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Note de l'auteur :

Comme tout un chacun, j'utilise la table GeoLite de MaxMind pour geolocaliser les IP de phpversion. Comme GeoLite fournit la geolocalisation par intervalle, j'ai commencé à utiliser la clause Between pour repérer les pays de chaque IP : le temps de traitement de la requête sur 28 millions de domaines était... long.

Jeremy Cole vient à la rescousse avec MySQL GIS : c'est l'implémentation MySQL de la gestion des données géographiques. En appliquant les principes géométriques aux IP, on atteind des temps de traitement impressionnants.

- On efficiently geo-referencing IPs with MaxMind GeoIP and MySQL GIS
- GeoLite
- Chapter 17. Spatial Extensions
le 24/11/2007 à 19:05
MySQL étend son modèle fermé
MySQL publie le "MySQL workbench", un outil de gestion des modèles de conception de données pour Windows, Linux et MacOSX (disponibles ultérieurement pour ces deux versions).

Le point le plus notable est que, comme le serveur MySQL, le workbench est maintenant distribué en deux versions : une version OSS, et une version commerciale. Les deux versions partagent le même code source, et la version commerciale propose un confort d'utilisation supérieur. On retrouve la ligne de démarcation qui sépare le serveur OSS de la version entreprise : en payant, on obtient plus de services, et on est déchargé des contributions à faire auprès de MySQL.

La nouvelle version a pris une importance stratégique, selon son chef de projet, et l'équipe de développement a été considérablement renforcée. Il est certains qu'il y a un potentiel a exploiter du coté des MCD MySQL.

- About MySQL Workbench Editions
- MySQL Workbench Editions
- Does MySQL's proprietary Workbench signal that the future of open source is...closed ?
Note de l'auteur :

En comptant le temps que j'ai passé à installer Java, Apache, PHP, MySQL, etc, changé la configuration, ajouté des modules, etc. j'ai décidé de structurer cette expérience pour aider les autres et me faire gagner du temps.

J'ai donc créé un installeur dont le but premier est de fournir un outil en ligne de commande pour assurer l'installation de base de Apache/MySQL/PHP.

- Jamp! Easy Java/Apache/MySQL/PHP install in one click
PHPsecInfo est un utilitaire de sécurité qui analyse votre configuration PHP (dans php.ini), et identifie les points les plus importants, et met en lumière certains point à discuter.

Et pour en parler encore plus en détail, Ed Finkler publie sa conférence sur le sujet, de Washington DC.

- PhpSecInfo
- Slides from DC PHP
- Securing the PHP Environment with PHPSecInfo
le 23/11/2007 à 23:04
GET_LOCK() : si pratique
Contrairement aux verrous LOCK TABLES de MySQL, GET_LOCK dispose d'une option pour limiter le temps d'attente du verrou.
C'est à dire que SELECT GET_LOCK('verrou',2); va tenter de poser le verrou durant 2 secondes, puis il va arrêter, et retourner 0.
Cela vous évite de lancer une requête sans savoir quand elle va se terminer, parce que vous ne savez pas quand les verrous nécessaires seront libérés.

Ici, vous ne le savez toujours pas, mais vous reprenez la main après un temps choisi.

- GET_LOCK & FAMILY
uelques heures après que le président de la République a publiquement entériné les propositions soumises au gouvernement par les membres de la "mission Olivennes", les réactions des différents acteurs concernés par la problématique des droits d'auteur sur Internet pleuvent. Preuve, s'il était nécessaire d'en apporter une, que cette question cruciale ne laisse personne indifférent. Sociétés d'auteurs et ayants droit se félicitent de la mise en place de ce projet, alors qu'associations de consommateurs évoquent la mise en péril des libertés individuelles. D'autres, comme les hébergeurs de contenus, regrettent que leur statut particulier n'ait pas été mieux étudié. Au niveau politique enfin, la question est loin de faire l'unanimité. Florilège.

La Sacem "s'attend à ce que ces propositions permettent de contribuer plus effectivement à la lutte contre la piraterie, dont les ayants droit sont les premières victimes". "Il est évident que cette avancée bienvenue constitue un nouveau jalon dans le combat difficile mené depuis de longues années pour faire respecter les droits et assurer la légitime rémunération des créateurs", ajoute la société des auteurs et compositeurs.

Même son de cloche du côté du Snep et de la SCPP qui, dans un communiqué commun, "approuvent la mise en place par les pouvoirs publics d'une autorité administrative indépendante qui aura la capacité de prendre des mesures contre la violation des droits de propriété intellectuelle au travers d'un système d'avertissements permettant la suspension voire la résiliation des abonnements à Internet qui seraient utilisés pour des pratiques illicites".

L'UFC-Que Choisir n'aura pour sa part même pas attendu la remise du rapport pour monter au créneau : "Une fois encore la question cruciale et prioritaire de l'amélioration de l'offre en ligne a servi d'alibi à une initiative quasi exclusivement consacrée à la mise en oeuvre de mesures répressives à l'encontre des internautes", vitupère l'association de consommateurs, à qui la ligue Odebi emboite le pas, en pronostiquant qu'une "nouvelle mobilisation aurait lieu, et surtout que les ventes des industries culturelles chuteraient, contrairement à l'objectif fixé à la mission Olivennes".

Dans un communiqué commun, les hébergeurs Dailymotion et Kewego précisent qu'ils ne font pas partie de la quarantaine de signataires de cet accord. Le premier indique avoir été auditionné alors que le second explique ne pas l'avoir été. Tous deux affirment souscrire pleinement au principe de "collaboration en toute bonne foi" entre prestataires d'hébergement et ayants droit visant à généraliser l'utilisation de technologies de reconnaissance des contenus. Ils indiquent toutefois qu'un passage de l'accord entre en contradiction avec le régime de responsabilité d'un hébergeur tel qu'il est défini dans la loi sur la confiance dans l'économie numérique. Ce passage précise que les hébergeurs ont pour mission de mettre en place les différents dispostifs légaux existants, mais ceux-ci sont susceptibles de dépasser la portée des implications de la LCEN.

Au niveau politique, l'enthousiasme semble de mise du côté du gouvernement, mais l'opposition gronde à l'Assemblée et certains élus UMP la rejoignent. Comme Marc le Fur et Alain Suguenot, députés UMP, qui dès le 22 novembre disaient dans un communiqué déplorer la proposition visant à créer une autorité publique "qui aurait compétence, sur plainte des ayants droit dont les contenus auraient été téléchargés, pour prendre des sanctions à l'encontre des internautes téléchargeurs".

"Ce transfert des pouvoirs du juge à une autorité administrative revient à créer une véritable juridiction d'exception pour les téléchargeurs et va à l'encontre du principe d'égalité devant la loi et les tribunaux, principes fondamentaux des lois de la République", expliquent-ils.

"On ne peut déceler ni consensus, ni équilibre dans les décisions inefficaces et dangereuses annoncées par le Président de la République. Les consommateurs et de nombreux artistes sont exclus de ce compromis bricolé. Il n'offre aux créateurs qu'une protection illusoire", affirme pour sa part Christian Paul, député de la Nièvre (PS), qui dit encore regretter "que le gouvernement n'ait pas le courage de constater l'échec de la loi DADVSI, de s'engager dans une légalisation progressive des échanges non commerciaux sur le net et de rechercher de nouveaux modes de financement pour la création".

D'aucuns estiment par ailleurs dommageable que les mesures visant à promouvoir l'offre légale, comme l'abandon des mesures techniques de protection, ne s'appliquent qu'aux acteurs français, laissant des grands noms du secteur comme Apple libres de continuer à pratiquer leur politique actuelle. L'établissement du cadre législatif et réglementaire visant à définir les conditions d'application de ces différentes mesures devrait donc donner lieu à moult débats à l'Assemblée nationale et au Parlement.
Remis en grande pompe lors d'une cérémonie à l'Elysée, le rapport Olivennes a été entériné vendredi 23 novembre par le président de la République. Dans un discours d'une vingtaine de minutes, Nicolas Sarkozy a affirmé son soutien aux propositions issues de la "mission Olivennes", et défendu la nécessité de mettre en place un dispositif de riposte graduée prévoyant la suspension de l'accès à Internet de l'abonné en cas de téléchargements illégaux répétés.

Il a toutefois rappelé à plusieurs reprises que l'accord passé aujourd'hui entre ayants droit, fournisseurs d'accès et distributeurs, n'avait pas vocation à être figé, et invité les représentants des secteurs de la musique, du cinéma, de la télévision et de l'Internet qui lui faisaient face à faire le point sur l'efficacité des mesures préconisées dans six mois.

"Les jeunes comprendront parfaitement que si on laissait faire, seuls quelques artistes s'en sortiraient. Ici, on ne défend pas ceux qui ont déjà rencontré leur public, mais ceux qui n'auraient aucune chance de le rencontrer si l'on ne défendait pas les droits d'auteur", a affirmé Nicolas Sarkozy, qui s'est par ailleurs félicité que les acteurs concernés aient réussi trouver un accord convenant à tous en dépit de leurs intérêts divergents. Sont donc validés, en ce 23 novembre, les trois principaux volets du rapport rendu par Denis Olivennes, PDG de la Fnac, aux ministères de la Culture, de l'Economie et de la Justice.

En premier lieu, c'est au sein du système dit de "riposte graduée" que seront pénalisés les internautes convaincus de téléchargements illégaux. Celui-ci prévoit l'envoi de courriers électroniques d'avertissement, puis la suspension temporaire, voire définitive, de l'abonnement à Internet de l'utilisateur incriminé en cas de récidive. Le gouvernement espère ainsi enrayer le piratage de masse, en dissuadant le plus grand nombre. "Les pirates professionnels", ceux qui font commerce d'oeuvres acquises illégalement, "resteront soumis au droit commun de la contrefaçon", a prévenu le président.

Une autorité publique sera dévolue "à l'avertissement et à la sanction" des internautes, selon les termes du rapport Olivennes. Sur plainte des ayants droit, elle transmettra aux fournisseurs d'accès à Internet les courriers à faire suivre aux abonnés, puis se chargera des éventuelles sanctions en cas de récidive. Après approbation par la Cnil, elle constituerait un répertoire national des abonnés dont le contrat a été résilié visant à limiter la faculté de ces derniers à se réabonner chez un autre opérateur.

Les fournisseurs d'accès s'engagent de leur côté à jouer le jeu de ce système de riposte graduée tout en étudiant et expérimentant les différentes technologies de filtrage du réseau, avec une obligation partielle de résultats à 24 mois. Enfin, éditeurs de contenus et ayants droit acceptent au travers de cet accord de supprimer les verrous numériques qui sont un frein à l'interopérabilité dans le domaine de la musique et de calquer la sortie des films en vidéo à la demande sur Internet sur le calendrier de sortie des DVD de façon à favoriser le développement de l'offre égale.

De ces propositions, c'est sans surprise l'aspect répressif qui a été retenu par les premiers commentateurs. Le gouvernement devra maintenant déterminer, en adéquation avec les différentes forces en présence, quel cadre législatif et réglementaire mettre en place pour orchestrer ces mesures.
Sabeer Bhatia, ce nom ne vous dit peut-être rien et pourtant il désigne le co-fondateur d'un service qui est aujourd'hui utilisé par des milliers de personnes chaque jour : le service de courrier électronique gratuit Hotmail. Racheté par Microsoft pour la somme de 400 millions de dollars il y'a maintenant dix ans, Hotmail a été rebaptisé depuis "Windows Live Mail".

Mais qu'est donc devenu ce cher Sabeer Bhatia ? Non content de la fortune qu'il a amassée, l'homme plutôt ambitieux s'est ensuite lancé dans une série de projets / startup qui, jusqu'à présent, ont tous plus ou moins échoué. Aujourd'hui, il revient sur le devant de la scène avec un nouveau service Web qui pourrait donner quelques cheveux blancs à... Microsoft !

Le service en question porte le nom assez évocateur (et trompeur ?) de "Live Documents". De quoi s'agit-il ? Live Documents, comme le laisse entendre son nom, est une mini-suite bureautique en ligne qui permet d'ores et déjà de profiter d'un traitement de texte assez avancé.

Live Documents est associé à une capacité de stockage de 100 Mo pour les particuliers. Les entreprises, moyennant finances, peuvent aussi accéder à des options avancées permettant de configurer le serveur distant ou l'hébergement interne. Une entreprise indienne nommée Aricent et composée de 6700 employées est le premier client de cette nouvelle solution. D'autres firmes comme Proctor & Gamble, General Electric et Capgemini l'utilisent aussi comme alternative à Office pour réduire leurs coûts.

Selon son fondateur, Live Office est bien plus avancé qu'un simple Google Docs, pusqu'il serait capable d'offrir les mêmes prestations qu'Office 2007 (l'application de Microsoft). Live Documents s'appuie sur les technologies Flex et Flash d'Adobe. Reste à savoir maintenant si Microsoft va de nouveau sortir le chéquier pour s'offrir la nouvelle création de Sabeer Bhatia ?
Note de l'auteur :

Bonjour à tous, du PHP, du PEAR, du Mysql et de l'API Google Maps, on mélange le tout et ça donne ... FootMap (version non finale).

Basé sur un "moteur applicatif" construit essentiellement grâce aux librairies PEAR, j'ai voulu tester l'utilisation de l'API Google Maps pour aboutir à FootMap.
Dans un avenir que j'espère proche, j'ouvre la possibilité à des internautes de s'inscrire et de saisir les données de compétitions qu'ils souhaitent voir apparaitre dans le service.

Dans un avenir plus lointain, je fais évoluer l'application pour qu'elle puisse gérer d'autres sports => SportMap.
Ce service est disponible en tant que gadget Google et peut être très facilement intégrée dans n'importe quel autre site (résolution 470x470).

- FootMap le site
- FootMap gadget Google
- Projet Crate
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