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le 07/10/2010 à 22:42
Confoo 2011 : appel à conférenciers
L'évènement ConFoo lance un appel aux conférenciers pour la conférence 2011 qui se déroulera du 9 au 11 mars 2011, organisé par PHP Quebec, Montréal-Python, Montreal.rb, W3Qc, et OWASP Montréal

Cette deuxième édition est ouvert à l'ensemble des langages Java, .Net, PHP, Python et Ruby. Pour connaître toutes les informations, il suffit de vous rendre sur le site officiel de l'évènement.

- Confo 2011 : Appel à conférenciers
En début d'année, la firme norvégienne Opera Software annonçait le rachat de la régie publicitaire AdMarvel. Cette acquisition devrait permettre d'assurer un modèle économique relativement stable. Selon les termes de cet accord Opera versera la somme de 8 millions de dollars auxquels viendront s'ajouter 15 millions supplémentaires si certains objectifs financiers sont atteints après une période de deux ans.

Hier soir, Opera a annoncé que sa plateforme était désormais ouverte aux annonceurs. Baptisée Open Mobile Ad Exchange cette dernière devrait donc se placer face à iAds d'Apple ou encore AdMob de Google. Selon Opera Software, les annonceurs ainsi que les opérateurs mobiles, avec lesquels la firme entretien divers partenariats, devraient pouvoir publier leurs publicités auprès de 66,5 millions de mobinautes. La plateforme propose également des outils de gestion pour les campagnes publicitaires ainsi que des rapports de trafic en temps réel.

Distribué gratuitement pour les utilisateurs de Windows Mobile, Android, BlackBerry, iPhone, Maemo, Symbian S60 ou n'importe quel téléphone compatible Java, le navigateur Opera Mini enregistre continuellement une forte croissance. Il faut dire qu'Opera fut l'une des premières sociétés à proposer la compression des pages web avant de les retourner aux mobinautes pour une navigation plus rapide. Ces douze derniers mois le nombre de pages vues affiche d'ailleurs une hausse de +143,2%.

Pour de plus amples informations sur Open Mobile Ad Exchange, rendez-vous ici.
Alors que Yahoo s'apprête à migrer vers les outils de Microsoft AdCenter dès lundi aux Etats-Unis, le portail de Sunnyvale a annoncé avoir racheté la firme Dapper spécialisée dans l'optimisation de la publicité contextuelle. Si Google possède une telle technologie pour les liens sponsorisés, il s'agit cette fois de rendre les annonces graphiques (display) plus pertinentes selon le contenu de la page web visitée par l'internaute.

Cette acquisition s'inscrit dans la stratégie globale de Yahoo! autour des médias sur Internet. D'une part les chercheurs de Yahoo! ont développé des algorithmes capables de déterminer les sujets chauds du moment. Par la suite, Yahoo! sera en mesure de proposer ces sujets auprès de sa base de bloggueurs d'Associated Content. L'utilisation des interfaces de programmation de différents réseaux communautaires comme Facebook et Twitter devrait donner plus de visibilité au contenu. Finalement, avec la technologie de Dapper, Yahoo sera en mesure de retourner de la publicité contextuelle pour chacun des articles, une valeur ajoutée incontestable pour les annonceurs qui devraient de leur côté enregistrer un taux de clics plus élevés et donc potentiellement plus de visibilité sur leurs produits.

Au mois de juillet Yahoo avait lancé une expérimentation avec le blog UpShot sur Yahoo! News. Le contenu de ce média est précisément déterminé par l'analyse des mots-clés tapés au sein du moteur de recherche.
Outre l'aspect pratique et les polémiques qu'il entraîne, le service Street View de Google est également une mine d'images et d'anecdotes insolites qui contribuent clairement à sa popularité. Pourtant, dans certains cas, Street View a tendance à franchir une limite douteuse et on ne parle pas là de l'affaire des données WiFi, mais de scènes de crime très violentes photographiées par une Google Car et mises en ligne sur le service.

Lancé la semaine dernière au Brésil, Street View s'est rapidement vu confronté à une vague de signalements de la part des utilisateurs du monde entier, tombés lors de leur visite virtuelle du pays sur des images très choquantes de scènes de crime au bord de la route.

Dans le premier cas, la Google Car a longé le périmètre de sécurité mis en place par la police de Belo Horizonte, où une foule de badauds agglutinée sur un trottoir observait un sac plastique sous lequel on devinait un corps. Dans le second cas, la voiture a longé le corps, chichement recouvert d'un drap, d'un homme qui se serait fait écraser par un véhicule à Rio de Janeiro.Des prises de vue rapidement supprimées du service par Google, mais qui font tout de même le tour du Web et surtout des autorités et des médias brésiliens, qui voient d'un très mauvais oeil cette exposition des rues du pays au monde entier. Si ces scènes de crime sont sans aucun doute les images les plus choquantes qui ont fait leur apparition sur le service, d'autres images douteuses ont également été relevées par le site Estado de Minas, comme celles d'une femme en bikini transparent très suggestif, d'un homme malade en pleine rue ou encore des scènes de baisers torrides.

"Les citoyens risquent de voir dans certaines images proposées par Google Street View une violation de leur vie privée et de leur intimité, et vont demander une indemnisation pour le dommage subit, en plus du retrait des photos" explique l'avocat spécialiste du Web Alexandre Ateniense. Par ailleurs, ce dernier s'inquiète également des problèmes que pourraient causer la présence de certaines images dans le cadre d'enquêtes policières.Au-delà de ces évidences, on peut également se poser légitimement la question concernant le contrôle des images réalisé par Google après la numérisation des rues visitées. Ce n'est pas la première fois que le service capture des images à fort impact : on se souvient de l'affaire du corps de Worcester au Royaume-Uni, un mystère qui s'était soldé par une heureuse conclusion mais qui avait déjà de quoi laisser dubitatif quant à la façon dont Google valide les images capturées par les Google Cars avant leur mise en ligne. A noter que, après la médiatisation de cette histoire dans laquelle une fillette s'était amusée à "faire la morte" lors du passage de la voiture les images avaient également été supprimées du service.

Le Brésil est le premier pays d'Amérique Latine à accueillir Street View, mais face à cette nouvelle polémique, il y a fort à parier que les pays voisins montreront certaines réticences face aux voitures de la firme de Mountain View.
Dans un entretien publié lundi, Keith Bergelt, PDG de l'Open Invention Network, soulignait que la position de Microsoft au sein de la communauté open source restait plutôt ambivalente. D'une part la firme de Steve Ballmer a mis a disposition le répertoire CodePlex, d'autre part, Microsoft reste relativement agressif face aux violations de propriété intellectuelle.

De passage à Paris la semaine dernière à l'occasion de l'Open World Forum, James Utzschneider est le successeur de Sam Ramji et responsable des produits open source pour les départements Services, Ventes et Marketing. Interrogé par nos soins, James Utzschneider revient sur cette ambivalence et les pratiques mises en place au sein de Microsoft.


Qui décide si telle ou telle portion de code doit être publiée en open source ?

James Utzschneider : Ce sont les différentes équipes qui décident entre elles de manière autonome. Par exemple récemment l'équipe de Windows Live a choisi de partager le code de Windows Live Spaces pour migrer les utilisateurs vers Wordpress. Les décisions sont prises indépendamment du reste de la société.

Donc personne ne peut y mettre un véto ?

J.U : Non personne en effet.

Quelles sont les raisons principales pour ne pas publier de code en open source ?

J.U : Si nous prenons l'exemple de l'équipe d'Internet Explorer, il y a deux ans le navigateur n'était pas vraiment perçu d'un très bon oeil. Beaucoup de gens avançaient que Microsoft devait utiliser le moteur de rendu de WebKit pour une meilleure conformité aux standards du web. Nous avons plutôt décidé de continuer le développement en interne pour rester compétitifs en offrant la meilleure prise en charge possible des standards du HTML5.

Mais cela n'aurait-il pas été plus rapide de publier le code en open source ?

J.U : Non grâce à notre équipe de développement technique nous sommes les premiers sur le marché à proposer un navigateur qui prenne en charge à la fois les spécificités du HTML5 et l'accélération matérielle. Nous sommes les premiers devant Chrome, Firefox ou Safari. Ca ne veut pas dire que nous n'aimons pas l'open source. Nous avons largement changé d'attitude sur le sujet et nous sommes plus ouverts mais ce n'est pas pour autant notre religion.

Après les démêlés judiciaires avec TomTom, l'Open Invention Network a racheté plusieurs brevets à Microsoft. Comptez-vous leur en vendre d'autres ou travailler avec eux ?

J.U : Je n'ai pas de commentaires à faire la-dessus. Et pour être franc je n'en ai aucune idée.

Au mois de mai vous avez publié deux outils pour lire et écrire le fichier PST d'Outlook. Avez-vous eu des retours de développeurs ?

J.U : Oui tout à fait nous avons eu beaucoup de retours. Les gens n'en parlent pas forcément. Prenez par exemple Apple, eux restent également très discrets la-dessus. Si vous recevez un document créé sur Microsoft Office en pièce jointe dans un email sur l'iPhone ou l'iPad, vous pourrez le lire sans problème. C'est parce qu'Apple a implementé OpenXML. Ils auraient pu choisir PDF mais ils ont utilisé notre technologie.

Au regard des efforts de Microsoft sur JQuery, HTML5 ou même PHP, cela fait-il sens de conserver une technologie fermée comme Silverlight ?

J.U : Oui nous faisons souvent cela. C'est pour cela que nous proposons huit ou neuf kits de développement. Si vous prenez l'application Silverlight créées lors des jeux Olympiques de Vancouver, c'était vraiment une merveille technologique. C'est juste une expérience différente de celle avec HTML5. Finalement les utilisateurs s'en fichent un peu de savoir si c'est du HTML5 ou du Silverlight.

Et quant est-il des produits pour le grand public, pourrions-nous voir le protocole Jabber sur Windows Live Messenger ?

J.U : Vous savez sur la dernière version de Windows Live Messenger nous proposons déjà quarante réseaux communautaires différents via le protocole OAuth. Je trouve ça déjà plutôt cool. Nous essayons de répondre aux demandes des consommateurs du mieux que nous pouvons en utilisant différents formats et protocoles.

Je vous remercie
Depuis quelques temps plusieurs rumeurs spéculent sur l'introduction prochaine du moteur de recherche Bing au sein de la prochaine version du navigateur Firefox. En ce sens le service de Microsoft rejoindrait donc Yahoo! et Google ; ce dernier conservant sa place par défaut. Le magazine Forbes rapporte les propos de Jay Sullivan, vice-président de la division mobile de Mozilla, qui confirme des accords avec Microsoft. M. Sullivan explique qu'il s'agit-là d'une initiative s'accordant avec la part de marché croissante du moteur de recherche et un moyen de répondre plus précisément aux attentes des internautes.

Pour Mozilla, il s'agit également de divertir ses revenus. Aujourd'hui, Google est placé en tant que moteur par défaut au sein de Firefox. En contre-partie, la firme de Mountain View reverse une part des revenus générés au travers des requêtes des internautes, une somme qui représente entre 80 et 90% des revenus de la fondation. Cependant la croissance du navigateur Chrome pourrait représenter une certaine menace pour l'avenir de ce partenariat dont l'échéance est prévue dans le courant de l'année 2011.

Mozilla entretient des accords financiers avec Google et Yahoo! Sans plus de précisions Jay Sullivan ajoute qu'un contrat similaire a été signé avec Microsoft. D'ailleurs Amazon, eBay financent également la fondation mais Wikipedia semble épargné. Au coeur de cette affaire, Forbes soulève la dualité de cette situation. La fondation Mozilla aurait-elle fait l'impasse sur les "attentes des internautes" si Microsoft avait refusé de payer ? Quoiqu'il en soit, en trouvant sa place au sein de Firefox, Bing s'impose comme un véritable acteur sur le marché des moteurs de recherche. Selon les dernières données de NetMarketShare, Bing aurait 3,25% de parts de marché à travers le monde derrière le chinois Baidu (4,96%) et devant Ask (0,7%). Aux Etats-Unis, Bing est déjà passé devant Yahoo! Search.
L'affaire agite le Web depuis ce matin et quelques doutes planent encore sur l'authenticité de la chose, mais il semblerait bien que la cyber-identité du premier "client" de l'Hadopi soit désormais connue : il s'agirait d'un internaute connu sous le pseudonyme de TuNi54, un abonné d'Orange qui aurait reçu le fameux courriel hier soir.

C'est le bloggeur Korben qui a révélé le premier cette affaire, depuis décortiquée par bon nombre d'internautes et de médias bien déterminés à s'assurer de sa validité. Expédié par l'adresse cpd-hadopi@hadopi.com première source de débat puisque le site officiel de l'Hadopi est en .fr le mail est conforme au modèle présenté la semaine dernière par la Haute Autorité, ainsi qu'aux indications relevée sur son site Internet. L'Hadopi, contactée par Numerama, s'est refusée à tout commentaire concernant ce mail et l'adresse utilisée, ne souhaitant "pas divulguer d'indice qui permettrait de valider ou d'invalider l'authenticité d'informations personnelles d'un éventuel abonné averti".

De son côté, la Quadrature du Net, qui organisait depuis peu un "grand jeu-concours d'emails Hadopi" a sacré TuNi54 grand vainqueur et lui offrira, en plus d'un tee-shirt, "Une adresse IP de la société de police privée du Net Trident Media Guard" ou encore une suggestion de réponse à envoyer à Hadopi.

Véridique ou pas, l'accueil fait à ce premier mail de remontrances recommandations a un goût véritablement festif sur le Net français, preuve s'il en fallait que la campagne menée par l'Hadopi a bien du mal à être prise au sérieux. Et quand on ajoute à cela le fait que Free pratique une "désobéissance légale" en ne communiquant pas les mails de la Haute Autorité à ses abonnés, on se dit qu'il y a du rififi chez Hadopi.
Ce mardi avait lieu la conférence de presse organisée par l'Hadopi. Parmi les sujets abordés, les Labs de la haute autorité, la position de Free sur l'envoi (ou non) des premiers e-mails et également la question des logiciels de sécurisation « labellisés ». Sur le principe, la consultation doit être close le 30 octobre prochain, pourtant certains éditeurs nous avaient déjà avertis de la disponibilité de certaines solutions...Question a donc été posée auprès d'Eric Walter au sujet des motifs de cette labélisation et de l'utilité des logiciels déjà existants. Le secrétaire général de l'Hadopi a répondu en estimant qu' « Ils ne peuvent pas avoir des outils répondant aux exigences de la Hadopi, puisque ces dernières n'existent pas encore ! ». Le site du Monde.fr reprend alors les propos du responsable en précisant qu'il « récuse les informations du site Internet Clubic, qui affirme que des éditeurs de logiciels auraient déjà mis en place des solutions de sécurisation répondant aux besoins de la Hadopi ».

Pourtant, la société H2DS, éditrice du logiciel Isis rappelle que l'Hadopi a déjà donné le cahier des charges de cette labélisation (.pdf). Isis estime donc que « l'Hadopi a lancé le 26 juillet dernier une consultation publique relative aux spécifications fonctionnelles des moyens de sécurisation », laquelle a été ensuite prolongée jusqu'au 30 octobre 2010.

Concrètement, ce document de 36 pages est un projet de « spécifications fonctionnelles » dirigé par le professeur Michel Riguidel qui jette les bases des futurs logiciels labélisés.

Incompréhension ou simple question d'agenda, il se pourrait donc qu'il y ait un écart selon l'Hadopi entre ce projet et les conditions de labélisation des logiciels. Pour sa part, l'éditeur d'Isis cherche à trancher la question en invoquant un argument marketing, afin d'inciter les internautes à s'équiper d'un logiciel certifié Hadopi. Dans les faits, cette labélisation d'un logiciel constituera un élément positif si un internaute est surpris en cas de téléchargement.

Le débat entre efficacité du logiciel labellisé ou non a donc le mérite d'être posé. Reste désormais à connaître la position du professeur Riguidel...
le 06/10/2010 à 22:38
Optimisation
Pour accélérer un site web, certaines optimisations sont nécessaire, entre autre l'optimisation du cache.

Il existe différentes méthodes de caches dont une méthode consiste à utiliser APC (alternative PHP cache). Le site Axude propose sous la forme d'un article condensé, les différentes étapes à effectuer pour installer et configurer APC.

L'ensemble des opérations proposés sont en lignes de commandes, c'est à dire pour un environnement Linux.

- Optimiser l affichage de votre site internet en installant APC pour PHP
le 06/10/2010 à 22:38
Les mots bannis sous Google
Le référencement d'un projet PHP pour le web est indispensable pour être visible dans un moteur de recherche comme Google.

Le référencement passe avant tout par la sélection des mots clefs. Cependant certains mots se trouvent dans une black liste (liste noire) et il est toujours important de les connaître les mots prohibés pour éviter les erreurs.

Le site 2600.com relais la liste de Google. Celle-ci convient majoritairement des mots ou une suite de mots en anglais liés à un caractère sexuel, péjoratif ou racial.

- Google Blacklist
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