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Selon un entretien publié par l'agence de presse Reuters (en anglais), l'éditeur de la plateforme de distribution vidéo Brightcove serait en passe de tenter une introduction en Bourse (IPO). L'IPO pourrait avoir lieu au premier semestre 2011, selon l'agence.

Jeremy Allaire, PDG de Brightcove, n'a pas confirmé l'information, mais la nomination de Chris Menard comme directeur financier peut être un indice des intentions de l'éditeur. Il a mené l'introduction en Bourse de Phase Forward, finalement racheté par Oracle, et pourrait donc faire bénéficier Brightcove de son expérience dans le domaine.

Brightcove, qui devrait générer un chiffre d'affaires de l'ordre de 50 millions de dollars pour l'année 2010, serait au centre d'une consolidation nécessaire pour le monde de la vidéo en ligne, selon son PDG. Ce qui indique également que l'entreprise pourrait tenter une IPO - ou s'ouvrir à d'éventuelles offres de rachat.

Aucune confirmation de Jeremy Allaire, donc, même si Reuters cite une source proche du dossier pour ses informations.
Une nouvelle fois le réseau communautaire Facebook est au coeur d'une polémique concernant la vie privée des internautes. En effet, si les utilisateurs sont en mesure de paramétrer les droits de lecture et d'écriture sur leur profil, ces derniers doivent également configurer les droits d'accès des applications. Ces dernières auraient cependant envoyé plusieurs informations à des tiers (annonceurs publicitaires) « par accident ».

C'est le Wall Street Journal qui a découvert cette faille en précisant que les dix applications les plus populaires listées par Inside Network Inc étaient concernées. Zynga (Farmville, Texas HoldEm Poker, Frontierville) et ses 59 millions d'utilisateurs est notamment dans le lot avec également Mafia Wars, Causes et Treasure islands.

Selon le Wall Street Journal, l'identifiant Facebook permettrait de retourner le nom d'une personne même si le profil de l'internaute est privé. "Pour les autres utilisateurs, l'identifiant Facebook révèle les informations qu'ils ont choisi de partager avec "Tout le monde" ; cela inclut l'âge, l'adresse, le statut professionnel et les photos", est-il ainsi expliqué. Ces données ont été envoyées aux annonceurs et aux firmes de collectes telles que RapLeaf. De son côté RapLeaf transmet les informations à d'autres sociétés tierces.

Face à ces accusations, Mike Vernal, ingénieur à Facebook, a publié un billet sur le blog officiel de la société dans lequel il explique : « dans la plupart des cas les développeurs ont transmis ces informations de manière non-intentionnelle mais à cause d'un détail technique du navigateur utilisé ». Et d'ajouter : « la presse a exagéré les conséquences du partage de l'identifiant ». Ce dernier ne permettrait pas d'accéder à des informations privées sans le consentement de l'utilisateur.

Un porte-parole de Facebook explique également avoir fermé les applications ne respectant pas les règles de confidentialité sur le réseau. C'est le cas de l'éditeur LOLapps rassemblant près de 5 millions d'utilisateurs.
le 19/10/2010 à 11:51
Evernote lève 20 millions de dollars
Après avoir levé 10 millions de dollars au mois de novembre 2009, la société Evernote, éditant un outil de prise de note sur le web mais également sous la forme d'un logiciel ou d'une application mobile, annonce que 20 millions supplémentaires ont été apportés par le fond d'investissement Sequoia Capital.

Evernote, qui compte à ce jour 4,7 millions d'utilisateurs, devrait accélérer son déploiement à l'international. Au sein de cette stratégie la start-up a notamment observé l'engouement japonais. Six mois après son introduction dans le pays, les japonais comptent déjà pour 20% des utilisateurs d'Evernote. A cet effet, Evernote devrait augmenter sa masse salariale composée à ce jour de 45 employés.

Au cours d'un entretien recueilli par nos soins l'année dernière, Evernote expliquait que la stratégie commerciale de la société s'articulait principalement autour des comptes premium (commercialisés à 5 dollars par mois ou 45 dollars par an). Ces derniers représentaient alors 80% des revenus.
A en croire un rapport des Nations Unies, le nombre d'internautes devrait dépasser les 2 milliards cette année, soit environ un tiers de la population mondiale. Une évolution plutôt rapide même si les pays en voie de développement ont encore besoin d'y accéder plus rapidement, estime l'ONU.Le nombre d'internautes a doublé ces 5 dernières années. Cette année, parmi les 226 millions de nouveaux connectés, 162 millions proviennent d'un pays en voie de développement explique le rapport de l'International Télécommunication Union (ITU). Parallèlement, d'ici la fin de l'année dans les pays « développés », 71 % des personnes seront connectées au Web.

En détail, en Europe, 65 % des personnes disposent d'une connexion depuis leur domicile contre 55 % en Amérique (nord et sud), 21,9 % en Asie et Pacifique et 9,6 % en Afrique.

Le rapport détaille également l'accès fourni dans les écoles ou dans les endroits publics. Il est alors intéressant de noter que dans les pays en développement, seulement 13,5 % des internautes se connectent depuis leur maison.

Enfin, on remarque que le moyen de communication le plus développé reste le réseau téléphonique. Il surpasse alors de loin Internet dans certaines parties du monde.
Buddy Media, une plateforme de marketing spécialisée dans le réseau social Facebook, vient d'annoncer par la voix de son PDG Mike Lazerow avoir levé 23 millions de dollars dans un round mené par Institutional Venture Partners.

Cette levée de fonds est remarquable par son montant, d'autant qu'au cours du tour de table précédent, en mars dernier, Buddy Media avait déjà levé 2 millions de dollars. La startup n'en était d'ailleurs pas à son coup d'essai, puisqu'elle avait levé 8 millions de dollars précédemment.

300 marques utiliseraient la plateforme de Buddy Media pour relayer leur stratégie marketing sur Facebook. La startup se targue même d'avoir comme clients sept des dix plus gros annonceurs mondiaux.
La loi de Finances passe actuellement devant l'Assemblée nationale. Le sujet de la hausse de la TVA sur les abonnements Triple-Play risque d'être fortement débattu au sein de l'hémicycle. Outre cette thématique d'autres questionnements comme le statut fiscal des jeunes entreprises innovantes seront au coeur des discussions.Plusieurs amendements au projet de loi de finance ont déjà été déposés devant le bureau de l'Assemblée nationale. L'article 11 de la loi devrait être particulièrement visé puisqu'il est à l'origine de la hausse de la part de la TVA taxée au taux normal. Certains amendements (n° 368) visent d'ailleurs à simplement le supprimer. D'autres proposent plutôt d'instaurer un taux intermédiaire à 12 % (n° 434).

De son côté la majorité cherche également un compromis. Certains députés mettent notamment en avant l'application du taux réduit de TVA en échange d'une plus grande participation au Cosip. Pour rappel, ce fond a été mis en place afin de soutenir la création de contenu audiovisuel culturel français.

Enfin outre la question de la TVA, les députés devront également se pencher sur le sujet du statut fiscal des Jeunes entreprises innovantes (JEI). Depuis 2004, ce statut permet aux entreprises de moins de huit ans d'être exonérées d'impôts pendant 5 ans. La seule condition étant d'investir au moins 15 % de son chiffre d'affaires en R et D.

La loi de Finances promet de diminuer ces exonérations voire de les remplacer par un crédit d'impôt recherche. Ce dernier ne tiendrait alors plus compte de la taille de la société…
Crédits : WikipediaC'est en juin 2006 que Ray Ozzie succéda à Bill Gates pour devenir le responsable de l'architecture logicielle de Microsoft. Dans un email envoyé aux employés de la société, le PDG Steve Ballmer annonce qu'il quittera l'entreprise.

« Ray a largement contribué au succès de Windows dès ses débuts », déclare Steve Ballmer en expliquant qu'il a également permis d'assurer la transition vers une stratégie plus axée sur les services et moins sur le logiciel. Avant son départ définitif, Ray Ozzie rejoindra les équipes du département des divertissements chez Microsoft. Aucune information n'a été spécifiée sur un éventuel remplacement.

Avant son arrivée chez Microsoft, Ozzie fut notamment connu pour avoir développé la suite collaborative Lotus Notes. Après le rachat par IBM en 1995 il se joint à l'équipe de Groove Networks laquelle fut à son tour rachetée par Microsoft en 2005. Suite à cette acquisition Ray Ozzie devint le troisième directeur technique de la multinationale.

En octobre 2009, Ray Ozzie avait notamment créé le FUSE Labs, un laboratoire d'idée au sein duquel incubaient plusieurs idées sur les technologies futures de Microsoft dans le domaine du web communautaire. Parmi les projets du FUSE Labs notons Bing Twitter, Docs.com ou encore Spindex. Il fut également à l'origine du service de synchronisation Live Mesh.
le 19/10/2010 à 11:51
Utilisation des closures en PHP 5.3
Depuis la sortie de PHP 5.3, les closures sont souvent employés. Il existe quelques descriptions à travers le web vous montrant toute la nouvelle puissance qu'offre les closures.

Vance Lucas a publié un article sur ce sujet avec 5 exemples pour mettre la théorie en pratique,  qui sont :
- Templating
- Extension code dynamique
- Délais d'exécution
- La mise en cache
- Commodité (comme dans leur rôle dans les fonctions ponctuelles pour les rappels)

Ces 5 exemples montrent qu'il est possible d'utiliser les closures très facilement avec très peu de lignes de codes.

- Practical Uses for PHP 5.3 Closures
Changer son mot de passe deux fois par an, faire fréquemment le ménage en effaçant le cache du navigateur et autres cookies, vérifier que le système d'exploitation est à jour : voici quelques-uns des 18 points évoqués par la "Liste de vérification de sécurité Gmail" publiée il y a quelques jours par Google.

Actuellement proposée uniquement en anglais, cette checklist fait partie d'une démarche de la part de Google pour motiver les internautes utilisant son service à "protéger leur données dans le Cloud" à l'occasion du National Cybersecurity Awareness Month, lancé par Barack Obama début octobre. Dans un long article publié sur le blog Google Online Security, Priya Nayak, qui travaille à la gestion des comptes Google, explique que "les pirates comptent sur les mauvaises habitudes de l'internaute moyen" pour arriver à leurs fins.

Priya Nayak évoque ainsi quelques règles pouvant paraître élémentaires à bon nombre d'utilisateurs du Web, mais qui restent aujourd'hui des facteurs importants de piratage, comme l'utilisation d'un même mot de passe à plusieurs endroits sur Internet, la contamination d'un ordinateur par un malware de type keylogger ou encore les attaques de type phishing qui poussent l'utilisateur à dévoiler son login et son mot de passe via une technique de filoutage. "Les comptes en ligne qui utilisent le même mot de passe sont comme des dominos : quand l'un tombe, il ne faut pas beaucoup de temps pour que les autres tombent à leur tour" explique l'expert.

De plus en plus de grands sites permettant de stocker des informations et des données personnelles sur des serveurs distants mettent actuellement l'accent sur le renforcement de la sécurité de leurs services. Outre Google, qui a annoncé de nouvelles mesures le mois dernier, Facebook et Microsoft jouent également la carte de la sécurité renforcée.

Néanmoins, en permettant à l'utilisateur de Gmail de réaliser lui-même un "checking" de plusieurs points importants concernant la sécurisation de son compte, Google cherche clairement à le mettre face à des points essentiels pour le mobiliser face à des problèmes souvent mal connus ou ignorés. Reste à la firme de Moutain View à traduire cette liste pour la rendre accessible au plus grand nombre.
Après avoir eu une position plus que partagée sur la procédure et l'envoi des e-mails dans le cadre de la riposte graduée, Free rentre dans le rang. Après les rumeurs insistantes évoquant les premiers envois d'e-mails, cette fois la confirmation a été donnée.« Nous allons commencer à envoyer des e-mails ce lundi » explique l'opérateur dans les colonnes du site Les Echos. Il faut dire que face aux imprécisions de la loi Hadopi, un décret a été publié par le Gouvernement. Ce dernier oblige clairement les FAI à envoyer les e-mails communiqués par la haute autorité.

A propos du décret, Xavier Niel explique : « Nous contesterons ce nouveau décret, qui nous semble illégal. Contrairement aux autres FAI, nous appliquerons strictement la loi, mais seulement la loi. Notre position n'était ni marketing ni financière. Nous n'avons pas gagné un abonné en refusant de collaborer au-delà de ce que nous imposent les textes et nos relations avec l'autorité indépendante qu'est la Hadopi sont constructives ».

Juridiquement, la position est tenable. L'opérateur peut agir en utilisant le droit communautaire et saisir la Cour de Justice de l'Union européenne voire le Conseil d'Etat. Free invoquerait ainsi la méconnaissance d'une directive européenne pour rendre son jugement.

Enfin, Xavier Niel n'oublie de donner quelques petits coups de couteau dans la loi Hadopi. Il estime : « Cette loi est une mauvaise loi qui ne résout rien, qui est très simplement contournable et qui ne tient pas compte de l'évolution de la forme que prend le piratage. Je pense qu'il faudrait revenir à l'intention première et avoir une véritable concertation avec l'ensemble des acteurs, et non pas un simulacre de discussion comme cela s'est passé. Nous n'avons pas eu d'échanges avec le ministère de la Culture sur l'indemnisation, qui est de droit ».

Pourtant sur ce dernier point, Frédéric Mitterrand a toujours expliqué être en étroite discussion avec tous les FAI... Reste donc à savoir qui joue un double-jeu.
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