LA GLOBULE

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L'heure est-elle à la diversification pour le cybermarchand Amazon ? Celui-ci a en effet lancé cette semaine Askville, un service de questions réponses fonctionnant sur le modèle de services comme Yahoo Answers ou Google Answers (aujourd'hui fermé). Après création d'un compte, les internautes sont invités à y laisser leur question ou à répondre aux interrogations des autres visiteurs. Un système de classement et de points récompense les utilisateurs les plus méritants. Ces points peuvent ensuite être échangés contre des produits à l'effigie d'Askville ou des bons d'achat chez Amazon. Et la boucle est bouclée ?

Comme ses prédécesseurs, Amazon affirme sa volonté de pallier les carences des moteurs de recherche qui se révèlent incapables, ou presque, de répondre correctement aux requêtes formulées en langage naturel. Selon lui, un quart des questions déposées sur ce type de service serait relatif à des produits. Un site satellite d'Askville devrait ensuite voir le jour en 2008. Baptisé Questville, il permettra aux utilisateurs d'Askville d'échanger leurs points contre des objets ou des contenus numériques.

Askville n'est pas la première incursion d'Amazon dans le domaine de la recherche en ligne. Amazon avait en effet lancé fin 2004 A9, un ambitieux moteur de recherche couplant des technologies en provenance de Google et d'Alexa, un service de comparaison d'audience de sites Web lui appartenant. Sans succès puisqu'aujourd'hui, A9 repose sur le moteur de recherche de Microsoft, Windows Live Search, et présente comme seule particularité une recherche limitée aux produits en vente chez Amazon.
Le groupe Renaissance Numérique se définit comme un think tank dans le domaine d'Internet qui regroupe des experts du monde professionnel et du monde universitaire. Afin d'interpeller le chef de l'Etat sur le développement d'Internet en France et la question de la fracture numérique, ses représentants sont venus déposer un iPhone contenant une lettre ouverte au format vidéo le 29 novembre dernier à l'Elysée. Renaissance Numérique y réclame la création d'un secrétariat d'Etat au développement numérique qui servirait d'interlocuteur unique pour toutes les questions relatives à Internet, en rappelant que Nicolas Sarkozy s'était engagé lors de campagne électorale à confier à un membre du gouvernement "la mission de prospective, de pilotage et de coordination de la politique de l'Internet et du numérique".

C'est Renaissance Numérique qui, dans un livre blanc publié fin mars, quelques semaines avant les élections présidentielles, avait suggéré que les entreprises puissent faire don de leurs anciens matériels informatiques à leurs employés. Une proposition finalement entendue puisqu'un amendement préconisant la suppression de charges sociales lors du don d'équipements déjà amortis a été adopté dans le cadre du vote en première lecture de la loi de finances 2008, le 26 novembre dernier.

Dans cette "lettre vidéo ouverte", ce groupe qui réunit quelques dizaines de personnalités du Web et des télécoms français rappelle que la France n'occupe que la 19e place au classement mondial des pays connectés à Internet. Il invite le gouvernement à faire de l'accès à Internet un service universel auquel 100% des Français devraient donc avoir droit, et préconise que soit par exemple utilisé à cette fin les fréquences libérées par le passage de la télévision au tout numérique dans les prochaines années.

Transmettre ce message au moyen d'un iPhone est-il une façon de s'assurer d'être entendu ? Quel que soit l'intérêt du président de la République pour les gadgets high-tech, Renaissance Numérique assure sa position avec un argument nettement plus persuasif : selon le think tank, le développement numérique permettrait de gagner un point de croissance supplémentaire, de créer des emplois et donc d'augmenter le pouvoir d'achat... sujet longuement débattu par Nicolas Sarkozy lors de son allocution télévisée du 29.
Silverlight 1.1 n'est plus, vive Silverlight 2.0. La prochaine version de la technologie de développement d'applications Internet enrichies (ou RIA, pour Rich Internet Applications) est considérée comme une évolution suffisamment importante pour que l'on passe directement à une version 2. Alors que la version 1.0, disponible depuis le mois de septembre, se limite à la réalisation d'interfaces et de scénarios multimédias dans le navigateur Web, la version 2.0 devrait intégrer une dimension supplémentaire avec la prise en charge de l'intégralité des langages capables de fonctionner au sein de l'environnement .NET, ainsi que de la machine virtuelle de ce même environnement (Common Language Runtime). L'extension du framework .NET LINQ, ou Language Integrated Query, devrait également être de la partie, permettant ainsi à une application Silverlight d'interroger plusieurs sources de données.

Scott Guthrie, directeur général dans la division Developer de Microsoft, indique sur son blog que cette nouvelle mouture de Silverlight devrait voir le jour en début d'année prochaine. Aucune date de sortie précise n'est évoquée, mais il parait fort plausible que la firme de Redmond arrive à la conférence Mix08 du mois de mars avec dans ses valises une version finale ou, à défaut, une bêta avancée, de ce Silverlight 2.0. Cette nouvelle version sera proposée aux développeurs en association avec une licence Go Live, qui permet l'utilisation d'une version bêta dans un environnement de production.

Anciennement connu sous le nom de code WPF/E, ou Windows Presentation Foundation/Everywhere, Silverlight devrait permettre, à terme, le développement de véritables applications en ligne. Microsoft pourrait par exemple l'utiliser pour mettre au point des outils bureautiques en ligne afin de concurrencer des initiatives comme Buzzword d'Adobe, ou les services de Google. Associée à des extensions de développement spécifiques à Visual Studio 2008, la technologie Silverlight est accessible sous la forme d'un plug-in pour les principaux navigateurs Web du marché. Une version Linux est également en cours de développement en association avec Novell dans le cadre du projet Mono. A ce sujet, on consultera cet entretien avec Miguel de Icaza, vice-président en charge du développement plate-forme chez Novell et fondateur du projet Mono.
Un ORM est un "Object Relationnal Mapper", et plus exactement un outil permettant de manipuler les données d'une base au travers d'objets.

Un comparatif a été réalisé jylog sur de nombreux outils déjà existant. Les tests ont été portés sur Doctrine, Propel, phpMyObject et jDao.

- [lien=http://ljouanneau.com/blog/2007/11/29/723-comparatif-des-performances-des-orm-php]Comparatif des performances des ORM PHP[/lien]
Après avoir annoncé le lancement du projet Android, Google multiplie les initiatives à destination de l'univers des téléphones mobiles. Dernière en date, tout juste annoncée : "My Location", un service associé à Google Maps permettant de positionner automatiquement l'utilisateur d'un téléphone mobile sur une carte grâce à un algorithme de triangulation s'appuyant sur l'emplacement des antennes téléphoniques situées à proximité.

Un GPS sans puce GPS ? Pas vraiment, puisque Google parle d'une précision d'environ mille mètres. Autrement dit, My Location devrait permettre à un utilisateur de téléphone mobile de repérer où il se trouve dans une ville qu'il ne connait pas, mais ne se révèlera pas assez précis pour qu'il puisse déterminer sa position exacte sur Google Maps. Les téléphones munis d'un module GPS ne représentent à l'heure actuelle qu'une portion infime du marché, et divers acteurs comme Navizon proposent déjà des solutions de géolocalisation se basant sur le réseau GSM.

My Location se veut très simple d'accès. Après avoir lancé Google Maps sur son mobile, l'utilisateur n'aurait qu'à composer le 0 pour que la carte se centre automatiquement sur sa position. Si son téléphone dispose d'une puce GPS, un simple point indiquera avec précision l'endroit où il se trouve. Le cas échéant, le point sera entouré d'un halo de couleur de façon à représenter la zone dans laquelle est censée évoluer le mobinaute en prenant en compte la marge d'erreur due à la triangulation.

Google indique que ce service, actuellement en version bêta, est compatible avec la majorité des smartphones disponibles sur le marché. Il fonctionnerait en effet aussi bien avec les BlackBerry qu'avec les appareils équipés de Symbian S60 3e édition ou de Windows Mobile. Afin de désamorcer les éventuelles polémiques relatives aux infractions à la vie privée, Google précise qu'aucune information personnelle n'est enregistrée par son service, qui se contente de données anonymes.
Pionnier de la bannière et inventeur du lien sponsorisé via le rachat d'Overture, Yahoo continue d'innover dans l'univers du marketing interactif. Le groupe américain vient en effet de s'associer à Adobe afin de lancer un nouveau format s'affichant directement dans les fichiers PDF.

Baptisé "Ads for Adobe PDF Powered by Yahoo", le format vise en priorité les éditeurs traditionnels de journaux ou de magazines "papier", mais dont le titre peut également être diffusé aux internautes sous forme d'un fichier PDF,

Disponible dans un premier temps sous forme de liens sponsorisés dans des titres issus de groupes tels qe IDG, Pearson, Meredith Corp ou Reed Elsevier, ce format confirme en tout cas l'intérêt de Yahoo pour les éditeurs traditionnels. Le groupe est d'ailleurs au coeur du "Newspaper Consortium Partnership" réunissant plusieurs grands quotidiens américains, dans lesquels Yahoo rediffuse une partie de ses annonces publicitaires et autres offres d'emplois.
Apple a délivré aujourd'hui une note pour rappeler aux utilisateurs de Mac OS X Tiger que BootCamp beta ne sera plus développé par Apple et devrait bientôt cesser de fonctionner. Ainsi, à partir du 31 décembre 2007, l'assistant permettant de créer un CD d'installation pour placer Windows sur Mac doté du système Mac OS X Tiger devrait cesser de fonctionner. Les partitions Windows créées avec la version beta de BootCamp pourront toujours être utilisées. A présent Bootcamp (en version finale) est intégré en standard dans la nouvelle version de Mac OS X : Leopard.

Parallèlement à cela, plusieurs utilisateurs rapportent de gros soucis avec l'installation de Mac OS X 10.4.11 Tiger sur des machines dotées de partitions créées par Bootcamp. Ces soucis vont jusqu'à l'impossibilité de booter. La seule solution pour régler ce problème consisterait à formater et à réinstaller l'intégralité de son système en ayant sauvegardé préalablement ses données via l'option "target FireWire disk".

Les échos de ce gros soucis seraient parvenus jusqu'aux oreilles d'Apple qui serait en train d'étudier le problème. En attendant, avant d'installer la mise à jour 10.4.11 pour Tiger il est conseillé de désinstaller Bootcamp.
Le développement du premier Service Pack de Windows Vista continue d'avancer et Microsoft devrait mettre en ligne, auprès de ses testeurs, une nouvelle version Beta du Service Pack 1. Prévue pour la semaine du premier décembre, cette version serait une Release Candidate. En d'autres termes le travail sur le Service Pack 1 touche à sa fin et Microsoft semble en passe de tenir ses délais.

Microsoft pourrait par la suite étendre le test de la Release Candidate du Service Pack 1 au public en mettant à disposition de tous cette version et ce dès la seconde semaine de décembre. Normalement la version finale du Service Pack 1 de Windows Vista devrait voir le jour dans le courant du premier trimestre 2008.
L'Association française pour le nommage Internet en coopération (Afnic) fait le bilan de la situation du '.fr'. L'extension française affiche, 18 mois après son ouverture aux particuliers, 965.467 domaines délégués par l'organisation.

En 2006, ouverture de l'extension au grand public oblige, le nombre d'enregistrements de '.fr' a augmenté de 63%. Les particuliers (moyenne d'âge 35 ans) comptent pour plus de 30% des '.fr' déposés (289.640 sites, à ce jour). Les '.fr' sont liés à 46% à des sites professionnels, à 17% à des pages d'attente, à environ 5% à des pages personnelles. La moitié des nouveaux enregistrements émanent de particuliers.

Par ailleurs, la plupart des titulaires ne possèdent qu'un seul nom de domaine en '.fr', ils sont seulement 2% à en avoir déposé plus de cinq. Enfin, toujours d'après l'Afnic, 23% des communes de France et 60% des 1.500 premières entreprises françaises ont déposé un '.fr' lié à leur nom/marque.

Quoi qu'il en soit, l'engouement pour le '.fr' reste limité. Alors que le million de '.fr' pourrait être atteint début 2008, le '.de' allemand identifie plus de 11 millions de sites Internet à ce jour. Le '.de' est seulement devancé par l'extension générique la plus demandée au monde, le '.com' (plus de 62 M), mais surpasse le '.net' (plus de 8 M). Arrivent ensuite le 'cn' chinois (plus de 7 M) et le 'uk' anglais (6 M). Le 'fr' occupe la 15ème position de ce classement.
Lancé en 2006, le projet de bibliothèque numérique européenne (BNE) progresse lentement. Née d'un accord entre bibliothèques, archives et musées européens, une fondation dédiée vient d'être créée. Celle-ci a pour mission de coordonner les efforts engagés par ces acteurs afin de proposer un point d'accès commun et multilingue au patrimoine culturel européen sur Internet, indique Bruxelles dans un communiqué daté du 28 novembre 2007.

"Tous les citoyens européens devraient pouvoir profiter de la richesse de notre patrimoine culturel. Cette fondation (regroupement d'associations européennes du domaine) représente un premier pas important vers la réalisation de cet objectif", a déclaré Viviane Reding, commissaire en charge de la société de l'information et des médias. Selon la commissaire, cette initiative "traduit la volonté des institutions culturelles européennes de travailler ensemble et de permettre au grand public de consulter leurs collections via un point d'accès commun".

Méthode Coué ? L'UE des 27 peine tout de même à s'entendre sur le financement de la numérisation de masse par le biais de partenariats public-privé. Elle s'interroge sur les solutions à adopter pour rendre consultables les œuvres protégées par des droits d'auteur. Pendant ce temps, aux Etats-Unis, une société privée, spécialiste des technologies de recherche et des liens sponsorisés, développe son propre projet de bibliothèque numérique avec succès.

Lancé fin 2004, le Google Library Project regroupe, à ce jour, 18 bibliothèques partenaires : la New York Public Library, les campus américains de Cornell, Harvard, Stanford, Princeton, Californie, Michigan, Virginie, Wisconsin-Madison, Texas-Austin, le consortium CIC, la bibliothèque de l'université Keio au Japon, les campus européens d'Oxford (UK), Complutense (Espagne), Catalogne (Espagne), Bavière (Allemagne), Lausanne (Suisse) et Gand (Belgique). Google mène également un projet pilote avec la très prestigieuse bibliothèque du Congrès des Etats-Unis.

Les institutions culturelles européennes, de leur côté, "envisagent de lancer un prototype de BNE en novembre 2008". En théorie, 2 millions de livres numériques, photographies, cartes, films et autres documents émanant de bibliothèques, archives et musées européens seront accessibles en ligne dans ce cadre. Ce chiffre devrait largement dépasser les 6 millions dès 2010, selon les prévisions de la Commission européenne.
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