Oracle retourne en justice. Un porte-parole de l'éditeur vient d'annoncer qu'il comptait demander 211,6 millions de dollars supplémentaires à SAP suite à l'affaire Tomorrownow.
On pensait le procès définitivement fini, largement en faveur d'Oracle, qui a déjà récupéré 1,3 milliards de dollars auprès de l'éditeur allemand. Mais Oracle estime que ce dernier lui doit encore une compensation pour les clients perdus en 2005 et 2006.
Sans revenir sur toutes l'histoire, rappelons que SAP a été convaincu de vol de données et d'accès frauduleux aux serveurs d'Oracle, pour le téléchargement de dossiers réservés aux clients de l'éditeur californien. C'est une filiale de SAP, Tomorrownow, qui a accédé entre 2005 et 2007 aux serveurs d'Oracle.
Oracle a obtenu le mois dernier des dommages et intérêts record, à hauteur de 1,3 milliard de dollars. Mais l'éditeur estime que SAP lui doit encore des dédommagements pour les clients que Tomorrownow lui a fait perdre entre 2005 et 2006.
« Nous ne pensons pas qu'Oracle soit légitime pour demander une quelconque compensation en plus de celle prononcée par le jugement final, » a immédiatement réagi un porte-parole de SAP, interrogé par le Wall Street Journal.
On pensait le procès définitivement fini, largement en faveur d'Oracle, qui a déjà récupéré 1,3 milliards de dollars auprès de l'éditeur allemand. Mais Oracle estime que ce dernier lui doit encore une compensation pour les clients perdus en 2005 et 2006.
Sans revenir sur toutes l'histoire, rappelons que SAP a été convaincu de vol de données et d'accès frauduleux aux serveurs d'Oracle, pour le téléchargement de dossiers réservés aux clients de l'éditeur californien. C'est une filiale de SAP, Tomorrownow, qui a accédé entre 2005 et 2007 aux serveurs d'Oracle.
Oracle a obtenu le mois dernier des dommages et intérêts record, à hauteur de 1,3 milliard de dollars. Mais l'éditeur estime que SAP lui doit encore des dédommagements pour les clients que Tomorrownow lui a fait perdre entre 2005 et 2006.
« Nous ne pensons pas qu'Oracle soit légitime pour demander une quelconque compensation en plus de celle prononcée par le jugement final, » a immédiatement réagi un porte-parole de SAP, interrogé par le Wall Street Journal.
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