviane Reding, vice-présidente et commissaire européen chargée de la Justice, réitère ses propos en affirmant que « la protection des données à caractère personnel est un droit fondamental ». A cet effet, la Commission présente quelques pistes de réflexion afin de moderniser les lois existantes disposant les droits et les libertés des citoyens de l'Union en matière de données confidentielles. Cette initiative vise également à éclaircir plusieurs problèmes auxquels sont confrontés chaque jour bon nombre d'internautes concernant la suppression définitive des informations publiées sur un réseau communautaire ou l'interopérabilité de ces services.
Dans un premier temps, les autorités souhaitent renforcer les droits des consommateurs et apporter davantage de transparence quant aux données qui seront collectées ainsi que leur utilisation dans le temps. Au coeur de cette idée, Bruxelles demande le « droit à l'oubli », une notion au centre de l'actualité. De leurs côtés les sociétés devraient pouvoir bénéficier d'une politique unifiée, quelle que soit la nature du service ou la loi en vigueur dans le pays d'activité. La Commission explique par ailleurs que les transferts d'informations en dehors de l'Union devraient être tout aussi sécurisés et doublés d'une « protection des données dans le domaine de la coopération policière et de la coopération judiciaire ».
Les internautes sont invités à discuter les propositions de ce réexamen avant le 15 janvier 2011. Par la suite, ce débat permettra de formuler dès l'année prochaine un nouveau cadre de réglementation qui sera soumis au Parlement européen.
Dans un communiqué, Viviane Reding, vice-présidente et commissaire européen chargée de la Justice, réitère ses propos en affirmant que « la protection des données à caractère personnel est un droit fondamental ». A cet effet, la Commission présente quelques pistes de réflexion afin de moderniser les lois existantes disposant les droits et les libertés des citoyens de l'Union en matière de données confidentielles. Cette initiative vise également à éclaircir plusieurs problèmes auxquels sont confrontés chaque jour bon nombre d'internautes concernant la suppression définitive des informations publiées sur un réseau communautaire ou l'interopérabilité de ces services.
Dans un premier temps, les autorités souhaitent renforcer les droits des consommateurs et apporter davantage de transparence quant aux données qui seront collectées ainsi que leur utilisation dans le temps. Au coeur de cette idée, Bruxelles demande le « droit à l'oubli », une notion au centre de l'actualité. De leurs côtés les sociétés devraient pouvoir bénéficier d'une politique unifiée, quelle que soit la nature du service ou la loi en vigueur dans le pays d'activité. La Commission explique par ailleurs que les transferts d'informations en dehors de l'Union devraient être tout aussi sécurisés et doublés d'une « protection des données dans le domaine de la coopération policière et de la coopération judiciaire ».
Les internautes sont invités à discuter les propositions de ce réexamen avant le 15 janvier 2011. Par la suite, ce débat permettra de formuler dès l'année prochaine un nouveau cadre de réglementation qui sera soumis au Parlement européen.
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