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Après avoir longtemps défrayé la chronique par leur absence, les "Extra" pour l'édition Intégrale de Windows Vista font de nouveau parler d'eux. Microsoft propose ainsi trois nouveautés, qui n'ont malheureusement vraiment rien d'extra»ordinaire, jugez par vous mêmes :
- Un nouvel ensemble d'avertissements sonores
- Trois nouveaux fonds animés pour Windows DreamScene
- De nouveaux packs de langue

Et... c'est tout ! Ces petits ajouts viennent donc compléter les extra qui étaient déjà disponibles, à savoir Windows Dream Scene, BitLocker / EFS et le jeu de poker Hold'Em. Bref, vraiment pas de quoi pavoiser surtout que l'édition Intégrale de Windows Vista coûte tout de même près de 90 euros de plus que la version Familiale Premium... Sur son blog, Microsoft promet encore de nouveaux Extra prochainement, espérons qu'ils seront un peu plus originaux...
le 23/04/2008 à 20:19
TF1 Vision débarque sur Numéricable
Présente sur la plupart des bouquets ADSL, le service de vidéo à la demande «TF1 Vision» arrive chez le câblo-opérateur Numéricable dès demain.

Des centaines de films, séries et spectacles deviennent ainsi accessibles depuis la page du «Vidéo Club Numéricable» avec des tarifs allant de 1,99 euro à 4,99 euros pour des vidéos disponibles pendant 24 heures après l'achat.

Profitant des débits confortables offerts par le câble, les deux acteurs proposeront également une offre haute définition dès cet été avec un débit de 12 Mbits/s "très supérieur à ce que peut généralement proposer la technologie ADSL", note le communiqué.
A la surprise générale, Apple a annoncé aujourd'hui le rachat officiel d'un fabricant de processeurs nommé PA Semi. L'entreprise "fabless" (sans usine) produit notamment des processeurs faible consommation à destination des appareils mobiles. Les prochains processeurs PA Semi pourraient notamment se retrouver dans les prochains iPhone et iPod.

Fondée en 2003, PA Semi emploie 150 personnes. Cette firme a été créée par Dobberpuhl, l'un des principaux concepteurs des puces Alpha et StrongARM. "Apple rachète de temps en temps des petites firmes. Nous avons pour habitude de ne pas commenter ces rachats", précise de son côté Apple. D'après les informations qui ont filtré, le rachat se serait fait pour 278 millions de dollars US versés en liquidité.

Ce choix n'est sûrement pas anodin et Apple pourrait profiter de ce rachat pour baser ses futurs produits mobiles sur ces nouveaux processeurs afin de proposer des produits encore plus originaux et uniques. L'annonce reste toutefois un coup dur pour Intel qui espérait certainement voir Apple adopter son processeur miniature, l'Intel Atom.
Après Google, Yahoo dévoile de bons résultats trimestriels. Le portail internet a généré 1,82 milliard de dollars de chiffre d'affaires au premier trimestre 2008, en hausse de 9% sur un an. Quant au bénéfice net de la multinationale, il affiche 542 millions de dollars, ou 37 cents par action diluée, contre 142 millions de dollars, ou 10 cents par action diluée, au 1er trimestre 2007. Cette croissance, supérieure aux attentes des analystes, a été influencée par l'introduction en bourse d'Alibaba.com, société chinoise de commerce électronique du groupe Alibaba, dont environ 40% du capital est détenu par Yahoo.

"Ces résultats sont extraordinaires, notre stratégie est la bonne", a déclaré Jerry Yang, CEO de Yahoo. Pourtant, à l'annonce des résultats, mardi soir à Wall Street, l'action Yahoo a perdu 19 cents, en après bourse, pour atteindre 28,54 dollars. Convoité par Microsoft, Yahoo a trois jours pour accepter l'offre de rachat du numéro un mondial du logiciel, en cas de nouveau refus, la firme de Redmond prévoit de lancer une OPA hostile dès samedi 26 avril 2008.
Fruit de deux ans de travaux, la plateforme Live Mesh se propose de syncrétiser l'ensemble de vos activités numériques entre un espace en ligne et vos différentes machines, PC, Mac ou téléphones connectés à Internet. Incarnation de la stratégie "Software + Services" (logiciels associés à des services) défendue par Ray Ozzie - architecte en chef du logiciel chez Microsoft - depuis deux ans, elle confirme la place centrale qu'occupe désormais le Web dans les plans de Microsoft et fait aujourd'hui ses débuts en tant que version de démonstration technologique réservée à quelques milliers de testeurs américains, quelques mois avant que soit lancée une bêta publique.

Vu du côté de l'utilisateur, l'objectif de Mesh est de proposer un service capable de relier l'intégralité de ses appareils et de ses données. Elle permettrait par exemple de partager simplement et directement des documents entre différentes machines, mais aussi d'utiliser un espace de stockage en ligne, accessible depuis n'importe quel terminal connecté ; ou encore d'agir sur une machine distante, sans parler de faire communiquer entre elles des applications. Associé à des fonctionnalités telles que la synchronisation automatique des données, Mesh devrait donc selon les voeux de Microsoft devenir le quartier général de l'internaute, un point d'entrée vers l'ensemble de ses contenus numériques et de ses machines, ainsi que vers celui de ses proches.

Si la première version de l'application nécessaire à l'utilisation de Mesh ne fonctionne qu'avec les ordinateurs Windows (XP ou Vista), l'éditeur promet une compatibilité prochaine avec les Mac et les téléphones Windows Mobile avant, pourquoi pas, d'étendre cette dernière à l'ensemble des périphériques capables de communiquer avec un réseau TCP/IP. L'interface en ligne qui permet de se connecter au service et de contrôler son réseau personnel devrait quant à elle fonctionner depuis la plupart des navigateurs du marché.

Bien que Mesh puisse, à l'heure actuelle, apparaitre comme un simple agrégat de services et de technologies existants - SkyDrive pour le stockage en ligne, FolderShare pour l'échange de fichiers, FeedSync pour la synchronisation - Microsoft assure que son futur produit est d'une trempe nettement supérieure. "De nombreuses offres existantes ont l'air de ressembler à Live Mesh en ce qu'elles utilisent des services hébergés pour le stockage, le partage de fichiers, ou la communication directe entre des PC, mais la plupart de ses produits ne remplit que l'un de ses besoins", explique ainsi Noah Edelstein, chef de groupe au sein de la division Mesh.

La grande force de Mesh serait donc de ne pas se présenter comme un simple service, mais comme une plateforme, dotée d'interfaces de programmation (API) garantissant la possibilité d'interactions avec des fonctionnalités comme la synchronisation ou le stockage en ligne, mais également un environnement commun d'exécution entre les versions mobiles, Windows ou en ligne, du "bureau" Mesh. Prometteur sur le papier, l'essai de Microsoft demande maintenant à être transformé, ce qui ne sera sans doute pas fait avant la fin de l'année.

La stratégie dite du "cloud computing", où les échanges sont gérés et centralisés par des serveurs distants, est désormais au coeur des préoccupations des sociétés du monde IT. Google, bien sûr, mais aussi Amazon, Salesforce, IBM ou Sun réfléchissent aux modalités d'application de ce concept qui consiste à stocker les données et faire tourner les applications non plus sur le poste de travail, mais sur un "nuage" de serveurs. Pour Marc Benioff, PDG de Salesforce, l'arrivée d'un géant du logiciel sur ce marché est tout simplement le signe que l'Internet "est devenu le centre du monde". Les visées divergent toutefois : alors qu'un Google, récent allié de Salesforce, entend remplacer ou compléter le logiciel avec ses services en ligne (concept du SaaS, ou Software as a Service), Microsoft compte bien tenter de lui conférer une valeur ajoutée supplémentaire.
Tout pour la musique numérique ! La filiale américaine du groupe électronique japonais Sony a annoncé mardi acquérir Gracenote pour environ 260 millions de dollars.

Gracenote édite des solutions embarquées de gestion de contenus numériques pour les marchés internet et mobile, l'électronique grand public et l'industrie automobile. La société californienne gère notamment une base d'informations de cd audio (6 millions de cd et 80 millions de titres à ce jour). Cette base de données est proposée, sous licence, aux fabricants de terminaux et aux éditeurs d'applications web comme iTunes d'Apple. Ces derniers peuvent ainsi proposer aux consommateurs un accès en ligne à la base Gracenote pour identifier et copier certaines informations (titre, nom de l'artiste/groupe, liste des pistes, etc.)

Sony table sur "un potentiel de croissance énorme" pour les solutions Gracenote et souhaite "améliorer de manière significative ses propres contenus numériques et son activité 'terminaux'", a souligné dans un communiqué Tim Schaaff, vice-président en charge des logiciels chez Sony Corporation of America. Une fois obtenu le feu vert des autorités, le rachat devrait être finalisé fin mai 2008. Gracenote, devenue une filiale à 100% de Sony, poursuivra ses activités sous son nom.
Le coup d'envoi du bal des avis d'imposition sur le revenu a commencé, et les déclarations de revenus commencent à parvenir dans les boites aux lettres des administrés français. Comme chaque année, ceux-ci pourront déclarer leurs revenus en ligne, et choisir de régler les sommes dues à l'état par un moyen de paiement "moderne", pour reprendre les termes d'Éric Woerth, ministre du Budget, ce qui leur valait jusqu'ici une réduction de 20 euros sur le montant de l'impôt. Cette année, cette prime de modernité sera toutefois réservée à ceux qui effectuent pour la première fois leur déclaration en ligne. En 2007, elle avait favorisé l'adhésion de 7,4 millions de Français au principe de déclaration d'impôts en ligne.

En 2008, les contribuables dont la déclaration d'impôts préremplie ne requiert aucune modification auront toutefois la possibilité de la valider par téléphone, avec l'aide d'un serveur vocal accessible au 0811 701 702 à partir du 2 mai prochain. La communication sera facturée au prix d'un appel local. D'après Bercy, trois millions de personnes seraient concernées par ce cas de figure, sur les 35,5 millions de foyers français.
le 22/04/2008 à 20:59
Plus de femmes en PHP
Note de l'auteur :

Selon Tim Bray, Keynote speaker à Open Web Vancouver 2008 : 'il y a beaucoup plus de femmes dans l'assistance, proportionnellement, que dans une conférence Ruby ou Rails ou Java'.

Je n'ai rien noté de pareil, mais je ne suis pas un adepte des conférences Ruby ou Java. À MySQL conférence, il y en avait effectivement, un peu moins (proportionellement). Et puis, il y a les PHP Women, qui veulent se faire un éléphpant avec du vernis sur les ongles et du rouge à lèvres...Cela doit surement aider.

- OpenWeb and PHP and Women
- PHPWOmen
Dans un billet daté du 17 avril, Alex Brown, responsable du groupe de travail en charge du développement de la norme 29500 au sein de l'ISO explique que les documents texte enregistrés à l'aide de la suite bureautique Office 2007 ne sont pas compatibles avec les spécifications de cette dernière, qui découle pourtant directement du format Office Open XML élaboré par Microsoft.

"Les documents Word générés par la version actuelle d'Office 2007 ne sont pas conformes avec la norme ISO/IEC 29500", affirme Alex Brown, qui dit avoir testé la compatibilité aussi bien avec la version Strict du format Open XML qu'avec la version Transitional. Les documents .docx générés par Office 2007 seraient très loin de coller aux spécifications "Strict" fixées par l'ISO, indique Alex Brown, mais la compatibilité avec la version "Transitional" du format serait plus aisée à obtenir.

Suggéré par l'Afnor en septembre dernier, cette dichotomie entre une version stricte et une version transitionnelle du format Open XML correspond aux différences qui affecteront un fichier nouvellement créé en Open XML d'un fichier traduit d'un autre format.

Un évident paradoxe ? En réalité, cette absence de compatibilité n'est pas vraiment surprenante, dans la mesure où Office 2007 utilise une version du format Open XML qui remonte à la validation de ce dernier par l'organisme européen ECMA (ECMA-376), version également utilisée par les différents convertisseurs mis à disposition par Sun ou Corel pour des suites comme OpenOffice.org.

Les éditeurs concernés par ses logiciels devront donc prochainement leur apporter les modifications nécessaires à la prise en charge de la version standardisée de l'Open XML, de façon à pouvoir mettre en avant leur respect des normes ISO. Pour Microsoft, la mise à jour est susceptible d'intervenir dans le courant de l'été, avec la sortie du Service Pack 2 destiné à Office 2007.
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