Une nouvelle affaire d'utilisation illégale d'une connexion Internet relance le débat sur l'obligation de sécurisation du WiFi. Le quotidien La Nouvelle République relate l'affaire d'un internaute qui utilisait frauduleusement la connexion de son voisin. Pendant quelques mois, un homme a utilisé la connexion de son voisin pour y faire ce qu'il voulait
Visiblement, cet habitant de Niort ne s'est pas gêné pour faire accuser son voisin d'avoir inscrit une chef d'entreprise sur des sites coquins. Cette connexion clandestine sur un réseau sans fil est arrivé jusqu'aux oreilles de la police après qu'une femme chef d'entreprise ait été harcelée par des appels téléphoniques. Ces derniers, plutôt d'un type graveleux étaient la conséquence de son inscription, à son insu, sur des sites de rencontre de la région.
Après enquête, la police est remontée vers un suspect grâce à son adresse IP. Pour autant, ce dernier nie tout en bloc et explique qu'il a été cambriolé l'an dernier. TV, téléphone portable et ordinateur avaient alors été dérobés par son voisin. Les inspecteurs se sont alors rendu compte que l'homme utilisait tout simplement, la connexion et donc l'adresse IP de son voisin.
Signe que l'adresse IP seule est un élément à prendre avec précaution, cette affaire illustre parfaitement les risques d'Hadopi. A ce titre, la riposte graduée a promis d'utiliser cette même adresse IP pour sanctionner les internautes qui téléchargeraient illégalement des contenus. Un abonné pourra faire appel auprès d'un juge mais uniquement après la sanction.
Visiblement, cet habitant de Niort ne s'est pas gêné pour faire accuser son voisin d'avoir inscrit une chef d'entreprise sur des sites coquins. Cette connexion clandestine sur un réseau sans fil est arrivé jusqu'aux oreilles de la police après qu'une femme chef d'entreprise ait été harcelée par des appels téléphoniques. Ces derniers, plutôt d'un type graveleux étaient la conséquence de son inscription, à son insu, sur des sites de rencontre de la région.
Après enquête, la police est remontée vers un suspect grâce à son adresse IP. Pour autant, ce dernier nie tout en bloc et explique qu'il a été cambriolé l'an dernier. TV, téléphone portable et ordinateur avaient alors été dérobés par son voisin. Les inspecteurs se sont alors rendu compte que l'homme utilisait tout simplement, la connexion et donc l'adresse IP de son voisin.
Signe que l'adresse IP seule est un élément à prendre avec précaution, cette affaire illustre parfaitement les risques d'Hadopi. A ce titre, la riposte graduée a promis d'utiliser cette même adresse IP pour sanctionner les internautes qui téléchargeraient illégalement des contenus. Un abonné pourra faire appel auprès d'un juge mais uniquement après la sanction.
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