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Le premier avril dernier, Sony mettait en ligne le firmware 3.21 de la Playstation 3, dont le contenu a provoqué une véritable polémique : pour des « raisons de sécurité », la mise à jour, une fois effectuée, empêche en effet l'utilisation d'un autre système d'exploitation que celui proposé avec la console. En d'autres termes, plus de Linux sur Playstation 3.

Cette mise à jour est aujourd'hui au coeur d'une procédure d'action collective intentée à l'encontre de Sony Computer Entertainement America par un utilisateur mécontent.

Anthony Ventura, c'est son nom, estime que « la décision de Sony d'obliger les utilisateurs à désactiver la fonction "Installer un autre système d'exploitation" servait son propre intérêt, et a été appliquée au détriment de ses clients. ». La plainte concerne également le fait que les utilisateurs qui ne désirent pas effectuer la mise à jour se retrouvent privés de plusieurs fonctionnalités de la console, parmi lesquelles l'accès au Playstation Network.

L'action collective, ou class action, peut être rejointe par tous les possesseurs américains d'une console achetée entre le 17 novembre 2006 et le 27 mars 2010, qui se jugeraient lésés par la suppression de cette fonction.

La plainte indique que Sony devra payer des dommages à tous les plaignants qui se joindront au recours collectif, mais également le coût du procès et les honoraires d'avocats. Les documents judiciaires évoqueraient la somme de 5 millions de dollars.

Si ce recours collectif est une première, ce n'est pas la première fois que cette mise à jour provoque des remous. Au début du mois d'avril, un client britannique était parvenu à se faire rembourser partiellement sa console, sans avoir à s'en séparer, auprès d'Amazon. Il avait invoqué la directive européenne 1999/44/CE, qui stipule qu'un vendeur « est tenu de livrer au consommateur un bien conforme au contrat de vente » et avait reçu un chèque d'environ 96 euros.

Des initiatives qui risquent de donner des idées à d'autres consommateurs contrariés par le firmware 3.21.
Plusieurs pays s'inquiètent de la place que prennent les Google cars et particulièrement des données qu'elles recueillent. La semaine dernière, le commissaire fédéral allemand en charge de la protection des données s'était dit « choqué » par les méthodes de Google, jugeant « illégale » la collecte d'informations sur les réseaux WiFi. Cette fois, l'Information Commissioner's Office (ICO) au Royaume-Uni demande des comptes à Google.

Il faut dire que la question repose sur la notion de donnée personnelle. Le journal allemand Der Spiegel avait repris des propos de Google expliquant que « l'acquisition de données des réseaux WiFi n'est pas quelque chose de nouveau, ni quelque chose que fait seulement Google ». Pour autant, rien ne dit qu'un réseau WiFi ou une adresse Mac soit une information ouverte et utilisable par tous.

Outre le débat technique, la question est de savoir pourquoi Google cherche t-il à scanner les rues pour enregistrer le maximum de réseaux. Des pistes sont avancées comme l'éventuelle future création d'une cartographie des réseaux WiFi ouverts disponibles ou encore l'amélioration de services de géolocalisation par triangulation.

Pour éviter les hypothèses farfelues, Google a donc posté un article sur son blog. La firme estime que « De nombreuses autres entreprises ont déjà commencé une telle collecte, parfois bien avant Google. Ainsi, les données WiFi doivent servir à améliorer les services de localisation basés sur une recherche ou sur une carte ».

Si pour Google, ces données sont « par définition » publiques. Le choix de définir la portée de ces informations pourrait revenir aux Cnil européennes. La semaine dernière, elles avaient rappelé à l'ordre Google afin de mieux protéger la vie privée des internautes. Elles avaient même demandé à la firme de montrer l'exemple…
le 29/04/2010 à 17:28
Git... it
Le site UnixGarden publie un article concernant l'utilisation de Git.

Git est un gestionnaire de version, utilisé pour le développement. Cet article montre étape par étape toutes les opérations et manipulations pour l'utiliser.

Vous découvrirez toutes les étapes avec les exemples et les lignes de commandes.

- Git it
le 29/04/2010 à 17:28
Google Summer of Code : la liste
Le Google Summer of code (GSoC) 2010 vient de dévoiler la liste des participants. Plus de 1000 projets ont été retenus.

La liste des postulants a été publiée sur le site officiel de GSOC avec leur mentor. Les projets sélectionnés concernent :
- PHP et la technologie Hip-Hop propulsé par Facebook
- PHP/RFI Sandbox
- Charts in phpMyAdmin
- Le CMS Drupal
- etc

Les résultats seront dévoilés le 23 août prochain.

- List all Student Projects
le 28/04/2010 à 23:52
Tout savoir sur UTF-8
Le site Ibuildings publie un podcast de la conférence annuelle 2009 « Dutch PHP Conference » que Juliette Reinders a effectuée.

La présentation comprenait une base linguistique, les points du côté client et toutes les étapes importantes pour bien déployer la norme UTF-8.

- Everything you always wanted to know about UTF-8 (but never dared to ask)
Comme souvent, c'est un email qui est à la base de la propagation du logiciel malveillant signalé par l'éditeur de solutions antivirus BitDefender. C'était à prévoir, selon le site officiel, qui estime qu'avec « plus de 600 000 iPads vendus depuis son lancement, il est clair que les créateurs de malwares » allaient s'y intéresser de près.

Un email arrive donc, qui promet de garder le logiciel de l'iPad à jour « pour une meilleure performance, de nouvelles fonctionnalité et pour la sécurité. » Un lien propose évidemment de télécharger la dernière version d'iTunes vers un PC, une étape évidemment annoncée comme préalable à la mise à jour de l'iPad. La page de téléchargement est une imitation parfaite de celle utilisée pour les téléchargements légitimes, estime BitDefender, qui a identifié le malware comme Backdoor.Bifrose.AADY, une porte d'entrée cachée dans le .exe téléchargé. Elle permet ensuite aux pirates de contrôler le système infecté.

BitDefender précise également que Backdoor.Bifrose.AADY est capable de lire les clés et les numéros de série des logiciels installés sur le PC, et de récupérer les mots de passe ICQ, Live Messenger, des comptes email en POP3 et des données protégées. L'éditeur note néanmoins que « les utilisateurs de Mac ne sont pas affectés par ce logiciel malveillant », puisqu'il est inclus dans un exécutable Windows.

Pour éviter de tomber dans le piège, BitDefender propose les conseils habituels : ne pas télécharger de fichier d'une source inconnue, utiliser les sites de téléchargement sûrs, ou même le site d'Apple directement, installer un antimalware, un pare-feu et un antispam, mettre ces logiciels à jour, et effectuer des scans du système régulièrement.
L'information, qui couvait depuis quelques semaines, a été confirmée mardi par Cupertino : Apple a bien procédé à l'acquisition de la firme Intrinsity. Basée à Austin (Texas), celle-ci est spécialisée dans la conception de processeurs ARM destinés à l'univers de la mobilité.

Deux ans après le rachat de son compatriote PA Semi, il s'agit donc de la seconde acquisition d'Apple dans le domaine des processeurs mobiles. Les raisons de cette nouvelle opération n'ont pas été commentées, mais il pourrait selon certains commentaires intervenir pour combler certaines déceptions liées à PA Semi, dont une partie des employés a rapidement quitté le navire afin d'aller créer une nouvelle société, Agnilux, récemment rachetée par Google.

En 2009, Intrinsity avait notamment collaboré avec Samsung à la mise au point de « Hummingbird », une variante cadencée à 1 GHz du coeur ARM Cortex A8, dont les caractéristiques ne sont pas sans rappeler celles du processeur Apple A4, qui équipe aujourd'hui l'iPad. Le montant de la transaction, qui s'élèverait aux environs de 121 millions de dollars, n'a pas été confirmé.
Cofondateur de MultiMania, ex-directeur général de Lycos Europe, Olivier Heckmann est aujourd'hui directeur général de Kewego, qu'il a cofondé en 2003 avec Michel Meyer. Pour Clubic Pro, il revient sur le positionnement et les perspectives de cet éditeur de solutions de diffusion de vidéos en ligne ou sur réseau d'écrans.

Clubic Pro - Olivier Heckman, bonjour. Bien que 2010 soit déjà bien entamée, quel bilan tirez vous de vos activités sur 2009, année complexe s'il en fut ?

OH - 2009 était effectivement une année particulière, avec une visibilité assez compliquée sur le marché et des signaux moroses. Après avoir vécu la crise des années 2000 avec Multimania, on s'est volontairement mis dans une position de prudence, en essayant d'être attentifs et en se fixant comme objectif d'atteindre l'équilibre en faisant attention aux coûts.

Finalement, l'année s'est plutôt bien passée puisque nous sommes rentables à fin 2009 avec un résultat net supérieur à 500.000 euros pour un chiffre d'affaires de l'ordre de 6,5 millions. Le premier semestre s'est révélé plutôt atone, mais le second a été bien plus dynamique, avec de véritables signes de reprise qui se sont confirmés début 2010.

Quels ont été les secteurs les plus demandeurs lors de cette reprise en matière de solutions de vidéo en ligne ?

On observe une vraie dichotomie entre deux types de clients. D'un côté, on a les médias qui ont acquis une maturité importante sur le sujet et ne se posent plus vraiment de questions. Pour eux, il est maintenant clair qu'il faut de la vidéo, à la fois race que c'est une demande de l'audience et parce qu'il s'agit d'un nouveau support à monétiser. 60 ou70% des médias français en ligne travaillent avec nous. Des groupes tels que France Télévision, TF1 ou M6 sur certains aspects, ainsi que la plupart des sites de presse et beaucoup de pure placers ou de magazines.

De l'autre côté, on a les entreprises, qui depuis 2007 conduisent des expériences en matière de vidéo en ligne à destination du grand public. En 2009, on assiste à un véritable mouvement de fond, avec des grands comptes qui rentrent dans la logique suivante : la vidéo est au coeur de la relation client, il faut donc que j'en utilise pour mon image de marque, la conversion ou la fidélisation.

En parallèle, d'autres usages se développent. Si j'étais une agence, je dirais que l'entreprise s'équipe en vidéo « à 360 degrés » : communication interne, réseaux d'écrans, intranet sur mobile pour forces de vente, etc. Comme les salariés consomment de plus en plus de vidéo, l'intranet traditionnel devient ringard.

Elle est également confrontée à l'augmentation de la production de contenus vidéo par les employés. Sans outil dédié, ces vidéos sont postées sur YouTube ou Dailymotion, sans véritable contrôle. Elles font donc appel à nous, puisqu'on leur fournit un outil centralisé, qui devient une sorte de base de connaissances autour de la vidéo.

Historiquement, votre activité se partageait ente la vente de solutions d'affichage su un réseau d'écrans internes et l'hébergement de vidéos en ligne. Qu'en est-il aujourd'hui ?

On ne peut pas vraiment séparer les deux. La réalité aujourd'hui, c'est qu'on ne vend pas d'écran, on vend des solutions en mode ASP ou en mode serveur, qui passent par des consoles Web, etc. Différencier les deux activités serait donc un peu comme essayer de différencier Internet et mobile. Quand on équipe une entreprise, on le fait au niveau de l'intranet comme des réseaux d'écran, et ce sont d'ailleurs des produits qui ont la même marge.

Du côté des médias, on imagine qu'une attention toute particulière se porte sur la publicité et l'offre en matière de monétisation de vidéos reste bien souvent difficile à appréhender. Considérez-vous que Kewego a un rôle à jouer à ce niveau ?

Il faut effectivement que le support s'impose pour que les centrales commencent à bien le vendre, or aujourd'hui les audiences sont relativement éclatées en matière de vidéo. On a des petits acteurs professionnels avec quelques milliers de vidéo et de l'autre, YouTube.

Pour répondre à cette problématique, on a lancé en 2009 Adbooster, une alliance entre réseaux publicitaires qui réunit notamment Yahoo, MSN ou GoViral. Ici, on a tenté de fédérer ceux de nos clients qui souhaitaient injecter de la publicité supplémentaire dans leur inventaire, mais avec une capacité de monétisation qui ne vient pas interférer avec le travail de leur propre régie. Aujourd'hui, ça tourne sur une soixantaine de sites partenaires avec un bon niveau de revenus, qui permettent de monétiser 100% de l'inventaire s'il le faut.

En valeur, quelle est la promesse en matière de monétisation de la vidéo ?

Elle dépend du site, bien sûr, mais en moyenne on pourrait dire que le niveau de rémunération est dix fois supérieur à celui de la bannière. Le point important reste bien sûr d'avoir du contenu de qualité.

A terme, l'objectif pourrait-il être de devenir une régie à part entière ?

Notre objectif, c'est de monétiser l'inventaire de nos éditeurs de la meilleure façon possible, en lui laissant toujours la main. Dans ce cadre on cherche au contraire à travailler avec le maximum de régies possible, mais en faisant en sorte que l'éditeur soit et reste notre premier client. Le fait de ne pas être une régie nous permet justement de garder une certaine indépendance.

Si l'on revient à la vidéo proprement dite, quelle est la promesse en matière de retour sur investissement des solutions Kewego, et n'êtes vous pas confrontés à des clients qui décident d'internaliser la diffusion de vidéos ? C'est par exemple ce que nous avons choisi de faire sur Clubic.

L'internalisation, il pourrait y avoir un risque, mais il n'est pas vraiment sur la diffusion. Les entreprises créent des studios par exemple, mais ne partent pas de zéro pour ce qui est de la diffusion : ça leur coûterait beaucoup plus cher que la solution qu'on propose. Et nous sommes justement dans une logique de ROI permanente. A ce niveau, on apporte un outil déjà utilisé par de nombreux grands comptes, qui offre une souplesse exemplaire dans le workflow. Il a la capacité d'encaisser des pics de trafic très important, ce qui est très important pour un média. On a pu le voir avec la Nouvelle Star, avec l'épisode du « Casse toi pauvre con » sur le site du Parisien ou sur les matchs de Ligue 1 en Espagne. On propose aussi de très bons outils de syndication. Le tout forme un ensemble qui permet de générer du trafic, gagner en visibilité, etc. Le deuxième pan, ce sont les outils de monétisation intégrés puisque dès la première diffusion on peut mettre de la pub, en préroll ou en postroll.

Question récurrente : des ambitions dans le B2C ?

Non, toujours pas ! Nous n'avons pas vocation être éditeur. On a quelques sites de test qui perdurent, mais ils représentent une part marginale de notre activité et l'on ne cherche pas à les développer. Par contre, on a des clients qui nous demandent de les accompagner sur de l'UGC.

Ces contenus générés par les utilisateurs restent au passage très difficile à monétiser comme du contenu pro. Monétiser, oui, mais monétiser à des niveaux élevés, c'est plus difficile, les annonceurs se montrent un peu réticents.

Faut-il s'attendre à une nouvelle levée de fonds ou, pourquoi pas, à une introduction en bourse ?

Aujourd'hui, nous sommes dans une logique d'autonomie en termes de gestion de l'entreprise. C'est une étape importante pour nous, puisque cela prouve la force du modèle. On n'est plus dépendants des financements extérieurs et l'on s'est affranchi de la tutelle des actionnaires, avec lesquels on entretient de bonnes relations. Nous avons donc accès des capacités de financement.

L'iPO ne sera clairement pas un sujet pour nous en 2010, mais ça pourrait l'être dans les années à venir. Après tout, on connait déjà la musique ! Mais il faut que les bonnes conditions soient réunies, et que la démarche s'inscrire dans un vrai projet de développement industriel. En attendant, les perspectives sont bonnes sur 2010. Les fondamentaux en termes de croissance sont toujours là, sur un marché qui s'est bien éclairci.
Selon une étude menée par Google entre janvier 2009 et février 2010, les faux antivirus représentent 15% de tous les logiciels malveillants d'Internet.

Selon Niel Provos, ingénieur informatique principal chez Google, ce pourcentage a été multiplié par 5 depuis que l'entreprise réalise cette analyse.

La méthode employée par les pirates pour imposer leurs malwares sous la forme d'antivirus est généralement la même : une fenêtre s'ouvre sous forme de pop-up et alerte l'internaute de la présence de virus sur son ordinateur, le but étant de le faire paniquer pour ensuite le pousser à installer le logiciel malveillant.

« Récemment, les faux sites d'antivirus ont évolué en utilisant du Javascript plus complexe, capable d'imiter fidèlement l'interface de Windows » explique le rapport. « Dans certains cas, le faux antivirus détecte même la version du système d'exploitation utilisé, et ajuste son interface en fonction.  »

L'étude démontre également que les domaines liés à la distribution de malwares restent moins longtemps en ligne, les rendant plus furtifs aux yeux du plugin Safe Browsing de Google, utilisé par Chrome et Firefox, et qui permet d'identifier les sites malveillants.

Google en appelle donc à la vigilance des internautes face à cette menace en pleine expansion : « Les faux antivirus représentent de l'argent facile pour les fraudeurs », commente Provos. « Une fois installés sur l'ordinateur de l'utilisateur, ils sont très difficiles à désinstaller. Vous ne pouvez pas effectuer de mises à jour Windows, ou installer un autre antivirus. Vous devez souvent réinstaller le système d'exploitation. »
La version standard du système d'exploitation Windows 7 Embedded a été annoncée hier à la conférence de San Jose, en Californie. Kevin Dallas, responsable de la division Windows Embedded, a déclaré que Windows Embedded Standard 7 avait été distribuée aux OEMs.

Les OEMs partenaires de Microsoft utilisent ce système personnalisable basé sur Windows 7 pour des appareils d'affichage numérique - les nouveaux écrans publicitaires qui fleurissent dans le métro parisien par exemple, pour des systèmes industriels ou pour des systèmes informatiques nécessitant des clients légers.

Cette annonce fait suite à un autre partenariat de Microsoft, avec Intel, pour développer un système d'affichage public à double-écran. Présenté en janvier à une convention américaine de la fédération des commerçants, il affiche sur un écran une publicité, tandis que l'autre est tactile, et permet aux consommateurs de trouver des produits et le magasin qui les proposent dans un centre commercial, par exemple. L'écran est par ailleurs équipé d'une caméra permettant de reconnaître certaines caractéristiques de l'utilisateur - genre et taille - pour lui proposer des articles ciblés. Il utilise une « analyse vidéo anonyme » pour décrypter les réactions face aux produits proposés, et est capable de déterminer le sexe de la personne « avec 70% de réussite. » Ce système sera rendu disponible au cours de l'exposition londonnienne Screenmedia Expo Europe 2010, qui débute le 5 mai.

Plusieurs fabricants développent déjà des produits qui utiliseront Windows 7 Embedded. Microsoft compte quelque 500 partenaires sur ce créneau, donc certains industriels très importants, comme HP, Siemens, Wyse Technology et Heber Ltd. Microsoft a annoncé que la nouvelle version contiendrait Windows Media Center, pour permettre aux fabricants de développer des produits comme des récepteurs numériques avec un contenu multimédia centralisé.

Toutes les caractéristiques techniques et les configurations requises sont publiées sur le site MSDN de Microsoft.
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