Le site AT Internet a dévoilé hier son baromètre des moteurs de recherche du mois de novembre dernier, par l'intermédiaire d'un graphique qui ne laisse aucun doute quant à la suprématie de Google, non seulement en France mais également en Espagne, au Royaume-Uni et en Allemagne. Si les parts de visites Web du moteur de la firme de Moutain View accusent une infime baisse dans l'hexagone, sa cote ne cesse globalement de monter.
France, les parts de Google chutent de 0,2% par rapport à octobre 2010, passant de 91,6 à 91,4%. Un "score" qui laisse la concurrence loin, très loin, puisqu'en seconde position arrive Bing avec 2,7% de part de marché, puis Yahoo avec 1,7%. En Allemagne et en Grande-Bretagne, Google culmine respectivement à 92,2 et 90,5%. Le pourcentage le plus élevé revient à l'Espagne où les parts de visites de Google atteignent 93,1%.
La domination du géant américain a de quoi laisser songeur, mais elle ne fait clairement pas rêver la concurrence qui, rappelons-le, a récemment déposé plainte auprès de la Commission européenne, motivant cette dernière à ouvrir une enquête à l'encontre de Google pour "abus de position dominante". Cette dernière permettra probablement de savoir si la puissance de Google est due uniquement à sa grande efficacité, ou a des pratiques moins reluisantes En attendant, il semble bien difficile de le faire chuter de son piédestal.
France, les parts de Google chutent de 0,2% par rapport à octobre 2010, passant de 91,6 à 91,4%. Un "score" qui laisse la concurrence loin, très loin, puisqu'en seconde position arrive Bing avec 2,7% de part de marché, puis Yahoo avec 1,7%. En Allemagne et en Grande-Bretagne, Google culmine respectivement à 92,2 et 90,5%. Le pourcentage le plus élevé revient à l'Espagne où les parts de visites de Google atteignent 93,1%.
La domination du géant américain a de quoi laisser songeur, mais elle ne fait clairement pas rêver la concurrence qui, rappelons-le, a récemment déposé plainte auprès de la Commission européenne, motivant cette dernière à ouvrir une enquête à l'encontre de Google pour "abus de position dominante". Cette dernière permettra probablement de savoir si la puissance de Google est due uniquement à sa grande efficacité, ou a des pratiques moins reluisantes En attendant, il semble bien difficile de le faire chuter de son piédestal.
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