LA GLOBULE

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Les données hiérarchisées sont toutes ces données qui sont organisées sous forme d'organigramme, ou d'arbre généalogique : chaque élément a un parent, et zéro, un ou plusieurs enfants.

Il y a deux modèles pour stocker ces données dans une table MySQL : le modèle adjacent, qui note chez l'enfant un lien vers le parent, et le modèle imbriqué, qui donne un début et une fin à chaque élément.

Matthew Turland rappèle quels sont ces techniques.

- Supporting Hierarchical Data Sets
- Direction¦PHP 21
le 17/09/2007 à 20:13
1997 - 2007 : Google maître du Web ?
Le 15 septembre 1997, il y a tout juste dix ans, deux jeunes étudiants en mathématiques de l'université de Stanford décident de déposer un nom de domaine à la consonance abstraite, Google.com. Dix ans plus tard, devenus trentenaires, ils se trouvent à la tête de l'un des plus colossaux empires jamais construits sur le Web : une société valorisée plus de 150 milliards de dollars, capable de faire de l'ombre aux plus grands acteurs de l'univers de l'informatique.

Google, l'alchimiste du Web

Devenu numéro un mondial de la recherche en ligne grâce à un moteur efficace et redoutablement sobre, Google est parvenu à transformer le concept de liens sponsorisés mis au point par Overture - désormais propriété de Yahoo! - en une incroyable manne financière, qui compte aujourd'hui pour plus de 90% des revenus réalisés par Google.

Août 2004 : Google se lance en bourse, avec un titre dont le cours nominal s'établit à 85 dollars. L'action GOOG se négocie aujourd'hui aux alentours de 525 dollars, soit une capitalisation boursière de quelque 160 milliards de dollars. A titre de comparaison, Microsoft pèse aujourd'hui un peu plus de 300 milliards de dollars, soit deux fois plus que la firme de Mountain View, tandis que Yahoo! atteint tout juste une valorisation de 40 milliards de dollars. En 2006, les revenus de Google ne s'élevaient pourtant qu'à dix milliards de dollars, avec un bénéfice net s'établissant toutefois à plus de trois milliards de dollars !

Initialement dédié à la recherche en ligne, Google a au fil des années étendu ses domaines de compétence. Tout en améliorant sans cesse les dispositifs publicitaires qui lui permettent de générer des revenus et l'infrastructure technique qui lui permet d'indexer jour après jour des milliards de pages Web, la firme s'est progressivement tournée vers des secteurs comme l'actualité ou la géolocalisation, sans parler d'ambitieux objectifs comme celui de la constitution d'une bibliothèque numérique des savoirs avec le controversé Google Books.

Ces douze derniers mois auront vu l'acquisition d'une dizaine de sociétés parmi lesquelles les plus emblématiques sont sans doute le portail de vidéos en ligne YouTube et la régie publicitaire DoubleClick. Elles témoignent de la volonté de Google d'emboîter le plus vite possible le pas aux tendances porteuses que sont la vidéo en ligne et les applications Internet enrichies, sans négliger blogs (Blogger), gestion et hébergement d'images (Picasa), communication (Google Talk), etc. Comme si cela ne suffisait pas, la société lorgne vers d'autres domaines, bien éloignés de sa sphère de compétence initiale : fourniture d'accès à Internet, avec les projets de couverture de villes en WiFi, ou téléphonie mobile, avec un soi disant Google Phone.

Hégémonique Google ?

Cette volonté d'expansion doit-elle laisser craindre le pire ? Celle qui fut un temps l'icône de toute la génération Web ne lasse pas aujourd'hui d'inquiéter, en dépit de la devise initiale formulée par ses fondateurs : "Don't be evil". Des services comme Gmail ou ceux proposés par DoubleClick font planer certains doutes sur la politique de Google en matière de respect des données qui lui sont confiées par les internautes, au point que la firme de Mountain View essaie aujourd'hui de se positionner comme le chantre de la confidentialité des informations personnelles.

Le projet Google Print, aujourd'hui rebaptisé Google Books, a quant à lui fait redouter aux intellectuels européens la prolifération d'une vision américano-américaine de la culture, au motif qu'un unique portail ne pouvait devenir le dépositaire, non exhaustif et peut-être partial, du savoir humain. Enfin, difficile de ne pas être sensible aux appels lancés tout autour du monde contre la censure que font subir à leurs administrés certains gouvernements, surtout lorsque des sociétés prônant le libre accès à l'information telles que Google se retrouvent impliquées.

De son côté, YouTube suscite moult critiques de la part des éditeurs, diffuseurs et distributeurs de contenus, qui n'apprécient pas de voir le fruit de leurs investissements librement manipulés par les internautes sans que leur soient versés les moindres subsides ou compensations pour l'exploitation de leur propriété.

Régulièrement attaqué en justice, YouTube pourrait finir par coûter bien plus cher à Google que les 1,65 milliard de dollars ayant servi à son acquisition. Ajoutons à cela le fait que les revenus de la firme de Mountain View repose presque exclusivement sur la publicité : ce marché a aujourd'hui le vent en poupe, mais qui sait de quoi demain sera fait ?

De jeune pousse innovante, symbole de la vivacité du Web, Google est aujourd'hui devenu un colosse dont les visées oecuméniques inquiètent. Un colosse fermement campé sur ses bases, doté d'un important trésor de guerre, mais dont les ressources dépendent d'un marché publicitaire qui n'est pas à l'abri d'importantes fluctuations...
L'accès à Google et à sa messagerie en ligne, Gmail, aurait été rétabli lundi en Iran, moins de 24 heures après avoir été bloqué par "erreur", a indiqué l'agence de presse iranienne Mehr en référence aux propos d'Hamid Shahriari, secrétaire du Conseil national d'information.

Le moteur de recherche américain est loin d'être le seul à faire les frais de cette politique. Au total, plusieurs dizaines de milliers de sites web étrangers et iraniens ne seraient plus accessibles aux internautes installés en Iran. Les contenus politiques et pornographiques sont les premiers visés par les systèmes de filtrage par mot clé que les fournisseurs d'accès à Internet actifs dans le pays sont dans l'obligation de proposer. Toutefois, les contenus relatifs aux droits des femmes et les sites d'intérêt général ne sont pas épargnés.

Selon Reporters sans frontières, l'Iran a déployé fin 2006 de nouvelles barrières à la navigation web. Le gouvernement iranien aurait pris la décision de brider les débits d'accès à Internet, officiellement pour ne pas surcharger le réseau de piètre qualité, officieusement pour limiter les possibilités de diffusion et de réception de contenus. Avec plus de 7,5 millions d'internautes, dont 100.000 blogueurs, l'Iran est pourtant l'un des pays du Moyen-Orient les plus actifs sur Internet.
Deux ans après avoir lancé Yahoo! 360, plateforme de blogs que l'on peut aujourd'hui qualifier de semi-échec, Yahoo! tente de revenir dans la course aux réseaux sociaux avec Mash, un nouveau service dont la version bêta n'est pour l'instant accessible que sur invitation. Clairement positionné comme le futur concurrent des ténors du secteur que sont aujourd'hui Facebook ou MySpace, Mash sera-t-il un énième clone de ses aînés ou saura-t-il s'en démarquer ?

Comme dans tout réseau social, l'utilisation de Mash passe par la création d'un profil : nom, âge, sexe, pseudonyme, passions et questions diverses permettent de donner un vague aperçu de sa personnalité, ou de celle que l'on souhaite incarner. L'insertion d'une photo est par ailleurs vivement conseillée. Le principe de Mash consiste ensuite, comme sur MySpace, Bebo ou Facebook, à inviter ses contacts à rejoindre le service de façon à créer une communauté. A ce titre, Mash propose un import des contacts en provenance de Yahoo Mail, Gmail ou Windows Live Hotmail, de façon à déterminer si certaines de ses relations disposent déjà d'un profil. Petit hic : l'import depuis Gmail nous a retourné une erreur mais tels sont les aléas d'un service en version bêta.

La page d'un profil se compose de différents blocs pouvant être agencés via glisser déposer. L'utilisateur pourra ainsi afficher les derniers billets de son blog au moyen de son flux RSS ou faire apparaitre les dernières photos publiées sur son compte Flickr. D'autres modules, allant d'un Arkanoid en Flash à un horoscope en passant par un bloc affichant les derniers visiteurs passés sur la page permettent d'enrichir cette dernière. Il est également possible d'initier une discussion puisque les internautes de passage peuvent laisser des commentaires. Couleurs et bandeaux sont modifiables à volonté pour enrichir le design par défaut, excessivement sobre.

Jusqu'ici, Mash ne présente aucune différence flagrante avec ses concurrents, mais Yahoo! innove avec la possibilité offerte aux visiteurs d'une page d'éditer les contenus de cette dernière selon différents niveaux d'autorisation définis par le maître des lieux, celui-ci devant manuellement valider les modifications opérées. On trouve également le "Mash Pet", sorte d'avatar virtuel qui change d'expression en fonction de ce que vous ou les internautes de passage lui prodigueraient comme marque d'affection.

Bien que Yahoo! assure que les développeurs pourront mettre au point leurs propres modules dédiés à Mash, comme le fait Facebook, le service souffre aujourd'hui de quelques criantes lacunes. Par exemple, il est impossible d'envoyer des messages privés à un utilisateur, ou de se créer un profil tourné vers le monde professionnel. Pour finir, on remarquera que le moteur de recherche interne ne balaie pas exclusivement les profils Mash puisqu'il renvoie tout simplement la page de résultats de Yahoo.

Aujourd'hui dépourvu des qualités qui le feraient préférer à un Facebook ou un MySpace, Mash dispose toutefois d'une marge de progression importante, puisque Yahoo n'en est qu'aux prémisses de la première version accessible au public. Le portail américain devrait par ailleurs miser sur la proximité entre Mash et ses autres services pour fédérer les internautes.
On n'en finit plus de trouver des utilités à Google Earth... Après avoir été utilisé pour assister les recherches liées à un disparu, le logiciel de géolocalisation serait de plus en plus populaire auprès des autorités américaines.

Ainsi, la police du compté de Racine (Wisconsin) a arrêté la semaine dernière un homme de 37 ans en possession de 8 Kg de marijuana. La cargaison était placée dans sa voiture. Pendant l'arrestation, les autorités ont également découvert que le contrevenant possédait autour de son cou une unité GPS qui enregistrait ses déplacements.

La police a donc saisi les coordonnées enregistrées par le GPS dans Google Earth afin "d'étudier le terrain" où s'était rendu le hors la loi. Ils ont découvert ainsi qu'il avait notamment visité deux sites différents où il faisait pousser de la marijuana.

Bien qu'il affiche des images vieilles de plusieurs mois, voire de plusieurs années, Google Earth serait également utilisé par la police américaine pour mettre la main sur les propriétaires de terrains / maisons qui auraient effectués des installations particulières sans les déclarer et donc sans payer la moindre taxe / impôt à ce titre. Pour cela, les autorités compareraient les images de Google Earth à des images satellites plus récentes afin de mettre en évidence des changements. Le procédé se révèlerait plus économique qu'une traditionnelle séance photos en hélicoptère.

La police des autoroutes de l'état d'Ohio utilise Google Earth pour "informer" les conducteurs. Elle répertorie ainsi les routes qui comptent le plus d'accidents et de contrôles d'alcoolémie positifs afin que les conducteurs sérieux puissent éviter ces mêmes routes, notamment le samedi soir...
Le Tribunal de première instance des communautés européennes (TPI) a confirmé lundi 17 septembre 2007 la condamnation pour abus de position dominante prononcée à l'encontre de Microsoft en mars 2004. A l'époque, la Commission européenne avait imposé au numéro un mondial du logiciel des mesures correctives visant à garantir l'interopérabilité entre PC/Serveurs sous Windows et logiciels concurrents, et l'avait condamné à 497 millions d'euros d'amende. Le seul point rejeté par le TPI est la désignation par l'exécutif européen d'un mandataire indépendant chargé de contrôler l'application par Microsoft de la décision de mars 2004.

La décision du TPI impose à Microsoft de repenser sa stratégie en Europe. Il est probable, néanmoins, que l'éditeur fasse appel de la décision du TPI, seconde plus haute juridiction européenne installée à Luxembourg, devant la Cour européenne de Justice. Microsoft défend aux yeux du monde sa stratégie commerciale, d'autres marchés pourraient être inspirés par l'initiative européenne ce qui n'arrangerait pas ses affaires. De son côté, l'exécutif européen joue sa crédibilité. Rappelons qu'en juillet 2006, l'éditeur américain de logiciels s'est vu infliger une nouvelle amende européenne de 280,5 millions d'euros. Microsoft a également fait appel de cette décision.

[MàJ : Brad Smith, directeur juridique de Microsoft, a déclaré lors d'une conférence de presse organisée lundi après-midi à Bruxelles : "Il est très important pour nous, en tant que société, de nous conformer à nos obligations en vertu de la législation européenne. Nous allons étudier cette décision soigneusement, et si nous devons prendre des mesures supplémentaires pour nous y conformer, nous le ferons".]
SCO Group, éditeur de solutions basées sur Unix, se place sous la protection de la loi américaine sur les faillites, le 'Chapter 11'. Cette décision fait suite à un nouveau revers judiciaire. Le mois dernier, une cour de l'Utah a confirmé que les droits de propriété intellectuelle sur les systèmes Unix et Unixware appartiennent bien à Novell.

SCO pourrait avoir des millions de dollars de revenus de licences à lui reverser. En outre ce jugement devrait mettre un terme à la plainte déposée contre Novell et à d'autres procédures engagées par SCO. Rappelons-nous qu'en 2003, le groupe américain réclamait près de 3 milliards de dollars à IBM, arguant que Big Blue avait placé dans son propre système libre GNU/Linux du code Unix sans y être autorisé.

Aujourd'hui, SCO Group perd la confiance de ses investisseurs. Le 14 septembre 2007, suite à la publication du communiqué de l'éditeur, l'action du groupe a chuté de 43% à 0,37 dollar. Le redressement judiciaire peut-il permettre à SCO d'éviter la liquidation ?
SpiralFrog est officiellement lancé après des mois de beta-test. Financé par la publicité, le service permet aux internautes installés aux Etats-Unis et au Canada de télécharger légalement et gratuitement près de 800.000 titres musicaux et 3.500 vidéos issus du catalogue Universal, mais également de labels indépendants.

Les titres peuvent être téléchargés depuis des baladeurs numériques compatibles avec le DRM Microsoft (WMA), iPod exclus par conséquent. Par ailleurs, chaque utilisateur peut transférer sa musique vers deux terminaux différents uniquement. Rappelons que l'utilisateur doit visionner 1 minute 30 de publicité pour télécharger gratuitement un morceau WMA. Enfin, les utilisateurs du service doivent renouveler leur abonnement chaque mois pour pouvoir écouter leur musique téléchargée depuis SpiralFrog.

"SpiralFrog représente une solide alternative aux sites 'pirates'", a déclaré à l'Associated Press Joe Mohen, fondateur de la jeune pousse new-yorkaise SpiralFrog Inc. Avant d'ajouter : "Avec SpiralFrog vous savez ce que vous obtenez... il n'y a pas de risque de virus, adware ou spyware". L'entrepreneur table sur plus de 2 millions de titres disponibles dans les prochains mois.
Comme nous l'apprenons aujourd'hui sur la page dédiée à l'évolution de son service de partage de fichiers en ligne, Free a procédé à un changement, au niveau matériel, de ses serveurs.

Pour rappel, Free lançait en décembre 2005 ce service destiné à faciliter l'échange de fichiers volumineux entre les internautes, et non seulement les freenautes, car ce service est accessible à tout un chacun sur la page consacrée. Deux types d'envoi sont possibles :
- via l'interface du site, si la taille de votre fichier n'excède pas le gigaoctet ;
- via un client FTP, comme vous en trouverez dans notre logithèque, l'adresse à entrer étant dl.free.fr et le nom d'utilisateur, une adresse mail valide. Une fois effectué, une notification vous est envoyé à l'adresse utilisée.

Les nouveaux serveurs de stockage mis en place hier permettent donc de passer la taille maximale d'un fichier à envoyer par FTP de 5 à 10Go, tandis que le temps de rétention sur les serveurs passe de 15 à 30 jours (au-delà desquels, si votre fichier n'a pas été téléchargé, il est supprimé). S'il paraît rare à l'heure actuelle de partager un fichier de 10Go (le transfert prenant près de 24 heures avec un débit en émission de 1 Mbps ), une telle taille ne fera sans doute pas peur aux heureux abonnés fibrés.

Notez enfin que si ce service peut être utilisé comme moyen de sauvegarde en ligne, Free précise toutefois qu'elle ne pourra être tenue responsable d'éventuelles pertes de données.
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