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Inside Contactless et NXP Semiconductors viennent de rendre publiques leurs APIs (interfaces de programmation) respectives pour favoriser l'émergence d'un code logiciel open-source pour les paiements sans contact. Les deux entreprises développent des puces pour la technologie NFC (Near Field Communication ou Communication en champ proche), qui permet la communication entre deux appareils à quelques centimètres de distance.

La technologie n'est pas tout à fait neuve, puisqu'il est déjà possible d'effectuer des paiements (ou d'échanger d'autres informations) à de très courtes distances, en frôlant un récepteur avec son téléphone équipé d'une puce NFC par exemple.

NXP et Trusted Logic qui développe la partie logicielle pour NXP ont publié une API open-source pour le système d'exploitation mobile Android. Ils veulent permettre le développement d'applications qui pourraient utiliser la technologie NFC, selon leur communiqué commun. De son côté, Inside rendra disponible son API pour Android sur SourceForge.net à partir du 15 mai. Selon son porte-parole, l'entreprise espère ainsi étendre plus largement la technologie NFC dans les smartphones.

Les deux entreprises entrent ainsi en concurrence sur les téléphones avec l'OS de Google, et veulent devenir l'implémentation de référence de la technologie NFC sur Android. A noter que le logiciel d'Inside fonctionne aussi sur Windows Mobile et le système MeeGo de Nokia et Intel. La technologie NFC n'est pas encore très répandue sur les téléphones portables, mais plusieurs appareils sont attendus en 2010, qui devraient embarquer ce mode ce communication, selon Sandy Shen, directeur de recherche à Gartner.
Twitter a annoncé vendredi, via son blog officiel, le rachat de la société spécialisée dans l'envoi de SMS Cloudhopper.

« Twitter a été inspiré par le SMS, et nous continuons à utiliser cette technologie simple mais omniprésente. » commente le co-fondateur de la plateforme, Kevin Thau. Ce dernier explique que Twitter et Cloudhopper collaborent depuis 8 mois déjà, et que l'acquisition de la start-up devrait permettre au site de microblogging de renforcer son infrastructure de tweets par téléphone mobile.

Le montant de la transaction n'a pas été rendu public, et le blog annonce juste l'arrivée des deux fondateurs de Cloudhopper au sein de l'équipe de Twitter.

A l'heure actuelle, Twitter revendique 1 milliard de SMS par mois. « Ce nombre est en croissance partout dans le monde, de l'Indonésie à l'Australie en passant par le Royaume-Uni, les Etats-Unis, et au-delà. »

A noter que la France ne fait plus partie des pays desservis par ce service depuis 2008, et ce pour des raisons de coûts trop élevés.

C'est le second achat d'importance de la plateforme de microblogging en quelques semaines, après l'application pour iPhone Tweetie.
L'éditeur norvégien Opera vient de publier une version desktop de son navigateur mobile, pour que les développeurs web puissent tester le rendu de leurs pages ou créer des widgets. Opera Mobile peut être téléchargé pour Windows, Mac OS et Linux, et affiche les pages telles qu'elles apparaîtront sur un téléphone équipé du navigateur.

La plate-forme de widgets est également disponible en version desktop. Ces widgets sont des petites applications créées à base d'AJAX et d'autres interfaces de programmation - pas encore approuvées par le W3C. Les widgets ne dépendent pas du système d'exploitation utilisé, et Opera espère distribuer sa plate-forme Mobile Widget aux fabricants d'appareils, comme pour son navigateur.

Les deux applications permettent de contrôler la définition en modifiant la taille de la fenêtre, et de tester le zoom automatique d'Opera directement dans l'interface. Opera Mini est également disponible en test sous forme d'applet Java, mais la version Mobile du navigateur est la seule implémentée nativement sur les téléphones Windows Mobile et Symbian. Opera Mini pourra néanmoins intéresser les développeurs, puisque c'est la version présente sur iPhone ou Android.

La création et le débogage de widgets sont intégrés dans l'environnement de développement Dragonfly d'Opera. Il faudra attendre pour voir si cela permettra à Opera d'intégrer cette plate-forme de widgets sur les téléphones portables, et de générer quelques revenus.
Le site d'écoute de musique Deezer a annoncé ce matin avoir signé un accord avec le label indépendant français Discograph.

Le catalogue de Discograph compte des artistes de tous les styles, parmi lesquels Le Peuple de l'Herbe, Beat Assailant, Stuck In The Sound, ou encore Demis Roussos.

« Nous sommes fiers d'intégrer le catalogue Discograph dans notre offre. Par cette signature, Deezer montre une fois de plus sa volonté d'élargir au maximum son offre aux labels et distributeurs indépendants. Les opportunités sont des plus ouvertes avec l'ensemble des artistes représentés par Discograph, afin de leur apporter un soutien en terme de visibilité, notoriété et développement » commente Julien Simon, le directeur des acquisitions de Deezer.

Avec ce nouveau partenariat, le catalogue de Deezer comptabilise désormais 7 millions de titres, « l'offre la plus riche du marché » selon le site.
Après les annonces d'une hausse des forfaits Triple Play (Internet, TV, Téléphonie), les FAI pourraient bien mettre leurs menaces à exécution. Une fois encore, Xavier Niel, le vice-président et directeur de la stratégie d'Iliad vient d'expliquer que les tarifs pourraient augmenter de 6 euros. La faute de YouTube, trop consommateur en bande passante et de la Commission européenne.

Xavier Niel l'avait déjà prédit, cette fois cela semble se préciser. Une augmentation du prix des abonnements Triple Play serait prévue au motif que le site YouTube consomme trop en bande passante. Sur le site UniversFreebox, l'explication est donnée : « les 4,5 millions d'abonnés de Free consomment un trafic de 1 Tbit/s en pointe. Un facteur 10 pourrait être appliqué si YouTube lançait une chaîne HD avec un flux de 10 Mbit/s ». Free serait alors obligé de faire payer les 4,5 millions d'utilisateurs…

Xavier Niel estime alors que le surcoût serait de 30 millions d'euros par mois, soit l'équivalent de 6 euros par mois, par abonné. Mais celui qui est également propriétaire des droits des chansons de Claude François et de la chanson My Way oublie de préciser que les FAI vont bientôt se voir retirer un avantage substantiel venu de l'Union européenne.

A en croire La Tribune.fr, le gouvernement français a reçu une lettre du commissaire européen chargé de la fiscalité. L'Union européenne souhaite mettre fin à l'avantage fiscal accordé aux fournisseurs d'accès Internet de France. Un bonus qui a permis aux FAI d'économiser jusqu'à 200 millions d'euros par an.

De même, les fournisseurs pourraient être obligés de faire appliquer une TVA « traditionnelle » de 19,6 % à leurs abonnés (au lieu de 5,5 % concernant la télévision). Dès lors, les FAI devront appliquer le taux normal « sauf s'il est établi que la TV constitue la prestation principale » du forfait Triple-Play…

A l'heure actuelle, la France fait encore figure d'exception puisqu'elle est l'un des pays européens où les abonnements Triple Play sont parmi les moins chers d'Europe. Une situation peut être trop exceptionnelle.
le 26/04/2010 à 23:41
Eye OS 2.0.0.2
Eye OS est une application vous permettant d'avoir un bureau virtuel à travers le web, réalisé avec PHP.

Depuis la version 2, une version de base comprend un système de fichiers utilisateurs et 5 applications en 19 langues. Ces applications sont principalement bureautiques comme un traitement de texte, un tableaur, un calendrier... La demande de documents est plus stable car il est possible de travailler avec l'application, de créer, d'enregistrer et d'ouvrir des documents facilement.

L'interface d'administration a aussi été améliorée permettant ainsi d'effectuer du glisser/déposer et couper/copier/coller entre les différentes fenêtres.

Du coté de la gestion des onglets, Un renforcement pour afficher en temps réel les informations.

- Communiqué Eye OS 2.0.0.2
le 26/04/2010 à 23:41
5 outils webs à connaître
Le web est une mine d'or, car beaucoup de projets sont disponibles en ligne. Souvent, les recherches d'aide s'effectuent à travers les moteurs de recherche, mais il existe des sites dédiés sur de nombreux points surtout pour aider le développement et la réalisation de projets.

Le site Waluutwins a dressé une liste de 5 outils web pour avoir un mémo proche de la main. Il présente :
- Yuml.me : Editeur de diagramme UML sous forme de service web
- Pastie.org : Partage de code "brute" rapide
- Gotapi.com : La documentation en ligne (php, html, mysql, css...)
- Meyerweb.com URL encoder / decoder
- Cheat-Sheets.org : Les feuilles de pompes des développeurs

- 5 outils web pour le développement
le 25/04/2010 à 23:37
Conférence PHP Italie
Du 13 au 15 mai prochain va se dérouler le grand événement PHP en Italie autour de la qualité et PHP.

Les bonnes pratiques, les réussites liées à la qualité et le contrôle de révision seront les conférences autour de ce thème. Bien entendu, les tests, l'intégration continue, les méthode agiles seront aussi traités.

Pour plus d'informations, connaître l'ensemble des sessions, je vous invite à consulter le site officiel.

- Conférence PHP italie 2010
le 24/04/2010 à 23:45
6 nouvelles astuces PHP
Le site PHPBuilder.com a publié 6 astuces PHP dans un article. Les astuces présentées sont des astuces qui peuvent être utiles à connaître car l'auteur montre une utilisation que vous ne pensez pas pas toujours lors d'un développement.

La liste des 6 astuces :
- Compter les caractères dans une chaîne
- Utiliser ECHO comme fonction
- Utilisation des simples quotes
- La variable variable PHP
- Les champs des tableaux
- Sortie de PHP Tampon

- Six Cool PHP Tricks You May Not Know
Hégémonique Facebook ? Affublé de son éternel sweat à capuche, son jeune PDG Mark Zuckerberg a présenté mercredi soir lors d'une conférence destinée aux développeurs les évolutions en cours du réseau social aux 400 millions de membres. Derrière certaines fonctionnalités qui au premier abord paraissent anecdotiques se cache une stratégie revendiquée de conquête du Web : faire de Facebook le compagnon incontournable de l'activité en ligne, aussi bien sur le réseau lui-même qu'à l'extérieur de ses frontières.Open Graph, où Facebook comme toile de fond du Web

Le fer de lance de la nouvelle stratégie de Zuckerberg se résume en deux mots : Open Graph, un nouvel outil permettant d'interagir avec un profil ou une page Facebook depuis un site tiers. Successeur des interfaces Facebook Connect, il permettrait selon le jeune CEO de faire de chaque page, contenu, vidéo ou photo du Web le maillon d'une chaine sociale dont Facebook serait bien sûr le liant.

Pour l'internaute, comment se manifestera cette innovation ? Sur tous les sites qui décideront d'adhérer au schéma Open Graph, l'internaute aura la possibilité de cliquer un bouton « J'aime » pour chaque contenu. Aujourd'hui, lorsque vous consultez un article sur Clubic, vous disposez d'un petit bouton « Partager sur Facebook » qui, si vous l'actionnez, ouvre une fenêtre vous permettant de commenter l'article puis de le poster sur votre profil. Le processus est simple, mais pas autant qu'il pourrait l'être.

Avec Open Graph, l'idée consiste en effet à faire de chaque élément de la page : le titre, une image, une vidéo, ou un article dans son entier, un élément susceptible d'être partagé d'un clic sur le profil du visiteur. Nulle saisie fastidieuse, nulle fenêtre surgissante : comme sur Facebook, un clic sur "J'aime" fait apparaitre une mention sur votre profil.

Quel intérêt pour l'éditeur, l'annonceur, ou de façon générale le créateur de contenus ? A priori, une visibilité étendue sur Facebook, puisque le partage sera facilité. L'essentiel n'est toutefois pas là, mais plutôt dans la capacité de pouvoir exploiter à son tour la liste des gens qui ont « aimé » un contenu... que ce soit chez lui ou ailleurs sur le Web !

A partir de là, il peut imaginer fédérer et animer une communauté, créer des espaces de discussion dédiés, mais aussi proposer à l'utilisateur des sélections de contenus basées sur ses choix passés : une sorte de super ciblage qui marcherait aussi bien pour la publicité que pour une offre éditoriale et qui surtout, serait construit sur l'ensemble des goûts exprimés par l'internaute par le biais de son profil.

« Par exemple, si vous aimez un groupe sur Pandora, cette information peut devenir un élément du Graph, de façon à ce que la prochaine fois que vous visitez un site dédié aux concerts, il soit capable de vous dire quand le groupe que vous aimez viendra près de chez vous », résume Zuckerberg. « Open Graph est en mesure de participer à la création d'un Web plus intelligent, personnalisé, qui tire le meilleur de chaque action effectuée ».

Un site comme Clubic pourrait ainsi imaginer adapter son flux d'actualité aux goûts exprimés par un de ses visiteurs. Il pourrait aussi lui offrir un aperçu de ce qu'ont apprécié sur le site ses contacts Facebook, en partant du principe que ces derniers joueraient un rôle de recommandation tacite. Pour que des volumes critique soient très rapidement atteints, Facebook promet une intégration très simple aux éditeurs de site : quelques lignes de code suffisent pour ajouter le fameux bouton "J'aime" à ses pages.

Après avoir dressé la carte des internautes, puis des nombreuses marques qui ont investi la plateforme, puis encore de toutes les interconnexions qui se sont crées entre ces millions de points, notamment par le biais des affinités (Pages Fan, Groupes, etc.) le réseau entend donc passer la seconde et tisser un véritable "graphique social", s'appuyant sur toutes les interactions de l'utilisateur avec ce qui pourrait incarner une vision du Web sémantique tel qu'en rêvait Tim Berners Lee.

Parmi les premiers partenaires d'Open Graph, on trouve par exemple Microsoft, qui vient de lancer le site Docs.com. Après identification à l'aide de son compte Facebook (dont Microsoft est actionnaire), on accèdera aux fonctionnalités en ligne des éléments de la suite bureautique Office. Il sera dès lors possible de partager d'un clic les documents créés ou consultés avec son réseau. Dailymotion, Wat.tv (TF1), CNN, la boutique en ligne de Levi's ou le Washington Post ont d'ores et déjà annoncé leur intention de tirer parti d'Open Graph.

Dans la logique de l'Open Graph, il ne faudra toutefois pas oublier que ce qui est public sur Facebook pourrait aussi l'être sur l'ensemble des sites partenaires du réseau, même s'il faudra attendre d'observer des implémentations concrètes du dispositif pour mesurer les risques éventuels concernant le respect de la vie privée.

Dans cette relation vendue comme un « gagnant gagnant », il apparait toutefois que le principal bénéficiaire est et restera Facebook qui, de ce fait, se positionne comme un intermédiaire incontournable dans la relation qu'entretiennent marques, sites et médias avec les internautes. Il acquerrait de ce fait une puissance suffisante pour, pourquoi pas, se substituer à bon nombre des outils qui sous-tendent le Web aujourd'hui : après tout - filons la logique jusqu'à son terme - pourquoi passer par un moteur de recherche si Facebook est en mesure de vous délivrer, heure après heure, des informations, contenus, liens, photos, vidéos, en adéquation avec vos centres d'intérêt ? Comme dirait l'autre, il y aura peut-être un jour Internet et... Internet par Facebook.
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