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Comme tout phénomène ayant le vent en poupe, les réseaux sociaux drainent le meilleur comme le pire... Alors que le géant MySpace vient de fermer 29.000 comptes au motif que ces derniers pouvaient dissimuler des délinquants sexuels, c'est aujourd'hui autour de l'étoile montante du réseau social, Facebook, de faire l'objet d'une enquête de police diligentée par l'état du Connecticut.

D'après Richard Blumenthal, procureur en charge de cette affaire, les différentes investigations menées jusqu'ici auraient permis de déceler au moins trois délinquants sexuels derrière un compte Facebook, ainsi qu'un certain nombre de contenus n'ayant pas leur place sur ce type de service.

Fondé en 2004, Facebook a mis en place un certain nombre de protections destinées à le mettre à l'abri des ennuis rencontrés par MySpace. Par exemple, un utilisateur identifié comme ayant plus de 18 ans ne pourra pas consulter le profil d'un adolescent de moins de 18 ans si celui-ci ne l'a pas explicitement convié à faire partie de ses "amis". En fonction des sujets de discussion qu'il fréquente et des gens avec qui il se lie, un adolescent n'est toutefois pas à l'abri de sollicitations à caractère sexuel.

Afin de protéger ses quelque 30 millions de membres, Facebook suggère la constitution d'une liste des délinquants sexuels reconnus au niveau des Etats-Unis. Il serait alors possible de comparer les inscrits au service à cette liste, de façon à détecter les profils suspects. 13 Etats américains auraient déjà entrepris de signer ou d'étudier cette proposition.
Google a profité d'une audience relative à la procédure qui l'oppose au groupe Viacom pour affirmer qu'une technologie de filtrage des contenus sera mise en place sur le portail YouTube dès le mois de septembre si tout se passe bien. Basée sur un système de reconnaissance des vidéos, elle serait aux dires de l'avocat de Google aussi sophistiquée que les technologies d'analyse d'empreintes digitales utilisées par le FBI. Cet optimisme a toutefois été tempéré par un porte-parole de la firme, qui a expliqué à IDG News Service que Google espérait effectivement avoir finalisé cette technologie à l'automne mais que la complexité de cette dernière laissait augurer de possibles retards.

Google envisage donc de fournir aux différents éditeurs de contenus une "empreinte" numérique qu'ils pourront inscrire au coeur de leurs vidéos. Lors de son envoi vers les serveurs de YouTube, une vidéo soumise au droit d'auteur serait détectée par comparaison de son empreinte avec une base de données alimentée par les ayants droit. Pour que le système se révèle efficace, il faut que cette empreinte résiste aux différentes modifications que sont susceptibles de faire subir les internautes à une vidéo.

Techniquement difficile à réaliser, le filtrage des contenus est devenu un enjeu majeur pour les services d'hébergement de vidéos qui se voient régulièrement menacés par les ayants droit. Aux Etats-Unis, Google est aux prises avec le groupe Viacom, qui lui réclame un milliard de dollars de dommages et intérêts. En France, le service Dailymotion a récemment été condamné pour avoir hébergé et diffusé une copie du film Joyeux Noël. Dailymotion devrait d'ailleurs prochainement faire appel aux services de la société Audible Magic, qui propose un outil de filtrage des contenus.

Le principe de la comparaison d'empreintes suppose que les éditeurs de contenus alimentent en empreintes les bases de données construites par les hébergeurs ou prestataires de services tels qu'Audible Magic, mais ces bases ne sont pas systématiquement partagées, ce qui risque de soulever de nouveaux problèmes.
L'Organisation pour la sécurité et la coopération en Europe (OSCE) tire une nouvelle fois la sonnette d'alarme au sujet de la montée de la censure sur Internet. Dans un rapport de quelque 200 pages baptisé "Governing the Internet", elle dénonce les restrictions mises en place par une vingtaine d'états dans le but d'étouffer les éventuelles contestations politiques. Différentes études de cas permettent de constater l'étendue de la censure imposée dans des pays comme le Kazakhstan, la Géorgie, la Chine, l'Iran ou le Soudan.

"De récentes décisions, qui vont à l'encontre de la liberté d'expression sur Internet dans un certain nombre de pays, rappellent cruellement combien il est facile à certains régimes, démocraties et dictatures confondues, de réprimer les opinions qu'ils désapprouvent, réprouvent ou simplement qu'ils craignent", explique le rapport de l'OSCE. "Il n'a jamais été plus facile de s'exprimer qu'avec le Web. Et dans le même temps, nous sommes les témoins de l'explosion de la censure sur Internet", constate-t-il encore.

Pointant tout particulièrement du doigt la Géorgie ou le Kazakhstan, ce rapport affirme que le simple fait de tenir un blog ou d'animer une page personnelle sur Internet est passible de poursuites dans ces pays. Il rappelle en outre le cas de l'affaire Borat, où le gouvernement kazakh avait ordonné la saisie de noms de domaine en .kz de façon à évincer un site monté par l'humoriste britannique Sacha Baron Cohen, qui tournait implicitement en dérision le régime en place.

Ce rapport n'a pas empêché Yermukhamet Yertysbayev, ministre kazakh de l'Information, d'affirmer à l'occasion d'un discours prononcé au siège de l'OSCE que son pays était engagé en faveur de ce qu'il a qualifié de "e-gouvernement", qui offrirait à tous un accès aux ressources informatives et culturelles d'Internet.
YSlow est un module FireBug lancé par Yahoo! pour rassembler en un seul composant trois outils de performances de page Web.

Performances analyse la vitesse de chargement de la page, et donne un score à 13 éléments (Etags, Javascript, fichiers externes, requêtes HTTP, doublons, etc).

Stats présente les différents poids de la page (cookies, css, images, texte, etc). On peut aussi voir l'impact du cache navigateur avec une vue 'cache vide' et une autre 'cache remplit'.

Components classe les différents documents de la page en temps de réception, et poids.

YSlow inclut aussi JSLint, un outil de vérification du code Javascript.

En bref, une mine d'outils pour FireFox et Firebug.

- YSLow
- JSLint
- FireBug
le 30/07/2007 à 20:08
PHP et SSH2
Note de l'auteur :

Tout le monde ne sait pas que PHP est capable de faire des connexions SSH et d'exécuter des commandes à distance : pourtant cela peut être très commode.

J'ai utilisé de nombreuses applications PHP CLI qui s'exécutent comme des tâches récurrentes, mais les premières expériences furent difficiles.
Le manuel PHP sur les fonctions SSH ne sont pas plus pratiques ni commodes, alors j'ai décidé de partager mon expérience dans ce tutoriel, pour vous mettre le pied à l'étrier.

- Make SSH connections with PHP
le 30/07/2007 à 20:07
MySQL Explain devient graphique
Si vous avez déjà souhaité que le résultat de la commande MySQL EXPLAIN soit publié sous forme d'arbre et non pas de tableau, alors vous serez comblé par le dernier outil de Baron Schwartz.

MySQL Visual Explain transforme la table de résultat de EXPLAIN en une vue hiérarchisée du plan d'exécution de la requête. Le résultat est significativement plus facile à comprendre, notamment dans le cas des index qui s'enchaînent.

MySQL Visual Explain fait partie du MySQL ToolKit de Baron Schwartz, où vous trouverez une myriade d'utilitaires pratiques.

- Introducing MySQL Visual Explain
- MySQL Toolkit
le 29/07/2007 à 23:35
GOsa 2.5.12
Gosa est un outil d'administration développé en PHP en GPL. Il permet de controler les comptes et les systèmes dans les bases de données LDAP.

Il administre des utilisateurs et des groupes de travail, des listes de distribution de courrier...

- GOSA
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