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Si Google Earth propose une collection impressionnante de photo satellite permettant de scruter le moindre endroit du globe façon "la Terre vue du ciel", la qualité de la résolution n'est cependant pas toujours au rendez-vous et il est difficile de zoomer avec précision.

Un problème qui pourrait être réglé par un procédé récemment expérimenté par Frank Taylor, l'auteur du Google Earth Blog. Ce dernier effectue actuellement un voyage de 5 ans autour du monde et en voilier, et a établi un partenariat avec Google pour photographier certains lieux visités depuis le ciel… Point de drone, d'avion ou de satellite ici, mais un simple appareil photo relié à un cerf-volant, permettant de réaliser des clichés "à quelques centaines de pieds au-dessus du sol".

En mai dernier, le bloggeur s'est rendu dans l'atoll de Manihi, en Polynésie française, et a entrepris de photographier le port depuis le ciel : Google vient d'introduire certains des clichés dans Google Earth, et la différence entre les images satellites et les photos réalisées par l'intermédiaire du cerf-volant est flagrante.View Larger Map

Malgré un résultat éloquent, la cartographie s'avère très incomplète. Frank Taylor met ce fait sur le compte de certaines contingences peu favorables : "Il y avait de nombreux fils et poteaux électriques, ainsi que des arbres, et nous n'avons pas pu photographier toutes les rues" explique-t-il, pointant ainsi du doigt les limites du procédé. Le bloggeur décrit malgré tout une expérience unique. "Les jeunes du coin et certains adultes sont tous venus nous aider quand nous devions redescendre le cerf-volant".

Si l'atoll de Manihi est le premier endroit dévoilé officiellement par Google, ce n'est néanmoins pas le premier a avoir été photographié par Franck Taylor. Ce dernier a en effet déjà réalisé le même travail sur une ile des Caraïbes, où la démarcation entre l'espace photographié avec le cerf-volant et le satellite est encore une fois impressionnante.Agrandir le plan
Deux semaines après avoir encadré la signature d'une charte "Droit à l'oubli" dans le domaine de la publicité en ligne, le secrétariat d'Etat au Numérique se félicite mercredi d'avoir pu reproduire la démarche avec un certain nombre de représentants des univers de la recherche en ligne, de la publication de contenus et des réseaux sociaux.« Les acteurs de l'Internet s'engagent à donner une traduction concrète aux principes de consentement, de droit à l'information et de droit d'oposition, prévus par la loi », explique ainsi le secrétariat d'Etat piloté par Nathalie Kosciusko-Morizet. « Parmi les dispositions les plus significatives et les plus attendues, on trouve la mise en place d'un "bureau des réclamations" virtuel et la facilitation de la suppression d'un compte, mesures plébiscitées respectivement par 92% et par 97% des internautes ».

Les moteurs de recherche signataires s'engagent quant à eux à ne plus référencer des données qui ont fait l'objet d'une demande de suppression ou qui figurent dans des « espaces personnels » dont le propriétaire souhaite conserver la confidentialité.

« Les engagements concrets ainsi définis pourront servir de base à un futur accord international », s'est félicitée Nathalie Kosciusko-Morizet. « Nous devons adopter des règles collectives de bonne conduite pour renforcer la protection de la vie privée sur Internet. De tels engagements ne pourront être pleinement efficaces que s'ils sont partagés au niveau mondial », a-t-elle ajoutée.

Derrière les principes en faveur du « droit à l'oubli numérique » édictés par cette charte (PDF) ne réside toutefois aucune obligation de mise en application par les signataires. Parmi ces derniers, on trouve quelques grands noms du Web "social" hexagonal tels que Copainsdavant, Pagesjaunes, Skyrock ou Viadeo, mais Microsoft, pour MSN et Bing, est le seul acteur américain de poids. Les paraphes de Google et de Facebook font quant à eux défaut.
L'éditeur Microsoft vient de faire paraître son 9ème rapport SIR (Security Intelligence Report). A défaut d'évoquer les récentes attaques du ver Stuxnet, il met en avant la menace des botnets. Ainsi, la firme constate une baisse globale des vulnérabilités tout comme une augmentation du nombre de personnes qui mettent à jour régulièrement leurs postes.Bernard Ourghanlian, Directeur Technique et Sécurité de Microsoft France continue sur les bonnes nouvelles : « Windows 7 est plus résistant aux malwares. Son taux d'infection est de 3,3/1 000 postes alors que Vista est à 6,4 et XP en version SP3 est à plus de 15,6. Par contre le rapport montre que nous assistons à une augmentation significative de l'activité des botnets ou réseaux zombies ».

Microsoft cible donc deux réseaux particulièrement actifs à savoir Rimecud et Alureon. Des réseaux difficiles à cerner dans lesquels figurent des rootkits qui échappent à la surveillance de la firme. « Ces botnets jouent un rôle central dans la diffusion des malwares » précise le responsable. « Maintenant il y a un besoin d'une gestion collective de la sécurité, une approche commune. C'est pourquoi nous portons également notre attention vers les FAI ou les registrars depuis l'épisode de la faille DNS ».

En guise de conclusion, Microsoft rappelle que la France reste encore une cible de choix pour les malwares. Le taux moyen mondial d'infection est de 3,2 pour 1 000 postes, la France, elle, se situe à 4 postes infectés pour 1 000…

Pour rappel, le rapport SIRv9 couvre la période de janvier à juin et contient les données collectées de 600 millions d'ordinateurs. Les analyses se basent alors sur les résultats agrégés des solutions de sécurité Microsoft comme Forefront, Windows Defender, Microsoft Security Essentials, Windows Internet Explorer, Bing et le MSRT (Malicious Software Removal Tool).
le 12/10/2010 à 23:14
Free globes
Free globes est une application open source, réalisée en PHP/MySQL. Son but est de vous permettre de réaliser un annuaire très rapidement.

Ce qui le distingue des autres de la même famille, c'est la configuration des thèmes par rapport à vos besoins. Mais vous trouverez aussi :
- Beaucoup de templates (basés sur le moteur smarty)
- Une installation la plus simple possible
- Une gestion sous la forme de plugins pour gérer des accès sécurisés par l'intermédiaire de mode de paiement (par exemple allopass)
- Différents niveaux d'accès
- URL Rewriting
- etc

Le site montre quelques utilisations et une version de démo pour se rendre compte des différentes possibilités qui sont offertes.

- site officiel de Free globes
- demo de Free globes
Les 400 clients qui exigeaient du groupe 3 Suisses qu'il honore les commandes enregistrées sur un téléviseur LCD 132 cm proposé à prix cassé pendant quelques jours sur son site Internet n'obtiendront pas gain de cause. Le juge de proximité de Roubaix a finalement décidé de se ranger du côté du spécialiste de la vente à distance, qui a fait valoir une « erreur d'affichage » et un « prix manifestement dérisoire » pour obtenir l'annulation de la vente.

En août 2009, quelques internautes découvrent, par le biais de publicités affichées sur le Web pour le compte du site marchand des 3 Suisses, la présence au catalogue de ce dernier d'un téléviseur Samsung 132 cm, affiché à prix cassé : 179,99 euros, au lieu de 1899,99, soit une réduction de plus de 90%. Sans forcément toujours croire à leur bonne fortune, nombreux sont ceux qui décident de passer commande.

Bouche à oreille aidant, l'affaire parvient aux oreilles de quelques journalistes qui contactent alors le service client des 3 Suisses, lequel leur confirme dans un premier temps la validité de cette offre exceptionnelle, information également obtenue par certains des clients. Deux jours plus tard, la direction du groupe réagit et publie une note d'information visant à mettre un terme à l'engouement des internautes. Elle invoque alors une erreur de saisie au niveau des prix et explique que de ce fait, les commandes ne pourront pas être honorées.

"Suite à une erreur d'affichage sur notre site www.3suisses.fr, le téléviseur SAMSUNG LE52B620 a été proposé au prix de 179,99 euros alors qu'il était en réalité de 1799 euros. Le caractère dérisoire de ce prix résulte d'une erreur manifeste qui depuis a été corrigée", expliquait alors l'entreprise.

Le choix des termes n'a ici rien d'anodin. La loi française indique effet qu'en cas d'erreur d'affichage sur un prix, le commerçant est tenu d'honorer la vente, sauf si cette erreur est "manifeste" et ne peut laisser place au doute. "Il est d'usage, en présence d'un produit indiqué à deux prix différents, de faire payer le prix le plus favorable au consommateur (sauf erreur manifeste, par exemple un téléviseur à 10 euros)", indique par exemple la Direction générale de la concurrence, de la consommation et de la répression des fraudes (DGCCRF).Un 52 pouces à 179,99 euros, trop beau pour être vrai ?

Partant du principe que ce prix cassé est resté en ligne pendant plusieurs jours et a fait l'objet de bannières publicitaires en ligne, quelque 400 consommateurs décident fin novembre d'attaquer le groupe 3 Suisses en justice, de façon à obtenir que ce dernier honore la vente. D'après le marchand, 21 000 internautes avaient alors passé commande de plus de 46 000 téléviseurs achetés auprès du fournisseur au prix unitaire de 1200 euros hors taxe.

"Nous attaquons car il n'y avait pas d'erreur manifeste de la part des 3 Suisses puisque le prix d'origine indiqué était le bon, tout va se jouer autour de la promotion de 90% affichée par les trois Suisses sur ce prix, qui nous paraît plausible à cette époque de l'année", faisait alors valoir l'avocat des plaignants.

L'argument n'aura finalement pas été retenu. Dans sa décision du 10 septembre 2010, le juge de proximité de Roubaix frappe en effet le contrat de vente passé entre les 3 Suisses et les plaignants de « nullité pour vil prix ». « En l'espèce, il ne s'agit pas de considérer le prix de vente initial du téléviseur qui est réel et sérieux mais son prix remisé qui est générateur du contrat de vente. Ce prix remisé résulte d'une erreur de saisie informatique, il est vendu à un prix bien plus élevé par les autres commerçants et, il est vil car la contrepartie attendue de la vente à un tel prix n'existe pas », fait-il valoir dans son jugement, dont Clubic a eu connaissance. Les plaignants sont donc déboutés et condamnés aux dépens.

« La fin de cette action contre les 3 Suisses me laisse un sentiment d'amertume vis-à-vis de la justice, mais aussi vis-à-vis des lois du commerce. Il apparaît indéniable qu'une entreprise peut se tromper et faire des erreurs sans avoir de compte à rendre, mais l'inverse n'est pas vrai », regrette l'un des instigateurs de la procédure judiciaire engagée contre le commerçant.
Du courrier à l'agenda en passant par la musique et le stockage de fichiers, la tendance est au service hébergé et doucement on saute le pas parce qu'il faut avouer que les avantages sont multiples. Qu'il s'agisse d'une solution de sauvegarde ou d'un petit geste pour protéger l'environnement, l'hébergement à distance permet surtout d'accéder à ses fichiers depuis n'importe quelle machine connectée.

Il y a pourtant certains domaines qui ne suivent pas encore le mouvement à commencer par les factures qui ne sont pas toutes proposées au format électronique. Quelques sociétés ont d'ailleurs décidé de s'attaquer au problème, c'est notamment le cas de eFactures.fr ou du service Digiposte de LaPoste. Un nouvel arrivant français baptisé Adminium arrive tout juste sur le marché. Fondée par Didier Louvet, cette jeune pousse propose de créer un espace de stockage sécurisé au sein duquel l'internaute sera en mesure d'y associer ses différents comptes client qu'il s'agisse d'Orange, de SFR, d'EDF ou encore de la FNAC. A titre d'exemple, pour l'ajout d'un compte SFR, il vous faudra mentionner votre code client ainsi que vos identifiants de connexion au site sfr.fr.

Par la suite, le service rapatriera automatiquement les dernières factures ou bulletins de commande, libre ensuite à l'internaute de les classer dans les dossiers de son choix. Le service dispose d'un moteur de recherche ainsi que d'un calendrier de navigation. Pour les documents les plus anciens ou non pris en charge par Adminium, il sera également possible de les scanner puis de les importer.Comment ca marche ?Pour l'heure, les sites des fournisseurs de service commes Free, Rue du Commerce ou encore Bouygues Telecom, ne disposent pas d'interfaces de programmation via laquelle vous vous authentifierez avec le protocole OAuth. Didier Louvet explique ainsi : « nous avons des automates de collecte qui effectuent pas à pas la procédure que vous suivez quand vous vous connectez vous-mêmes au site pour retrouver votre facture ».

Il ajoute : « nous sommes en train de commencer à travailler avec les fournisseurs de services comme Orange et SFR pour être plus efficaces ». Dans la mesure où il s'agit d'automates de collecte Adminium a accepté de les mettre en fonctionnement la nuit, c'est-à-dire lorsque les sites enregistrent moins de trafic. D'ici 6 à 12 mois, la start-up devrait finaliser plusieurs accords avec ses partenaires. Outre l'importation automatique des documents, il est prévu de rassembler tous les services clés des portails au sein d'un même endroit, par exemple les différents modules de messagerie instantanée pour formuler une question à un conseiller.

M.Louvet explique que les prestataires de services sont relativement emballés. Ce dispositf devrait encourager davantage de clients à accepter la facture électronique, une économie sur les frais d'envois par courriers traditionnels.Quid de la sécurité ?L'un des aspects sans doute déroutant au premier abord reste véritablement la sécurité des données hébergées. En effet, il suffirait de récupérer le mot de passe d'un utilisateur pour accéder à l'ensemble de ses papiers administratifs. Autant dire que dans ce contexte de lutte contre l'usurpation d'identité ce ne ferait pas bon genre. D'ailleurs, ne nous répète-t-on pas incessamment de rien mettre d'important sur des serveurs distants ? Interrogé par nos soins à ce sujet, Dider Louvet explique que la société sensibilisera davantage les utilisateurs, par exemple en les encourageant à changer régulièrement leur mot de passe. Aussi, pour la création de ce dernier, certaines restrictions devraient faire leur apparition (alpha-numérique, multi-casse). Le PDG ajoute que pour rassurer le consommateur l'interface ne comporte aucune publicité « pour témoigner de sa confiance et sans craintes que les données personnelles puissent être revendues à des tiers ».

Reste qu'un système d'identification supplémentaire serait le bienvenu, par exemple l'envoi d'un code par SMS. A ce sujet, M. Louvet avoue : « c'est quelque chose que nous envisageons très sérieusement de faire ». Il ajoute cependant que « si les internautes prennent très au sérieux leur sécurité sur Internet, ils ne sont pas prêts à mettre en place les outils nécessaires ». Finalement la société planche toujours sur la question et réfléchit également un système de carte à codes similaire à celui pratiqué dans certaines banques.Powered by AdminiumLa société envisage également de commercialiser sa plateforme en « marque grise". Concrètement, le service pourrait ainsi être proposé auprès des banques, des assurances ou des portails Internet aux côtés de votre webmail. Le fondateur explique qu'il conservera sa marque apposée de type "en partenariat avec Adminium ».

« Ca intéresse beaucoup les banques mais il peu y avoir des conflits d'intérêt », nous explique-t-on. Ainsi une banque proposant le service Adminium pourrait refuser d'importer les données d'un autre établissement financier. « En conservant notre marque sur ces services nous serons garants de cette indépendance ».

S'il est d'ores et déjà possible de créer un compte, Adminium ouvrira officiellement ses portes la semaine prochaine. Deux offres sont proposées. Le compte gratuit permet l'importation automatique des données et leur gestion tandis qu'une souscription à 4,90 euros par mois rajoute des alertes et des rappels personnalisés, des fonctionnalités de partage de documents, une synthèse mensuelle des activités ainsi qu'une sauvegarde annuelle sur CDRom.
La Commission Informatique et libertés vient d'indiquer sur son site qu'elle compte dresser une liste de recommandations au sujet des délocalisations de services professionnels. Il faut savoir que lorsqu'une société décide d'externaliser une partie de ses ressources, des données, notamment personnelles, peuvent se trouver moins protégées.La Cnil met donc le doigt sur le transfert de données personnelles vers des pays n'appartenant pas à l'Union européenne. Elle estime que: « L'encadrement de ces transferts est souvent complexe car les organismes ont recours à de multiples prestataires, ce qui rend difficile l'identification des responsabilités de chacun. La CNIL a donc constitué un groupe de travail pour identifier l'ensemble des problèmes posés par l'externalisation des traitements informatiques et proposer des solutions. »

Du coup, elle a adopté un rapport qui propose des solutions pragmatiques afin d'accompagner les entreprises dans la mise en conformité des transferts qu'elles effectuent. Pour cela, ils ont organisé des auditions de cabinets de conseil et d'avocats impliqués dans le conseil « offshore ».

La CNIL donne donc quatre axes de réflexion : Identifier les acteurs, qualifier les responsabilités, préciser les formalités déclaratives, promouvoir les BCR (Binding Corporate Rules, ou règles internes).
Depuis que Google propose ses applications hébergées de Google Apps aux professionnels, Microsoft défend corps et âme ses solutions bureautiques. Et pour cause, les deux parties tentent de séduire les universités, administrations et municipalités : des contrats de plusieurs millions de dollars.

Si Google a su convaincre la ville de Los Angeles face aux propositions de Microsoft, ce dernier a quant à lui sécurisé un contrat avec l'état du Minnesota. Les autorités locales ont en effet annoncé que les infrastructures de communication seront migrées vers les technologies de Microsoft. Au total 33 000 employés seront concernés ; il s'agirait d'ailleurs de l'une des plus grosses migrations vers les technologies du cloud computing. Jusqu'à présent, l'état jonglait avec différents systèmes tels que GroupWise, Lotus Notes, Exchange. Finalement tout sera uniformisé sur Microsoft Exchange.

Gophal Khanna, chef des investissements, explique que ce changement devrait réduire les coûts de l'infrastructure globale. Il note également que dans les dix prochaines années, près de 50% des employés seront à la retraite, une situation « potentiellement dangereuse en ce qui concerne l'administration des services gouvernementaux ».
le 12/10/2010 à 23:02
Oracle et IBM signent le Pacte Java
Oracle semble vouloir apaiser un peu les tensions autour de Java, après l'épisode Dalvik qui l'avait opposé à Google et à son système d'exploitation mobile Android. L'éditeur a signé un pacte Java avec IBM, qui met fin de fait aux démêlés judiciaires que Big Blue avait connu sur Java, du temps de Sun Microsystems.

Selon les termes de l'accord, IBM abandonnera ses efforts de développement - par le biais du projet Apache Harmony - pour le projet OpenJDK, lancé en 2006 par Sun et désormais géré par Oracle. « Cela devrait mettre fin à certains questionnements sur le futur de Java, » estime Rod Smith, vice-président des technologies émergentes chez IBM.

Selon IBM et Oracle, ce dernier a contacté Big Blue il y a seulement une semaine. L'accord aurait donc été trouvé en un temps record, signe de son importance selon Oracle. « L'accord reflète la réalité stratégique à laquelle nous faisons tous deux face, » explique Adam Messinger, l'un des vice-présidents logiciels d'Oracle. « Nous coopérons et nous combinons nos ressources pour accélérer l'innovation sur la plateforme Java. »

L'accord couvre tous les champs d'application de Java, sauf pour les parties mobiles et téléphones portables.
le 12/10/2010 à 23:02
Oracle et IBM signent le Pacte Java
Oracle semble vouloir apaiser un peu les tensions autour de Java, après l'épisode Dalvik qui l'avait opposé à Google et à son système d'exploitation mobile Android. L'éditeur a signé un pacte Java avec IBM, qui met fin de fait aux démêlés judiciaires que Big Blue avait connu sur Java, du temps de Sun Microsystems.

Selon les termes de l'accord, IBM abandonnera ses efforts de développement - par le biais du projet Apache Harmony - pour le projet OpenJDK, lancé en 2006 par Sun et désormais géré par Oracle. « Cela devrait mettre fin à certains questionnements sur le futur de Java, » estime Rod Smith, vice-président des technologies émergentes chez IBM.

Selon IBM et Oracle, ce dernier a contacté Big Blue il y a seulement une semaine. L'accord aurait donc été trouvé en un temps record, signe de son importance selon Oracle. « L'accord reflète la réalité stratégique à laquelle nous faisons tous deux face, » explique Adam Messinger, l'un des vice-présidents logiciels d'Oracle. « Nous coopérons et nous combinons nos ressources pour accélérer l'innovation sur la plateforme Java. »

L'accord couvre tous les champs d'application de Java, sauf pour les parties mobiles et téléphones portables.
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