Les affaires concernant Street View n'ont pas fini d'étonner. La dernière en date concerne une Japonaise, qui poursuit Google en justice. Le motif : le service a publié des photos de ses sous-vêtements
suspendus à une corde à linge !
La plaignante réclame à Google la somme de 600 000 yens environ 5425 euros prétextant que la publication de ces images lui a causé une "détresse psychologique", raconte le Telegraph. La jeune femme aurait découvert les photos au printemps dernier, alors qu'elle cherchait son logement dans Street View.
"J'ai été submergée par l'anxiété, me disant que je pourrais être la cible d'un crime sexuel" a-t-elle déclaré au tribunal local. "Ca m'a fait perdre mon emploi, et j'ai dû changer de résidence". Son témoignage laisse entendre qu'elle souffrait déjà d'un trouble obsessionnel-compulsif que la vision des photos a aggravé, puisqu'elle se sentait épiée à longueur de journée.
Compte tenu de la faible somme demandée par cette femme, on peut s'étonner que Google n'ait pas réagi avant l'arrivée de l'affaire au tribunal. La firme a cependant enlevé les photos incriminées de Street View lors du dépôt de plainte, en octobre dernier. Une action insuffisante pour la plaignante : "j'aurais pu comprendre si ça n'avait été qu'une photo de l'extérieur de l'appartemment, mais le fait qu'elle montre les sous-vêtements d'une personne étendus à l'extérieur, c'est une erreur" a-t-elle déclaré.
La plaignante réclame à Google la somme de 600 000 yens environ 5425 euros prétextant que la publication de ces images lui a causé une "détresse psychologique", raconte le Telegraph. La jeune femme aurait découvert les photos au printemps dernier, alors qu'elle cherchait son logement dans Street View.
"J'ai été submergée par l'anxiété, me disant que je pourrais être la cible d'un crime sexuel" a-t-elle déclaré au tribunal local. "Ca m'a fait perdre mon emploi, et j'ai dû changer de résidence". Son témoignage laisse entendre qu'elle souffrait déjà d'un trouble obsessionnel-compulsif que la vision des photos a aggravé, puisqu'elle se sentait épiée à longueur de journée.
Compte tenu de la faible somme demandée par cette femme, on peut s'étonner que Google n'ait pas réagi avant l'arrivée de l'affaire au tribunal. La firme a cependant enlevé les photos incriminées de Street View lors du dépôt de plainte, en octobre dernier. Une action insuffisante pour la plaignante : "j'aurais pu comprendre si ça n'avait été qu'une photo de l'extérieur de l'appartemment, mais le fait qu'elle montre les sous-vêtements d'une personne étendus à l'extérieur, c'est une erreur" a-t-elle déclaré.
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