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le 16/12/2010 à 00:00
Retour Expérience : IRCGN
Un communiqué de presse a été publié aujourd'hui concernant l'utilisation du langage PHP et du Framework 'Symfony'.

L'accompagnement de ce projet a été réalisé par l'agence Sensio labs pour L'Institut de Recherche Criminelle de la Gendarmerie Nationale (IRCGN) pour aider à résoudre les différents problèmes : Optimisation, uniformisation, accompagnement...

Pour connaître l'ensemble des détails, il suffit de vous rendre directement au communiqué.

- Les Experts du Fort de Rosny choisissent PHP et Sensio Labs
Souvenez-vous en juin 2009, Microsoft avait lancé une campagne promotionnelle pour son navigateur Internet Explorer 8. Baptisée "Browse the Better", cette dernière avait été réalisée en partenariat avec l'association caritative Feeding America. Pour chaque installation d'IE8 Microsoft promettait de reverser l'équivalent de 8 repas à l'association composée de 206 banques alimentaires.

Avant les fêtes de fin d'année, Google a également entrepris d'associer son navigateur Google Chrome à des oeuvres caritatives. Baptisée Chrome For A Cause, cette initiative prend la forme d'une extension qui trouvera sa place à droite de l'Omnibar. Une fois installée cette dernière comptabilisera le nombre d'onglets ouverts par l'internaute qui constituera ainsi un panier de crédits pour l'internaute. A la fin de chaque journée l'utilisateur choisira alors l'association à laquelle il souhaite reverser ses crédits. De son côté, Google transformera ces points accumulés en dons financiers. Notons tout de même que Google plafonne le surf quotidien à 250 onglets au rythme maximum d'un nouvel onglet ouvert par seconde. Au total, Google annonce vouloir allouer 1 million de dollars à cette cause. Il revient donc à vous de décider comment répartir cet argent.

Parmi les oeuvres caritatives et organisations participant à ce projet notons l'association écologique The Nature Conservancy, les groupes Charity: Water et Room to Read, respectivement chargés d'apporter de l'eau potable et des outils éducatifs dans les pays en voie de développement, Médecins sans frontières, et l'association Un Techo Para Mi Pais, soutenant les familles pauvres de 19 pays d'Amérique.

Ainsi le projet Chrome For A cause est l'occasion pour Google de promouvoir son navigateur tout en faisant appel à votre générosité en cette fin d'année. Cette initiative prendra fin dimanche.
C'était annoncé et couru d'avance, et bien c'est désormais validé et officiel : la TVA sur le Triple Play passera à 19,6 %. La mesure figurant dans le projet de Loi de Finances 2011 vient finalement d'être votée par le Parlement, après un passage en Commission Paritaire Mixte en début de semaine (NDLR : c'est une petite assemblée chargée de trouver des compromis quand il y a gros désaccord entre l'Assemblée Nationale et le Sénat, qui forment le Parlement).La taxation, qui était alors de 19,6 % sur la moitié de l'offre et 5,5 % sur l'autre moitié, va ainsi passer à 19,6 % sur l'ensemble du montant hors taxe. Sont visées toutes les offres qui englobent du contenu télé. En théorie, sur un montant TTC arrondi à 30 € par mois, un rapide calcul nous amène à déterminer la valeur hors taxe à 26,64 € (13,32 € HT par moitié).

Une fois le passage de la TVA à 19,6 %, le prix de l'abonnement devrait donc grimper à 31,86 € (un peu moins pour un abonnement à 29,90 €...), soit 1,86 € d'augmentation. Mais dans la pratique, les calculs risquent d'être un peu biaisés...Orange, le seul FAI à être déjà monté au créneaux, a annoncé une répercussion de TVA de 3 € maximum à compter du 1er février 2011. Son offre de base à 34,90 € passera par exemple à 37 €/mois. La pratique rejoint la théorie, puisque 19,6 % appliqués sur les 31 € HT d'abonnement font bien 37 €/mois. Chez SFR la communication avoue clairement que la hausse de TVA sera répercutée, en totalité ou en partie. Mais la décision n'a pas encore été arrêtée. Idem chez Free : tous les abonnements concernés (Triple Play avec télé) vont subir la répercussion de la hausse de TVA, mais on ne sait pas encore dans quelle mesure. Du côté de Numericable, on ne sait pas...

Ce qu'il y a de sûr, c'est qu'avec les nouveaux forfaits gonflés qui accompagnent les nouvelles box, Neufbox Evolution à 34,90 €/mois et Freebox Revolution à 35,98 €/mois, la potentielle répercussion de TVA sera encore plus lourde.

Formulons maintenant cette petite question hypothétique. Avec le forfait Free à 35,98 €, une répercussion complète de l'augmentation de la TVA nous amènerait à 38,22 €/mois TTC : le FAI va-t-il proposer le prix psychologique de 39,99 €/mois ?
Voilà une annonce qui risque de faire parler d'elle ! Chez Facebook, on est parti du constat que des milliers d'images sont mis en ligne par les internautes tous les jours. On est également persuadé que c'est la fonction de tag qui donne son intérêt à cette mise en ligne massive de photographies personnelles, puisqu'elle permet de partager souvenirs et autres moments inoubliables.

Mais taguer les photos ça prend du temps, alors pourquoi ne pas le faire automatiquement ? Comme nous l'annonce Justin Mitchell sur le blog de Facebook, le site communautaire aura recours dès la semaine prochaine un outil de reconnaissance faciale. En quoi consiste-t-il exactement ? Lors de l'envoi sur les serveurs du site d'un groupe de photo, une fenêtre vous proposera de marquer les visages détectés (grâce à l'outil de détection de visage introduit l'été dernier). Si certains d'entre eux sont présents sur plusieurs photos, le marquage s'effectuera en masse sur toutes les photos dans lesquelles ces visages apparaissent. Fort d'une base de données qui se constituera ainsi, Facebook sera alors en mesure de vous proposer des choix pour marquer plus facilement les personnes présentes sur vos photos.

Une base de données qui a forcément de quoi inquiéter. Pour éviter toute attaque dont le sujet serait, au hasard, le respect de la vie privée, le site a prévu une option permettant de désactiver cette fonctionnalité sur votre compte. Ceci empêchant Facebook de procéder à la reconnaissance automatique de votre visage. La personne qui voudra marquer votre présence sur l'une de ses photos devra donc le faire manuellement, comme c'est le cas actuellement. Une question cruciale demeure toutefois : comment Facebook va-t-il s'en sortir avec les jumeaux ?
le 15/12/2010 à 00:00
Fork ou pas fork
Depuis quelques mois l'open source a été au devant de l'actualité avec de nombreux rebondissements, de séparations, rapprochements, etc...

Trois secteurs ont été plus impactés par rapport aux autres. Il s'agit des bases de données, de la bureautique et des environnements linux.

Le magazine Programmez de décembre 2010 (disponible en librairie), consacre un dossier « enquête » et surtout dresse une situation autour de ces projets par rapport aux forks. Le dossier parle des sujets suivants :
- MySQL menacé par MariaDB et SkySQL
- Les challenges de Mandriva
- LibreOffice veut-il la mort d'OpenOffice ?

Bien sur, l'AFUL (Association Francophone des Utilisateurs de logiciels libres) rentre plus en détails dans la définition du FORK vous permettant de mieux appréhender ce sujet.

- So;;qire ;qgqwine Programmez 136
Comme prévu, l'Arcep a donné des orientations au sujet du déploiement de la fibre optique en dehors des zones considérées comme très denses. Deux décisions ont été adoptées afin de développer le très haut débit. D'un côté, il s'agit d'encourager le co-investissement entre opérateurs. De l'autre, l'objectif est d'octroyer plus rapidement des aides destinées au déploiement.La semaine dernière, l'Arcep avait salué l'accord de co-investissement sur la fibre entre Bouygues et SFR. Il s'agissait alors de « zones très denses » ou ensembles regroupant 146 communes ou communautés urbaines autour des grandes agglomérations françaises. Le régulateur expliquait alors vouloir également définir les règles pour le déploiement en dehors de ces zones très denses.

Dans un =26&cHash=32e1413d12]communiqué l'Arcep explique que : « L'Autorité poursuit activement ses travaux afin de préciser dans les meilleurs délais certaines modalités détaillées de mise en oeuvre des décisions précitées, en particulier les modalités de co-investissement ».

Outre le précédent Bouygues-SFR, cette mesure vise à réduire le poids de l'investissement financier supporté par les opérateurs mais nécessaire au déploiement de la fibre. Ainsi, le président de l'Arcep, Jean-Ludovic Silicani a estimé ce coût à 24 milliards d'euros. La charge pourrait être ainsi répartie sur une base de 50/50 entre privés et l'Etat.

La seconde mesure du régulateur des Télécoms vise à fixer les conditions d'éligibilité au Fonds d'aménagement numérique du territoire (Fant). Par ce biais, les opérateurs vont pouvoir bénéficier d'aides « pour la réalisation d'infrastructures et de réseaux permettant d'offrir du très haut débit ». L'architecture du déploiement se met en place...
Mark Zuckerberg a été nommé "personnalité de l'année 2010" par le magazine Time. Pour "avoir connecté plus d'un demi milliard de personnes et tissé leurs relations, pour avoir créé une nouvelle manière d'échanger de l'information, et pour avoir changé la manière dont nous vivons tous nos vies," l'influent hebdomadaire américain a désigné le fondateur de Facebook.

Décrit par le directeur de la rédaction Richard Stengel comme un "chef d'État en t-shirt", puisque le réseau social représente près d'un dixième de la planète, il est à 26 ans le second plus jeune "homme de l'année", derrière l'aviateur américain Charles Lindbergh, qui avait 25 ans quand il a été nommé en 1927.Julian Assange plébiscité par les internautes

Les lecteurs du site Internet du magazine avaient pourtant plébiscité Julian Assange. Le fondateur présumé du controversé WikiLeaks a récolté 382 020 du total des 1,25 million de votes, loin devant les 148 383 votes du second, le premier ministre turc Recep Tayyip Erdogan. Mark Zuckerberg n'est quant à lui qu'à la dixième place du classement des lecteurs.La sphère Internet à l'honneur

Qu'on croie ou non à la théorie du complot, à des pressions politiques ou à un choix légitime du Time, il est quoi qu'il en soit intéressant de noter que les personnalités de l'année sont toutes deux issues de la sphère Internet. Bien que leurs projets soient très différents, ils incarnent chacun à leur façon les nouveaux rapports qu'ont les internautes à l'information, tant en tant que consommateurs qu'en tant que contributeurs.
Il fallait suivre de près les débats à l'Assemblée nationale pour connaître l'issue du feuilleton portant sur la taxation de la publicité en ligne. Suite à de fortes critiques, le ministre du budget a expliqué lors des débats que la taxe serait reportée.Pour rappel, la taxe de 1 % sur l'achat de publicité en ligne également appelée taxe Marini ou taxe Google, vise les entreprises qui échappent à la fiscalité française. Les cas de Google, Apple, eBay et Amazon sont évoqués comme étant des exemples de firmes installés au Luxembourg ou en Irlande et qui profitent ainsi de la fiscalité avantageuse de ces Etats.

Lors d'une seconde réunion en commission mixte paritaire, François Baroin a déposé un amendement qui vise à : « l'application au 1er juillet de la taxe appelée Google afin de définir les modalités de l'instruction fiscale ». Conclusion, l'application de la taxe est reportée de six mois. Elle devrait donc entrer en application au 1er juillet 2011… Un délai supplémentaire que s'accorde le gouvernement afin de mieux consulter les professionnels du secteur. Quant au vote de l'amendement déposé par le ministre, il ne devrait être qu'une formalité.

L'impact de la mesure était pourtant estimé entre 10 et 20 millions d'euros annuels. Mais 67 chefs d'entreprises de la « Neteconomie » ont dénoncé la taxe. Ils considéraient qu'elle « fauchait les petits Français » au lieu « des géants américains ».Mise à jour: Cet amendement (n°13) proposé par François Baroin vient d'être adopté après vote. Le ministre souhaite d'ailleurs « faire évoluer les mentalités » sur le sujet.
Après les PC, les Mac et les smartphones Android, le service mSpot vient de dévoiler la version iPhone de son application. mSpot permet donc désormais de lire sur iPhone la musique stockée sur son espace de stockage en ligne.

En clair, il suffit de télécharger le client de bureau - et de s'inscrire gratuitement au passage - pour disposer d'un espace de 2 Go de données en ligne. Le client permet d'uploader sa musique, et de l'écouter ensuite en streaming sur n'importe quel appareil disposant de l'application.

La musique est donc partagée entre les différents ordinateurs et appareils mobiles de l'utilisateur, avec une bibliothèque qui reste synchronisée en permanence. L'intérêt est évident : mSpot permet de se créer un équivalent de Deezer qui reste privé et toujours à jour. La musique peut ensuite être lue en streaming, par le biais d'une connexion WiFi ou 3G. Les pistes peuvent également être mises en cache pour éviter les désagréments liés à la perte de réseau.

Seul point noir, l'espace de stockage relativement limité. Cela s'explique par le modèle freemium choisi par mSpot : si vous souhaitez obtenir plus d'espace, il faudra souscrire à une option à 3,99 dollars par mois, qui donne accès à 40 Go de disque.
Il sera bientôt aussi simple d'acheter de l'espace publicitaire sur Twitter que sur Google AdWords. C'est en tous cas ce qu'a tenté de faire comprendre Twitter en dévoilant une nouvelle version de sa page web dédiée aux annonceurs. Dans le futur, un simple formulaire devrait permettre d'acheter un compte promotionnel, des messages mis en avant, ou une place dans les tendances.

Disponible sur la nouvelle page Start Advertising, le formulaire permet de prévoir des campagnes publicitaires immédiates ou programmées dans le futur. Cinq catégories de prix sont proposées, de 10 000 dollars à 100 000 dollars mensuels.

Pour l'heure, la page dédiée ne sert que de formulaire de contact. Dans le futur, elle devrait devenir une solution de souscription en self-service aux outils publicitaires de Twitter. Mais Twitter ne semble pas vouloir aller trop vite non plus, de peur peut-être de faire un faux pas qui donnerait raison à ceux qui craignent la montée du spam sur son service de micro-blogging.

Le nouveau site dédié aux entreprises ne serait ainsi qu'un premier pas, avec une volonté clairement didactique. On retrouve par exemple des catégories aussi étonnantes que « Qu'est-ce que Twitter ? », des « Pratiques d'Excellence », ou un glossaire... Preuve peut-être que tous les services publicité du monde ne sont peut-être pas au courant de la révolution Twitter ou de la façon de s'en servir. En attendant, pour Twitter, c'est un nouveau pas vers un modèle publicitaire qui se fait attendre.
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