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Alors que le pays s'apprête à voter pour les élections législatives, la loi instituant un filtrage du web en Australie pourrait ne pas passer. La majorité pourrait être renversée et la loi passerait alors rapidement aux oubliettes. L'opposition politique est, en effet, très remontée contre ce projet qui vise à bloquer tous les sites classés « Refused Classification » parlant de pornographie mais aussi d'anorexie ou d'euthanasie.

Récemment, les FAI du pays ont vivement protesté après la publication d'une première liste de sites bloqués. A propos du filtrage, ils considèrent que la mise en place d'un tel système aboutirait à réduire la qualité des connexions à Internet dans le pays. Certains géants de l'Internet comme Yahoo! ou Google s'étaient alors même permis de critiquer la position du gouvernement.

Si le parti libéral est élu prochainement, cette vision du Web serait remplacée par une campagne de sensibilisation auprès du public et notamment des parents.
Les ingénieurs de Microsoft Labs ont publié un nouvel outil expérimental baptisé Zoom.it. L'application web permet aux internautes de partager plus facilement les images en haute résolution. Le concept est plutôt facile à prendre en main : il suffit de copier le lien d'une image pour obtenir une sorte de widget en JavaScript à coller sur une page web ou un blog.

Les images mises en ligne sont automatiquement converties au format Deep Zoom basé sur la technologie Seadragon du plugin Silverlight. L'internaute sera en mesure de zoomer sur l'image avec sa souris, de la déplacer de gauche à droite ou de l'afficher en plein écran. L'équipe de Zoom.it avait notamment dévoilé l'outil de navigation Pivot et Photosynth pour créer un environnement 3D à partir d'une série de clichés.

Une autre fonctionnalité particulièrement intéressante de Zoom.it est la possibilité d'effectuer une capture d'écran d'une page web entière simplement en entrant son URL. Notons d'ailleurs que l'affichage du texte reste relativement propre même sur un zoom très rapproché.
le 06/08/2010 à 23:05
Nouvelle fonction ARRAY en PHP
La prochaine version de PHP verra apparaître une nouvelle fonction, autour de l'utilisation des tableaux ARRAY.

Celle-ci, réalisée par Johannes Schluter, appelé actuellement « array dereferencing », qui correspond à un déréférencement tableau. Son utilisation vous permettra de retourner un tableau à partir d'une méthode de référence et d'une manière nouvelle en dehors de l'appel.

Il nous montre quelques exemples d'utilisation pour vous montrer de l'interêt de celle-ci.

- Features in PHP trunk: Array dereferencing
le 05/08/2010 à 22:57
Google Wave, c'est fini
« Nous n'avons pas eu autant d'utilisateurs que nous le souhaitions », voilà le motif invoqué par Google pour signifier la fin du service Wave. La firme ne développera plus pour cette plateforme et utilisera ses technologies dans d'autres produits.

Google Wave était pourtant censé représenter le client e-mail révolutionnaire de la marque mais le manque d'adhésion du public et surtout d'une partie des professionnels, signe donc l'arrêt de mort du service. Google a donc l'honnêteté de reconnaître que son service n'a pas marché et explique sur son blog que Wave sera disponible jusqu'à la fin de l'année.

Cette expérience Wave qui n'aura pas été un raz-de-marée, va cependant « servir » à Google à utiliser les technologies développées pour d'autres services à venir. Le glisser/déposer dans Gmail en est un bon exemple.
Microsoft a levé le voile sur une nouvelle version de la Platform Preview d'Internet Explorer 9. Rappelons que ces démonstrations ont pour but de montrer les performances du prochain navigateur mais n'embarquent pas encore d'interface utilisateur.

L'équipe de développement souhaite en effet afficher une certaine transparence auprès des utilisateurs et des partenaires. Plus qu'un témoignage des performances du prochain IE9, les Platform Preview permettent également de recueillir plusieurs retours d'expérience en s'assurant que toutes les aspects du HTML5 sont bien pris en charge ou en peaufinant l'accélération matérielle en fonction des testeurs.

Pour cette dernière Platform Preview avant la première bêta annoncée au mois de septembre, Microsoft s'est concentré sur les aspects clés du navigateur à savoir l'accélération matérielle pour différents éléments (vidéos, audio, SVG, Canvas...). Au mois de janvier, Microsoft a rejoint le groupe de travail SVG du consortium W3C. La mission du groupe SVG est de continuer l'évolution du format Scalable Vector Graphics tout en promouvant son utilisation avec d'autres technologies. En interprétant des données XML, SVG est un format graphique vectoriel permettant de représenter des formes géométriques. Patrick Dengler, chef produit du navigateur, expliquait alors ainsi : "nous reconnaissons que le format SVG est un composant très important pour la prochaine génération de la plateforme web".

Basé sur les spécificités d'ECMAScript5, le moteur JavaScript, baptisé Chakra, est désormais replacé directement au sein du moteur d'IE9. Il en résulterait de meilleures performances, notamment au niveau de DOM pour l'interaction avec les données d'une page web dynamique. Microsoft a procédé à plusieurs centaines de tests de compatibilité avec les spécificités de HTML5, CSS3, SVG 1.1 DOM ou encore JavaScript. Cette nouvelle Platform Preview se révèlerait particulièrement aboutie devant Firefox, Chrome, Opera ou Safari. Pour ce qui est du test Acid 3, qui effectue une petite centaine de tests supplémentaires, Microsoft enregistrerait un score de 95/100.

Microsoft encourage les développeurs a reprendre leurs sites Internet afin des les rendre compatibles avec HTML5.
Après l'annonce de la création d'un nouveau centre de données pour héberger les informations des 500 millions de membres/clients, Facebook est pris à partie par les défenseurs de l'environnement. Encore une fois, l'ONG Greenpeace vient pointer du doigt la consommation énergétique du réseau social.

Il faut dire que Facebook a pris la décision d'agrandir son Data Center de Prineville (Oregon) pour stocker et traiter toutes les données de ses membres. Son coût est évalué à 200 millions de dollars (150 millions d'euros) et doit s'étendre sur presque 30.000 m2. Un mastodonte qui possède également un coût énergétique.

Cette facture qui serait équivalente à ce que consommeraient 30.000 foyers américains (30 mégawatts) ne plaît pas à Greenpeace. Dans un reportage sur FoxNews, l'ONG estime que le fournisseur local d'énergie, Pacificorp, est loin d'être un exemple en matière de préservation de l'environnement car plus de la moitié de l'énergie produite provient de centrales thermiques, considérées comme polluantes.

Bien que Greenpeace dénonce mais aussi utilise Facebook, l'association avait déjà taclé sévèrement le réseau social. En avril dernier, dans un rapport sur la consommation d'énergie des centres informatiques, elle donnait déjà de mauvaises notes à Facebook pour sa gestion gourmande de ses Data centers.
Deux géants de l'Internet seraient en passe de signer un accord portant sur la mise en avant de contenus payants. Google et Verizon souhaiteraient « accélérer certains contenus en ligne à destination des internautes si les créateurs de contenus acceptent de payer ». De quoi créer deux catégories d'internautes et mettre un gros coup de couteau dans le principe de neutralité du Net.

A en croire l'agence AP, cet accord serait en cours de finalisation et pourrait même être signé la semaine prochaine. Selon une source proche du dossier, certains contenus seront donc traités en priorité et ne devraient pas souffrir de problèmes de connexion. Des services Premium comme le téléchargement légal de films devraient ainsi être plus rapides, si l'internaute y souscrit.

Plus précisément, certains contenus seraient favorisés si leur éditeur, YouTube par exemple, paie pour une meilleure qualité de service.

En échange de cet accord, une entente pourrait être formée sur le terrain des nombreux mobiles de la marque Verizon fonctionnant sous Android. Google accepterait alors « de ne pas s'opposer à la possibilité pour Verizon de gérer comme il l'entend son réseau Internet haut-débit ».

Si cet accord est validé, on peut donc douter de l'avenir de la neutralité du Net. Plus près de nous, Benjamin Bayart, créateur de l'association/FAI, French data network, estime que les limites sont en train d'être atteintes. Le responsable, très engagé dans les débats sur la Net Neutrality, précise sur Twitter : « Voilà ce qu'on cherchait à éviter ». Trop tard...
Le pouvoir de conviction de Bill Gates, l'ex-gourou de Microsoft aujourd'hui "retraité" et philanthrope, n'est aujourd'hui plus à prouver : ce dernier est parvenu à fédérer 40 millionnaires dans un projet un peu fou visant à céder la moitié de la fortune de ses participants à des oeuvres de charité.The Giving Pledge (La Promesse de Don), c'est le nom de cette opération lancée au moins de juin par Bill Gates et son épouse : le site du projet invite les plus riches fortunes du monde à formuler des promesses de don dépassant 50% de leur fortune, dans le but d'aider les plus démunis. C'est l'homme d'affaire et ami de longue date de Gates, Warren Buffet, qui a le premier annoncé sa participation à l'opération, en faisant une promesse de don représentant pas moins de 99% de sa fortune.

Depuis, c'est près de 40 millionnaires dont la quasi-totalité sont en réalité milliardaires que Bill Gates a su convaincre. Parmi eux, on trouve de grands noms des médias, de l'informatique, de la politique ou encore du divertissement : George Lucas, Michael Bloomberg (le maire de New York), Ted Turner (fondateur de CNN), David Rockfeller, Paul Allen (co-fondateur de Microsoft), Barry Diller (PDG d'IAC, propriétaire entre autre de Ask.com) ou encore Larry Ellison (fondateur d'Oracle).

Le montant estimé des promesses de dons n'est à ce jour pas encore connu, d'autant plus que le projet est toujours d'actualité : la liste pourrait bien encore s'étoffer d'avantage dans les prochains mois. La Fondation Bill Gates entend, en tout cas, oeuvrer dans ce sens.
Après avoir investi plus de 100 millions de dollars au sein de Zynga et racheté LabPixies, une jeune pousse israélienne développant des jeux sous forme de widgets pour smartphones et réseaux sociaux, Google continue ses investissements dans le domaine du jeu communautaire.

En effet, la firme de Mountain View serait sur le point d'annoncer le rachat de Slide pour 182 millions de dollars. Slide édite des jeux s'intégrant à différents réseaux communautaires comme Facebook, MySpace mais aussi Bebo, Hi5, Friendster ou Orkut. En plus de quelques jeux nous retrouvons quelques petites applications comme FunPix pour créer des collages photos, Guestbook pour éditer un livre d'or ou encore SkinFlix pour personnaliser l'affichage d'une vidéo de YouTube.

Slide enregistrerait plus de 27 millions de visiteurs uniques par mois. Cette acquisition devrait être confirmée en fin de semaine et concorde avec les précédentes initiatives de Google dans le domaine du jeu social. Pour rappel, le géant de Mountain View serait en train de mettre en oeuvre Google Games et en pourparler avec d'autres éditeurs comme Playdom ou Playfish.

De son côté la société Instantiations annonce avoir été rachetée par Google. La start-up est spécialisée dans les outils de développement Java et Ajax, notamment pour l'environnement de production libre Eclipse. Instantiations fait usage de Google Web Toolkit permettant le développement et l'optimisation des applications hébergées. Cette transaction n'inclut cependant pas VA Smalltalk, un outil de développement professionnel conçu par Instantiations. Mike Taylor conservera sa position de président et PDG de Instantiations tandis que Eric Clayberg continuera de siéger au conseil de direction tout en rejoignant Google.
A partir du 16 Aout 2010, Twitter ne sera plus en charge du protocole d'identification de base à sa plate-forme. La nouvelle façon de s'identifier, s'effectuera par une application Twitter.

Cette nouvelle façon de s'identifier aura de nombreux impacts, si vous vous connecter à Twitter dans votre application PHP, pour s'authentifier.

Le tutorial proposé par NetTuts.com, vous montrera comment mettre en place cette nouvelle plate-forme, avec différentes étapes :
- La mise en place de l'application
- Enregistrement d'utilisateurs
- Lecture des statuts
- Affiche les mises à jour

- How to Authenticate Users With Twitter OAuth
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