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C'est aujourd'hui au tour de Darty d'enrichir le bouquet de son offre DartyBox ADSL de nouvelles chaines de télévision. Le bouquet découverte, inclus dans l'abonnement, accueille ainsi 4 chaines supplémentaires, tandis qu'un bouquet de 6 chaines (gratuit jusqu'à fin 2010) et une chaine séparée sont désormais proposés en option.

Les quatre nouvelles chaines du bouquet découverte sont MCE (Ma chaine étudiante), la chaine d'information continue en anglais Russia Today, et les chaines d'information continue France 24 en anglais et en arabe. La chaine If Télévision dédiée au cinéma indépendant est quant à elle proposée en option, en SD ou en HD, pour 4,50 euros par mois.

Si SFR a récemment lancé un bouquet thématique allemand, Darty se tourne d'ailleurs quant à lui vers le monde arabe et musulman. Son bouquet comprend les chaines Aamal, Al Hafez, Al Madj Al Hadeeth Al Nabawy, Al Madj Holly Quran, Al Madj Space Channel et Al Nas. Elles proposent de l'information, du divertissement ou encore du contenu culturel. Ce bouquet sera diffusé en clair jusqu'à la fin de l'année, puis il sera en option à 5 euros par mois.
Depuis le début de la semaine, un ancien trader de la Société Générale est entendu dans les bureaux du FBI. Selon les services américains, Samarth Agrawal, un Indien de 26 ans, aurait dérobé des codes d'accès au système de "trading haute fréquence". Il aurait ainsi dérobé ces identifiants afin de pouvoir faire des placements rapides… et qui peuvent rapporter très gros.

A en croire le site Les Echos.fr, un trader aurait tout simplement copié au mois de juin une partie des codes auquel il avait l'accès mais il aurait également saisi les comptes de parties qu'il n'était pas autorisé à utiliser. Alors employé à la Société Générale, il avait accès au système de "trading haute fréquence" de la banque à New York. Ce système a été élaboré pour donner des ordres de Bourse plutôt complexe. Il permet de calculer des décisions grâce à des algorithmes poussés, avant même qu'un humain puisse analyser les informations. Ordinateurs superpuissants, placements ultra-rapides, tout l'arsenal du trader de haut-vol était alors ouvert au trader.

Le plus intéressant est que, selon le FBI, suite à cette petite manipulation, l'homme aurait contacté 6 grands établissements financiers via son téléphone portable. La tentative ressemble donc bien à du vol d'informations. Alors employé de la Société Générale, la banque avait essayé de le retenir mais Samarth Agrawal avait prétexté vouloir retourner en Inde et créer sa propre société de « trading haute fréquence ».

Le cas rappelle celui de Sergey Aleynikov employé par la Goldman Sachs qui, le dernier jour de son contrat avait téléchargé des centaines de milliers de lignes de codes du système de « trading haute fréquence ». De son côté, la Société Générale essuie encore, après le cas Jérôme Kerviel, des pertes générées par des fuites d'informations.
La Poste a annoncé hier le lancement de "La Poste Mobile", décliné sous forme d'un site internet mobile, d'une application iPhone et d'une application Android, qui permettent de retrouver les services du site internet de l'opérateur postal historique sur son mobile.

La page d'accueil de La Poste Mobile présente pour ce faire huit boutons permettant d'accéder à autant de services. L'accent a été mis sur la simplicité d'utilisation en minimisant le nombre de clics. On trouve ainsi un champ de saisie dès la première page pour entrer un numéro de suivi et suivre un courrier ou un colis. Une fonction permet de trouver le bureau de poste le plus proche, d'obtenir ses horaires d'ouverture et la liste des services qui y sont proposés, au moyen de la géolocalisation le cas échéant (uniquement sur iPhone et Android). Une autre fonction permet de découvrir le code postal d'une commune, et vice-versa. Une autre encore permet de calculer le montant de l'affranchissement d'un envoi en fonction de nombreux critères, la promesse du nombre réduit de clics n'ayant malheureusement pas été tenue ici.

Deux autres boutons permettent enfin d'accéder à des services issus des diversifications du groupe. L'un permet d'accéder à sa boite de courrier électronique laposte.net, l'autre est un raccourci vers le site mobile de La Banque Postale, qui permet de consulter et gérer ses comptes en ligne.

Le site mobile de La Poste est accessible dès à présent à l'adresse m.laposte.fr, l'application iPhone l'est quant à elle sur l'App Store ou sur l'iTunes Store, tandis que l'application Android est enfin prévue "prochainement".
Les revenus de Yahoo ont plus que doublé sur un an. Au premier trimestre 2010, le géant du net a enregistré un bénéfice de 310,19 millions de dollars, soit 22 cents par action, contre 117,6 millions au premier trimestre 2009 (8 cents par action). C'est la première hausse en 18 mois.

La directrice générale Carol Bartz, engagée au début de l'année dernière pour enrayer la chute, a annoncé notamment une hausse de 20% des recettes liées aux encarts publicitaires sur les sites du groupe. Ce sont les premiers résultats qui tiennent compte de l'accord avec Microsoft. Selon les termes du partenariat conclu l'été dernier, Microsoft gère les recherches en ligne d'un point de vue technologique, tandis que Yahoo prend en charge la régie publicitaire.

« Nous avons eu un bon trimestre, avec des résultats supérieurs à nos attentes », a donc pu se féliciter Carol Bartz. De fait, les analystes tablaient sur un bénéfice de 9 cents par action sur le trimestre. Débarrassé des événements exceptionnels - la vente de Zimbra compte pour 5 cents dans les 22 cents de bénéfice, et les remboursements de Microsoft dans le cadre de l'accord pour 2 cents - le résultat fait donc 6 cents de mieux que ce qu'ils attendaient.

Les analystes ne sont pas pour autant satisfaits, puisque certains estiment, à l'instar de Clay Morgan de Benchmark, que « c'est un peu décevant ». Le groupe continuerait à être en difficulté « dans la recherche. » Il juge même que « l'amélioration de l'économie n'a pas vraiment été profitable à Yahoo. » Le moteur de recherche de Yahoo a tout de même vu ses parts de marché progresser selon Comscore, qui le place à 16,9% aux Etats-Unis, soit une hausse de 0,1%. Dans le même temps, Bing s'est amélioré de 0,2 point à 11,7%, tandis que le leader, Google, a perdu 0,4 point à 65,1%.

Autre sujet d'inquiétude pour Yahoo : la Bourse n'a pas très bien réagi à l'annonce de ses résultats. Yahoo a rendu 4% en pré-séance à Wall Street, à près de 17,6 dollars par titre.
Réussite incontestable sur le Web, où les outils de tracking et la multiplication des intermédiaires entre un marchand et son prospect le rendent incontournable, le modèle de l'affiliation peut-il être porté tel quel sur mobile ? Cellfish Media et Effiliation, qui annoncent l'ouverture de CellFiliation, un joint-venture dédié à l'affiliation mobile, partent quant à eux du principe qu'il convient de développer, en la matière, une offre tirant parti des spécificités du mobile et, par extension, du Web mobile.

« Sur internet, l'affiliation représente environ 20% du marché publicitaire. Nous pensons qu'il en sera de même à terme avec le mobile », indique François Deltour, PDG d'Effiliation. Confiante, la régie conseil en affiliation a donc décidé de joindre ses forces à celles de Cellfish Media (groupe Lagardère), spécialiste de la monétisation d'audience et des contenus mobiles.

En lançant CellFiliation, les deux partenaires espère bien encourager la mise en place de dispositifs de marketing mobile rémunérés à la performance, en reprenant les mécaniques déjà éprouvées avec succès sur Internet : Coût Par Action (CPA) - Coût Par Clic (CPC) - Coût Par Lead (CPL- Coût Par Mille (CPM), sans oublier de nouveaux metrics spécifiques au mobile, comme le décompte des téléchargements d'applications ou d'interactions avec un serveur vocal interactif.

L'essor des smartphones ainsi que la constante progression du taux de pénétration de l'Internet mobile en France font que l'intérêt du marketing à la performance sur mobile n'est plus à démontrer pour de nombreux éditeurs. Reste, pour les spécialistes venus du Web, à s'imposer sur ce terrain encore mal balisé, envers lequel les appétits se font de plus en plus visibles.
Yan Claeyssen, président d'ETO Digital, nous propose cette longue tribune, dans laquelle il revient sur la mission de réflexion lancée par le secrétariat d'Etat à l'économie numérique sur la question d'un droit à l'oubli sur Internet. Selon lui, il s'agirait d'une "fausse bonne idée", difficilement applicable et aux conséquences pouvant se révéler dangereuses. Voici son point de vue.Depuis plusieurs mois, un groupe de travail a été créé par le secrétariat d'Etat à l'économie numérique dans le but de réfléchir à la mise en place d'un Droit à l'oubli sur Internet. Lancée lors d'une conférence à Science-Po en novembre, l'objectif est de réfléchir aux éventuelles régulations à mettre en oeuvre pour protéger les internautes contre l'exploitation malintentionnée de leurs données personnelles sur le net.

La présence sur internet de ces données personnelles est soit volontaire, soit automatisée. Ces données peuvent en effet ou bien avoir été déposées volontairement par l'internaute sur son blog ou sur son profil Facebook, MySpace ou autres, ou bien avoir été "tracées" par un dispositif de marketing online exploité par un acteur de la net économie (régie publicitaire, fichier utilisateur d'un service online, fichier client d'un e-commerçant…).

La CNIL et plusieurs associations de consommateurs réclament la mise en place de ce droit à l'oubli, voire son inscription dans la Constitution Française, de manière à éviter que ces données personnelles soient utilisées par des tiers contre l'individu concerné. Des lois, notamment la "loi informatiques et libertés", protègent déjà les individus contre une utilisation abusive de leurs données personnelles. Il s'agirait d'aller plus loin pour les données dès lors qu'elles sont récoltées et/ou diffusées et/ou conservées sur Internet. Concrètement, l'objectif est de permettre à tout internaute d'exercer un "droit de suppression des données" gratuitement et simplement.

En effet, un nouveau réflexe est né depuis quelques années notamment avant de recruter un candidat ou de s'amouracher d'une jolie rencontre : on le ou la googelise ! De fait, Internet constitue tout à la fois un outil de tracking et de collecte d'information formidable, une mémoire multimédia phénoménale et un moteur de recherche extraordinaire. Dès lors qu'une information est déposée sur le net, en général, elle y reste et peut facilement être retrouvée par Google. C'est bien ce que pointent la CNIL et les associations : il n'y a plus de place pour l'oubli ! Ce que nous déposons sur le net est inscrit dans un marbre numérique une fois pour toute. Et tout un chacun peut aisément le retrouver.

La crainte principale est de voir émerger un dispositif type Big Brother qui permettrait non seulement aux organisations (Etat, entreprises…) mais à tout un chacun de pouvoir pister, voire surveiller, les individus en collectant un ensemble d'informations personnelles laissées sur le net.

Cette crainte est complètement légitime. Nous ne sommes pas incognito sur le net. Notre activité en ligne laisse des traces et ces traces peuvent potentiellement nous suivre toute notre vie.

Pour autant, je pense que l'établissement d'un droit à l'oubli numérique est une fausse bonne idée.

Tout d'abord, il est illusoire de vouloir légiférer dans un contexte technologique complexe et international. Sur internet, tout est connecté à tout. Les données sont hébergées dans plusieurs serveurs souvent dispersés aux quatre coins du monde. L'application d'un droit à l'oubli numérique européen, et a fortiori Français, est une utopie complète. La loi sera inefficace (la LCEN n'a pas empêché le spam de se développer) et constituera de fait une sur-promesse de protection que l'état régalien ne pourra assurer.

Mais surtout, au-delà de l'impossibilité d'appliquer un tel droit, la réflexion sur ce droit à l'oubli numérique m'interpelle d'un point de vue philosophique. Il me semble essentiel de s'interroger sur les raisons qui poussent une société à réclamer un droit à l'oubli numérique comme prolongement du droit à la vie privée.

L'inscription de ce type de droit au sein de la constitution me semble non seulement inapplicable mais très risqué. Ce droit à l'oubli pourrait rapidement être assimilé à un droit de dire et de faire n'importe quoi sur l'ensemble des média digitaux : "Ce n'est pas grave, je pourrai toujours demander à ce que j'ai dit soit effacé de l'ensemble de la mémoire collective numérique". Ce droit à l'oubli me semble dangereux, il constitue le premier pas vers un révisionnisme numérique potentiel à l'exact opposé des valeurs qui fondent notre vision de la responsabilité, de la mémoire, de l'histoire et par là de notre société. Le droit à l'oubli est sensé protéger notre liberté tout en nous déresponsabilisant de nos actes. Etrange paradoxe.

En dehors du contexte de la diffamation ou du droit à l'image, ce type de droit n'existe pas pour les autres supports d'information et de communication (livre, presse, radio, télévision…). Pourquoi ? Certes internet possède des propriétés spécifiques qui peuvent amener le législateur à mettre en place des réglementations spécifiques. Mais de là à imaginer un droit d'effacer ce qui a été fait, dit, écrit ou photographié en connaissance de cause, il y a un pas énorme qu'il nous appartient de mesurer avec circonspection.

Le droit à la vie privée et à l'intimité sont des droits fondamentaux. La vraie question est donc bien comment penser et protéger la vie privée et l'intimité dans le cadre de la société numérique qui se dessine aujourd'hui ? Il est tout d'abord important de bien différencier la notion philosophique ou anthropologique d'intimité du concept politico-juridique de "vie privée".

L'intimité est une construction sociale et culturelle et en tant que telle, elle est l'objet d'évolutions constantes. L'intimité peut au sein d'une même culture, voire d'une même personne, être vécue de manière différente en fonction du contexte dans lequel elle est placée : ce qui est intime pour un individu dans un contexte donné (sa famille par exemple) ne l'est pas dans un autre (son groupe d'amis). De même, le «périmètre» ou «l'extension» de l'intimité peut évoluer avec l'âge ou les expériences personnelles.

La "vie privée" est un concept juridique qui se définit dans son opposition à la "vie publique". Né au XVII siècle en même temps que le droit à la propriété privée, ce concept correspond à l'émergence de la société bourgeoise et capitaliste. Ce droit était alors considéré comme une condition de possibilité d'un état démocratique. Il n'allait pas de soi, notamment dans la monarchie dans laquelle les sujets, et leurs pensées, appartenaient au pouvoir. Il suffit de méditer à ce qui se passe aujourd'hui en Iran ou en Chine pour comprendre les enjeux de ce droit universel.

Le concept de vie privée permet donc de fournir un cadre juridique à l'intimité. Doit-il pour autant en scléroser la définition et le périmètre ? En effet, il est évident que l'avènement d'une société hyper-connectée change quelques peu la donne. Déjà Mc Luhan, le sociologue canadien des media et l'inventeur de l'expression "village globale", avait démontré que dans la société des media et des nouvelles technologies qui allait émerger, le modèle du village s'imposerait sans aucun doute. A l'inverse de la ville, dans un village, il n'y a pas d'anonymat et la vie privée est relativement restreinte : tout le monde sait, ou crois savoir, ce que fait son voisin. Les rumeurs sont courantes et il appartient à chacun de savoir non seulement bien se cacher mais aussi de s'exposer à bon escient.

Le modèle du village permet d'avoir une idée assez juste du type de relation qui va sans doute se tisser dans les années qui viennent. Est-ce un avenir désirable ? Je n'ai pas la réponse. Parisien d'adoption, j'apprécie l'anonymat de la vie dans une grande ville. Mais j'aime aussi être reconnu par mon boucher de quartier. Il connait mes plats préférés. Nous gagnons tous les deux du temps et il me réserve parfois ces meilleurs morceaux… La ville et le village ont tous les deux leurs avantages et leurs inconvénients. Je crois qu'internet intelligemment utilisé peut nous apporter les avantages des deux modèles sans avoir forcément leurs inconvénients.

Dans tous les cas, ce n'est pas en légiférant que l'on protégera les individus, mais en leur apprenant à se servir de ces nouveaux supports et à les exploiter pour se protéger eux-mêmes.

Pour protéger la vie privée des internautes, d'autres moyens qu'une loi pour l'oubli numérique existent :

- Sensibilisation dès l'école primaire des enfants au bon usage d'internet

- Information claire, transparente et pédagogique des usagers sur les différents sites (média sociaux, portails, moteurs de recherche, presse online, e-commerçants…).

- Mise en place par les logiciels de navigation sur le web de dispositifs plus simples pour surfer de manière anonyme et effacer les cookies.

- Faire respecter les lois déjà existantes contre la diffamation, l'usurpation d'identité, l'exploitation malhonnête de données privées, etc.

Et si on allait encore plus loin :

- Pourquoi ne pas mettre en place un service public de veille et de conseil dans l'usage, la gestion voire la défense de son image et de sa réputation sur Internet à l'instar des sociétés privées qui réalisent cette prestation pour les grandes marques ?

Nous sommes dans une période de transition. Les changements sont rapides et parfois brutaux. Il est nécessaire de protéger les individus des conséquences parfois néfastes de leurs usages de technologies qu'ils ne maitrisent pas encore. Mais faut-il pour cela mettre en place une loi inapplicable et dont les conséquences pourraient être encore plus désastreuses ?

Chaque technologie génère ses "accidents". Il faut donc mettre en place des règles, un code de la route, pour réduire le nombre de ces "accidents". La loi contre l'oubli numérique n'est pas un code de la route, c'est un passe droit qui ne garantie rien d'autre que son inefficacité.
Alors qu'elle doit être lancée pour la fête de la musique le 21 juin, la carte musique jeunes cherche toujours un financement. Vendue 50 euros et permettant aux jeunes de 18 à 24 ans de télécharger gratuitement pendant un an, ce sésame doit être financé à moitié par l'Etat… qui compte trouver l'argent en taxant les FAI. Logique.

La Fédération Française des Télécoms contre-attaque. Après le souhait de Nicolas Sarkozy d'augmenter la taxation des FAI pour la TVA jusqu'à atteindre 55% de leur chiffre d'affaires, il était clair que les fournisseurs d'accès à Internet n'allaient pas voir la mesure d'un bon oeil. C'est désormais confirmé puisque selon un communiqué, la FFT estime qu'il s'agit d'une "taxation supplémentaire de l'accès à Internet. Dans le contexte de marché actuel, une telle décision serait contreproductive et destructrice de valeur pour l'ensemble des acteurs de la chaîne."

Du coup, les FAI montrent les dents et laissent poindre la possibilité d'augmenter, à terme, le prix des abonnements. La FFT explique que "les FAI sont les premiers promoteurs et distributeurs de l'offre légale. Cette nouvelle taxation, qui s'ajouterait à de nombreuses autres, viendrait dégrader leur capacité à promouvoir et distribuer ces offres dans un contexte de concurrence mondiale pour la distribution de biens culturels dématérialisés. Elle constituera un facteur de désaffection fort pour l'investissement des FAI dans les nouveaux contenus et services."

Cette annonce va dans le sens de celle qu'avait fait Xavier Niel fin mars au sujet de la hausse des tarifs. Le p-dg d'Iliad avait alors clairement expliqué qu'« avant la fin de l'année, le triple-Play va augmenter ». La somme de 5 euros supplémentaires avait alors été entendue...

L'idée proposée par la commission Zelnik (suite à Hadopi) a donc du plomb dans l'aile. Entre des FAI refusant de contribuer aux projets présidentiels et un système de riposte graduée toujours au point mort, les 10,5 millions de jeunes vont encore pouvoir attendre leur carte.
Microsoft vient d'annoncer la mise en production de SQL Server 2008 R2. «Résolument tournée vers une forte capacité de montée en charge des datacenters d'entreprise», selon le communiqué officiel, R2 devrait apporter comme principale amélioration l'intégration de la plateforme du datacenter jusqu'au cloud via Microsoft SQL Azure.

Dans les faits, la version R2 a déjà été RTM la semaine dernière. Elle reste une version « mineure », dans le sens où elle n'apporte aucune mise à jour à la base de données centrale elle-même. Un nombre important de clients de SQL Server ont été consultés depuis le début du développement, il y a plus de deux ans, et Microsoft annonce aujourd'hui que « plus de 2 000 éditeurs de logiciels dans le monde ont fait part de leurs projets de bâtir des solutions sur SQL Server 2008 R2. » Plus de 300 000 téléchargements des versions preview auraient été effectués.

Microsoft introduit également « de nouvelles fonctionnalités décisionnelles » avec la notion de Business intelligence en libre-service maîtrisée. Une nouvelle technologie, baptisée PowerPivot, doit permettre de mettre en oeuvre cette fonctionnalité. L'add-on PowerPivot pour Excel 2010 pour SQL Server 2008 R2, utilisé en collaboration avec Sharepoint, est conçu pour permettre aux utilisateurs de récupérer des données depuis de nombreuses sources, et de les manipuler facilement, pour les organiser, les trier, puis les publier ou les partager.
le 21/04/2010 à 23:14
IDE gratuits et utiles
Si vous recherchez un éditeur IDE pour remplacer celui que vous utilisez actuellement ou bien si vous souhaitez découvrir un IDE gratuit, vous pouvez consulter la liste que propose le site desizntech.

Une liste de 10 IDE pour les programmeurs et développeurs sur toutes les plateformes existantes : Mac, Linux, Windows

Bien entendu, pour bien choisir un IDE, quelques caractéristiques de base sont nécessaires à connaître :
- Un éditeur de texte ou de code source (pour pouvoir modifier les scripts comme PHP)
- Un compilateur ou interpréteur
- Utilisez des outils d'automatisation
- Un Débogueur

- 10 Free and Useful IDE for Programmers and Developers
le 21/04/2010 à 23:14
Chive
Chive est une nouvelle API réalisée en PHP/Ajax, sous licence GPL. Il a comme but d'être une alternative à phpMyAdmin et propose une solution plus moderne, avec un design différent et plus efficace pour l'administration des bases de données MySQL.

Il propose une coloration syntaxique, vous permettant de repérer les erreurs éventuelles lors de vos développements. Par ailleurs, l'API propose différents skins, permettant d'obtenir votre propre environnement.

A l'heure actuelle, il fonctionne uniquement sous linux, mais devrait être disponible sur les autres systèmes d'exploitation.

Du coté des fonctionnalités, vous retrouverez l'ensemble des fonctions communes aux autres projets identiques :
- Creation et gestion d'une base de données
- Navigation
- Gestion utilisateur
- Editeur avec coloration syntaxique
- Import et Export

Sur le site officiel, des captures d'écrans sont disponibles.

- Site officiel projet Chive
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