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le 28/10/2010 à 12:52
La Carte Musique Jeunes est lancée
Ce jeudi, le ministère de la Culture vient d'annoncer la mise en place de la Carte Musique-Jeunes. Censée favoriser les plateformes légales de téléchargement de musique, l'initiative regroupe 14 portails et se trouve financée par l'Etat à hauteur de 25 millions d'euros. Détails.Disponibles pour 5, 10 et 25 euros, ces cartes sont dès à présent disponibles sur le site du ministère de la Culture consacré à l'opération : www.carte-musique.gouv.fr. Elles permettent alors de pouvoir télécharger pour 10, 20 ou 50 euros de musique de manière légale. L'Etat finance donc pour moitié la carte et « double la mise ».

Le ministre de la Culture, Frédéric Mitterrand, précise : « Cela fait seulement 15 jours que nous avons reçu le feu vert de l'Europe. Ce lancement est un véritable tour de force mais également le reflet d'un consensus des acteurs de la filière musicale. L'objectif est clairement de favoriser la diversité des offres, une diversité source de valeurs ».

Concrètement cette offre doit en principe profiter aux 12-25 ans. L'inscription se fait sur le site puis chaque internaute décide parmi les 14 plateformes celle qu'il souhaite utiliser. Sur le principe seulement puisque le site ne demande qu'une attestation sur l'honneur pour justifier d'avoir moins de 25 ans.

Le ministre répond à cette critique : « La sécurité absolue du système n'est pas assurée car elle n'est pas assurable. Il n'y a malheureusement pas de réponse à cette problématique ». No Comment.

Dans la même veine, le gouvernement a tenu à rappeler qu'il allait continuer de soutenir la filière de la création musicale. Le ministère de la Culture s'est d'ailleurs déjà entendu avec la ministre de l'Economie, Christine Lagarde pour débloquer 10 millions d'euros dans le cadre de l'IFSIC, un fond censé aider la création musicale.

Les offres Musique-jeunes

Pour l'instant 14 plateformes ont répondu à l'appel du gouvernement. iTunes, Amazon, Virgin, Qobuzz, Starzik, CDD1D, eCompil, MySurround, Fnac, DisquaireOnline.com, MyClubbingStore, Deezer, Orange et MusicMe font partie du lot. La plupart des plateformes proposent déjà des offres promotionnelles en ajoutant encore 10 euros au panier (l'offre maximale s'élève donc à 60 euros). D'autres plateformes devraient rejoindre l'aventure comme Spotify ou Zaoza. Si aucun calendrier n'est encore prévu, elles devraient être « bientôt » disponibles, indique le ministère.Par contre chaque plateforme recevra une part des fonds débloqués par l'Etat (25 millions d'euros)en fonction de ses ventes. La limite étant qu'un opérateur ne peut toucher au maximum que 20 % de cette manne. En effet la critique pointe du doigt les « gros » opérateurs comme Apple qui ne paient aucune TVA en France (car basé au Luxembourg) et qui pourraient s'arroger une grande partie du fonds…

Toujours est-il que les plateformes participantes saluent cette mesure de l'Etat. Jérôme Giachino, fondateur et p-dg de Starzik témoigne : « Les internautes ont été déçus par les DRM mais s'aperçoivent que les services légaux se sont améliorés. Désormais, le marché numérique doit supplanter le support physique. Le secteur doit regarder en avant ».

Les acteurs de la filière sont d'ailleurs en pleine discussion avec Emmanuel Hoog. L'enjeu de ces pourparlers sera à nouveau d'encourager le décollage de « services en lignes attractifs » souligne Frédéric Mitterrand. La bataille de la musique numérique est donc loin d'être terminée, tout comme la lente mutation de l'industrie musicale…
le 28/10/2010 à 12:52
Définir un budget pour un CMS
DoNanza a publié un rapport, que le CMS Magazine a repris et a effectué un résumé, montrant la tendance des choix des CMS entre les 3 CMS les plus utilisés : Drupal, Joomla, Wordpress, un secteur en forte croissante.

Le rapport s'est penché sur la période du premier trimestre 2010 et montre que suivant le budget et surtout les fonctionnalités ou utilisations souhaitées par les utilisateurs, le choix du CMS sera différent.

Par ailleurs, l'étude montre les internautes choississent Wordpress pour commencer et au final seulement 18 % des sites seront 100 % Wordpress, par rapport à un CMS Drupal qui possèdent un de 31%.

Du coté du développement, Joomla serait privilégié par rapport aux autres CMS.

- Report : Most CMS Sites Use Wordpress, Largest Budgets Goes to Drupal
le 28/10/2010 à 12:52
Newswall
Newswall est une application réalisée en PHP, avec une approche différente de ce que vous avez l'habitude de voir.

Newswall va vous permettre d'afficher sur un mur un ensemble d'emails ou de flux RSS en un minimum de clics.

Différents thèmes sont disponibles, pour vous permettre de personnaliser la présentation. Cette application fonctionnement principalement avec les dernières versions des navigateurs du marché. Par ailleurs, une version de démonstration est disponible sur le site web.

- Site officiel Newswall
- Demo Newswall
L'éditeur du logiciel d'échange de fichiers en P2P Limewire vient d'annoncer la fermeture du service suite à la réception d'une injonction formulée par un tribunal américain l'enjoignant de cesser séance tenante la distribution de son programme. Jeudi matin, le site Limewire.com n'affiche plus que la décision de justice faisant état de cette injonction.

Si sa notoriété n'égale pas celle du vénérable Napster ou de concurrents tels que BitTorrent ou eMule, le client Limewire a fait, depuis le début des années 2000, les belles heures des internautes amateurs de téléchargement illégal de musique, bénéficiant de ce fait d'une popularité suffisante pour attirer l'attention de la RIAA, organisation chargée de la défense des intérêts des maisons de disque américaines. Quelques semaines après avoir obtenu la condamnation du fameux Kazaa, la RIAA décide en août 2006 de s'attaquer à Limewire.

Quatre ans plus tard, l'affaire connait donc son épilogue. Une fin programmée, puisque l'industrie du disque a déjà accumulé plusieurs victoires contre le site, se félicitant à chaque fois de la publication de décisions établissant la responsabilité de l'éditeur dans les actes de téléchargement illégal - et donc de contrefaçon - commis par l'entremise de son logiciel.
Après avoir ouvert la connectivité IMAP à l'ensemble des utilisateurs, Yahoo! dévoile aujourd'hui en bêta la nouvelle version de son service de courriers électroniques. Initialement dévoilée au mois de mai par Blake Irvin, vice-président du département Yahoo! Products, cette mouture a pour but d'optimiser la réactivité en unifiant les différentes déclinations de Yahoo! Mail avec les versions optimisées pour Yahoo! Mobile, iOS et Android.

En promettant un service deux fois plus rapide, l'équipe de Yahoo! Mail propose une nouvelle interface utilisateur jugée plus facile de prise en main. La barre latérale de gauche présente plusieurs ré-agencements au niveau des dossiers personnels, de la liste des contacts connectés à Yahoo! Messenger et des applications tierces. Notons au passage que la liste de ces dernières n'a pas été étoffée. Ecrites en HTML, CSS et Javascript, ces modules profitent cependant d'une nouvelle gestion avec une base de données centrale capable de déployer les mises à jour immédiatement pour l'ensemble des utilisateurs.

Outre Facebook et Yahoo! Pulse, le réseau Twitter fait son apparition. L'internaute sera donc en mesure de recevoir le fil d'actualité de ses contacts et de mettre à jour d'une traite ses différents profils. Relativement capricieux dans la version Ajax de Yahoo! Mail, le moteur de recherche est désormais plus rapide et dispose d'une meilleure indexation. Sur la page des résultats nous retrouvons une ergonomie qui se rapproche de celle de Yahoo! Mail Classic avec toujours la possibilité de trier les résultats par expéditeurs, années, dossiers, marqueurs ou par types de pièces jointes. A l'instar de Hotmail, et Gmail certains médias sont directement accessibles au sein des messages. « Pour l'instant nous prenons en charge les photos de Picasa et Flickr et les vidéos de Youtube », explique Christophe Pelletier, directeur de la communication chez Yahoo! France. Notons au passage qu'il n'est pour l'instant pas possible de choisir un thème de couleur par défaut ; si de cette manière la société uniformise ses différentes déclinaisons de Yahoo! Mail, il faudra cependant aimer le violet...

Côté technique, l'optimisation du service a été réalisée grâce à l'usage de CSS3 au niveau de la feuille de style et ce afin d'éviter l'usage d'images pour le rendu des éléments graphiques qu'il s'agisse des effets d'ombrages, de la couleur de fond et pour retourner quelques effets de style avec l'usage de border-radius. Côté JavaScript, les développeurs se sont appuyés sur YUI 3, la dernière version de la bibliothèque écrite par les ingénieurs de Yahoo! Cette version permet de télécharger au fur et à mesure les éléments nécessaires au bon foncitonnement de l'application plutôt que de les charger tous dès son ouverture. Finalement le poids total des éléments téléchargés est réduit de 35%.

Toujours dans l'optique d'accélérer Yahoo! Mail, les développeurs ont également revu les accès HTTP avec désormais une seule connexion qui transferra en streaming les données depuis le serveur. Cette technique s'avérerait particulièrement performante dans les zones où le débit de la connexion Internet est limité.

La migration vers la nouvelle plateforme s'accompagne également d'un dispositif de scan des messages similaire à celui de Gmail. « Nous repérons les mots-clés, les noms, les fichiers joints », explique M. Pelletier avant d'ajouter que cette technique vise à retourner de la publicité plus ciblée et permet la mise en place de certaines fonctionnalités comme l'intégration des médias en pièces jointes. « A la différence de Gmail nous ne retournons pas une publicité pour chaque message mais ces données s'ajoutent aux autres que nous enregistrons sur notre portail ». L'internaute peut cependant choisir de ne plus recevoir de publicités personnalisées en se rendant sur cette page.

Cette nouvelle version devrait être finalisée dans le courant de l'année prochaine. A l'avenir elle devrait remplacer la version Ajax, Yahoo! Mail Classic étant toujours utilisé par un certains nombre d'internautes. La prochaine étape de cette bêta consistera à implementer sous la forme d'un onglet la nouvelle version du calendrier. Avec 280,9 millions d'utilisateurs au mois de juillet 2010 (Comscore) Yahoo! se place en seconde position sur le marché derrière Hotmail (355 millions) et devant Gmail (185,7 millions). Yahoo! Mail compterait 27,5 millions d'utilisateurs en Europe dont 6 millions en France. Pour tester la nouvelle plateforme rendez-vous ici.
Une nouvelle extension disponible sous Firefox permet d'usurper l'identité d'un internaute ayant utilisé une connexion WiFi non-sécurisée. Proposée par Eric Butler, un développeur indépendant américain, cette extension risque de faire débat.Gratuite et en Open Source, Firesheep capture les cookies stockés comme des identifiants de connexion aux réseaux sociaux, aux webmails ou bien encore aux sites d'e-Commerce sur les machines connectées à un réseau WiFi ouvert. Elle permet alors à l'attaquant d'utiliser les informations de connexion stockées dans ces cookies pour usurper l'identité de leur propriétaire légitime.

Butler dit souhaiter sensibiliser les internautes aux dangers que représentent les connexions non-sécurisées. Il voudrait également mettre l'accent sur des méthodes de chiffrement comme le SSL ou le traditionnel https. Si ces cookies sont généralement transmis par le biais d'une liaison chiffrée à l'internaute, ils sont ensuite utilisés pour l'authentification de l'utilisateur lors de sa navigation sans mesure de protection particulière.

Cette extension aurait donc été développée afin que les géants comme Facebook, Twitter et Google se sentent plus responsables de la protection des comptes d'utilisateurs. Firesheep permet en effet de capturer des cookies pour se connecter facilement à 26 grands services américains dont Amazon, Facebook, Flickr, Windows Live ou bien encore Wordpress...

Reste à savoir si ce type d'application peut contribuer à augmenter le niveau de sécurité de certains « grands » sites connus.
Alors que PayPal prévoit de lancer sa solution de micro-paiement à la fin du mois ou au début de novembre, PayPal vient d'annoncer que son système serait disponible sur Facebook. Son système de paiement « en deux clics » vient s'ajouter à la longue liste des concurrents déjà sur le marché, mais PayPal a pour lui sa réputation dans les transactions financières en ligne. Et le soutien d'Ebay.

L'avenir du système PayPal semble donc assuré, au moins au niveau des partenaires. Si la version numérique du Financial Times a déjà annoncé être partenaire de l'e-banquier, le soutien le plus important vient évidemment de Facebook. Le réseau social utilisera la solution de PayPal, appelée PayPal for Digital Goods (PayPal pour les biens numériques).

C'est ce qu'a annoncé Sheryl Sandberg, COO de Facebook, à la conférence pour développeurs PayPal X Innovate 2010.

Concrètement, le site de paiment prélèvera 5% des transactions, auxquels viendront s'ajouter 5 cents de dollars sur les échanges inférieurs à 12 dollars. Le système de PayPal sera directement intégrable dans un site web externe, permettant la transaction sans passer par le site du banquier du web.

PayPal a également présenté un service dédié aux entreprises, qui permettra de recevoir et d'envoyer des paiements pour un coût fixe de 50 cents de dollars. Plusieurs partenaires, dont Zoho, ont été dévoilés au cours de la conférence.
Si certains éditeurs, Apple en tête, ont tendance à opposer Flash et HTML5, Adobe semble avoir mis un point d'honneur à affirmer une position conciliante au sujet des deux technologies. Le mot d'ordre, martelé tout au long des deux keynotes du MAX 2010, parfois avec humour (une querelle entre deux muppets), est simple : Flash et HTML5 ne sont pas concurrents mais complémentaires et amenés à cohabiter en paix. Au delà d'un discours qui semble botter en touche, on trouve néanmoins la preuve d'un certain engagement à soutenir les standards du web, tout en défendant évidemment sa plateforme Flash, dans les quelques annonces d'Adobe lors de sa conférence.

C'est ainsi que Kevin Lynch, CTO d'Adobe, est revenu sur l'évolution d'Edge, un prototype d'application en cours de développement, permettant de réaliser des animations basées sur HTML5, CSS3 et le framework Javascript JQuery. Un engagement assez bienvenu dans la mesure où la principale carence de l'approche "standards du web" est actuellement l'absence d'outils permettant de faciliter le développement de sites attractifs. On a pu voir lors de nombreuses démonstrations technologiques qu'il est aujourd'hui possible de se passer de Flash pour réaliser des sites web visuellement attrayants, mais certainement pas avec la facilité offerte par les outils de développement disponibles pour Flash.

Déjà dévoilé à la conférence Google I/O, Edge propose une interface basée sur une timeline, dans la lignée de Flash, pour enrichir ses pages d'animations et de transitions. Pas de quoi s'affoler en revanche : l'application n'est encore qu'un projet loin d'être finalisé, qui vient néanmoins s'ajouter aux quelques efforts récemment consentis par Adobe, notamment les packs HTML5 pour Dreamweaver ou Illustrator, ou les contributions d'Adobe à Webkit en ce qui concerne la typographie.

La complémentarité semble donc être le mot d'ordre, et Kevin Lynch de rappeler les différences entre les deux technologies : "Flash offre des possibilités qui dépassent ce que l'on peut faire avec HTML5, je pense notamment à la 3D, qui ne peut être gérée avec HTML5 et CSS3. En outre, le lecteur Flash nous permet de pousser des innovations très rapidement sur un grand nombre de plateformes. 74% des utilisateurs de Flash sont déjà passés à la version 10.1, et nous devrions passer à 98% très bientôt".
Une fois encore la question du financement de la fibre optique revient sur les devants de la scène. Cette fois, c'est la sphère politique qui s'en mêle avec le rapport du sénateur de l'Eure Hervé Maurey (Union centriste). Déposé devant le Premier ministre, ce rapport vise à utiliser les fonds du Grand Emprunt pour financer le déploiement de la fibre. Il prévoit également de nouvelles formes de taxes sur les téléviseurs, les consoles de jeu…Le Sénat vient, avec un rapport d'une centaine de pages, de remettre au goût du jour l'épineuse problématique du financement de la fibre. Sobrement intitulé : « Réussir le déploiement du très haut débit : une nécessite pour la France » (.pdf), le rapport trace les grandes lignes de ce financement.

Tout d'abord, 660 millions d'euros par an pendant une durée de 15 ans seraient ajoutés aux 2 milliards d'euros prévus dans le cadre de « l'emprunt national ». Ce rajout serait financé sur le modèle de l'éco-taxe. Le sénateur propose une « contribution de solidarité numérique prélevée à un niveau relativement modeste sur les abonnements mobiles et l'Internet fixe ». On évoque alors la somme de 0,75 euros par abonnement.

D'autres pistes sont également évoquées comme une taxe sur les revenus publicitaires sur Internet, une taxe sur les jeux en ligne ou encore une taxe basée sur le chiffre d'affaires des opérateurs…

Enfin le rapport prend en compte les produits électroniques grand public. Les téléviseurs (notamment 3D) ainsi que les consoles de jeux. « Une centaine de millions d'euros par an » pourraient ainsi être récoltés, précise le rapport.

Ces propositions doivent désormais être examinées par le Premier ministre. Si certaines d'entre elles sont retenues, elles pourraient être inscrites dans le cadre de la loi de Finances pour 2012…
Le rachat d'ITA Software par Google fait beaucoup de bruit outre-Atlantique. Il était évident que l'entrée dans le giron de Google de cet éditeur d'un système de gestion des réservations aériennes, qui compte beaucoup de compagnies dans ses clients, ne plairait pas. Mais la coalition est particulièrement large pour tenter de bloquer le processus d'acquisition. Elle vient d'annoncer qu'elle allait entreprendre une action devant le ministère de la justice des Etats-Unis.

Parmi les opposants au rachat, on trouve évidemment de nombreux sites dédiés au tourisme. Expedia, Hotwire, TripAdvisor, Travelocity ou encore SideStep et Kayak sont inquiets. « Google pourrait limiter l'accès au logiciel d'ITA, utilisé par de nombreux sites de comparaison de prix des vols. »

Google entend pourtant honorer les contrats d'ITA Software en cours. Mais ça ne suffit pas aux sites qui l'utilisent, qui estiment que Google pourrait diriger les visiteurs sur les résultats qui l'arrangent le plus. La promesse de Google de ne pas vendre directement de billets, et l'assurance qu'il souhaite utiliser ITA Software pour une meilleure pertinence des résultats, ne calme pas non plus l'anxiété des comparateurs de vols.

La coalition, baptisée FairSearch.org, a d'ailleurs reçu un soutien a priori suprenant : celui de Microsoft. Rappelons tout de même que l'intérêt de l'éditeur de Redmond est assez évident ici, puisque son nouveau moteur de recherche Bing propose des comparatifs de billets d'avion directement dans ses résultats de recherche. Le géant pourrait donc lui aussi être touché par un rachat pour Google.

Pour mémoire, Google a signé en juillet dernier un accord final pour le rachat d'ITA Software pour 700 millions de dollars.
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