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Le hacker Kirllos détient une belle collection de comptes Facebook. En utilisant plusieurs méthodes de vol d'identifiants, de spam ou de scam, il a réussi à se procurer pas moins d'1,5 millions d'accès à des données personnelles privées. Une revente s'est organisée sur des forums de hackers.Des spécialistes de l'éditeur de sécurité américain Verisign estiment que le prix de vente dépend du nombre d'amis que possède le compte. Ainsi les tarifs oscillent entre 25 et 45 dollars pour 1.000 comptes. Pour autant, même si rien ne dit que tous les comptes que possède le hacker sont tous légitimes, il en aurait déjà vendu 700.000 selon le département Cyber-Intelligence de Verisign.

Pour rappel, le réseau social annonce posséder 400 millions d'utilisateurs à travers le monde. C'est peut être le motif qui a donc poussé le hacker Kirllos à vendre à si bas prix le fruit de ses vols. Ordinairement, un compte Facebook piraté est vendu entre 1 et 20 dollars. Mais cette fois, le hacker casse les prix en vendant 0,025 dollars le compte.

Le commerce souterrain continue donc sur le réseau social. Depuis son annonce en 2009 de mieux protéger son site, Facebook a toujours expliquer vouloir renforcer la sécurité de ses utilisateurs. La semaine dernière, le site avait confirmé la création d'un conseil consultatif en sécurité formé par cinq organisations américaines et européennes chargées des données personnelles. Le Facebook Safety Advisory Board découvre l'ampleur du travail qu'il lui reste à accomplir.
L'équipe de développement d'Ubuntu a publié cette nuit la Release Candidate d'Ubuntu 10.04 nom de code "Lucid Lynx". Comme son nom l'indique, une RC est une préversion candidate au titre de version finale, qu'on met à disposition du public dans l'optique de déceler des anomalies de dernière minute.

Publiée le 22 avril conformément au calendrier initial, cette RC devrait être la dernière étape avant le lancement de la version finale, prévu pour le 29 avril 2010. La stabilité d'Ubuntu 10.04 est d'autant plus importante qu'il s'agit de la nouvelle version LTS (Long Term Support), qui bénéficiera d'un support à long terme, jusqu'au 29 avril 2013 pour la déclinaison pour ordinateur personnel (par opposition à la déclinaison pour serveur). Les versions intermédiaires se contentent quant à elles d'un support à court terme, jusqu'au lancement de la version suivante, d'environ 6 mois.

Entre autres corrections et améliorations mineures depuis la deuxième bêta, cette Release Candidate repose sur le noyau Linux 2.6.32.11. Les autres nouveautés apportées par cette nouvelle distribution Linux, en particulier sa nouvelle identité graphique, sont enfin détaillées dans de précédentes actualités.

Ubuntu 10.04 RC est donc dès à présent disponible depuis cette page.
Après Apple et Yahoo, c'est au tour de Microsoft d'annoncer de bons résultats pour le troisième trimestre de son exercice fiscal. La firme de Redmond annonce même un chiffre d'affaires "record" de 14,5 milliards de dollars, soit 6,2% de mieux qu'au précédent troisième trimestre.

Les ventes de Windows 7 sont pour beaucoup dans ce résultat. Microsoft continue de subir une perte nette sur la division Services en ligne, et les autres segments d'activité sont relativement stagnants. Par exemple, la division Serveur et outils connait une petite hausse de 2% comparé à 2009. Cette division continue tout de même de chiffrer à hauteur de 50% dans le segment des entreprises.

Il faut donc chercher du côté de la division Windows et Windows Live. Microsoft rapporte un chiffre d'affaires de 4,4 milliards de dollars pour cette seule division, soit une hausse de 28%, avec un bénéfice net en hausse de 34% à 3 milliards de dollars. « La forte demande pour Windows 7 est le premier contributeur à notre performance », explique Peter Klein, le directeur financier de Microsoft. « Des études interne et externe montrent que plus de 10% des PC du monde font déjà tourner Windows 7 », après 6 mois de lancement.

Selon Bill Koefoed, en charge des relations d'affaires à Redmond, la demande des petites et moyennes entreprises n'a pas failli non plus, en augmentant de 15% sur l'année. « Pour ce segment des entreprises, nous avons vu le début d'un retour des dépenses en matériel IT, mais nous continuons de constater des cycles de ventes allongés ». La vente de licences Windows a crû de 35% dans le grand public, et de 15% pour les entreprises. Koefoed voit dans ce second chiffre le signe d'une reprise des mises à jour des parcs informatiques, qui devrait continuer au cours de l'exercice fiscal 2011, selon Peter Klein.

Côté services en ligne, qui comprennent le moteur de recherche Bing et le portail MSN, des revenus ont été générés, mais ils ont été compensés par une perte de 713 millions de dollars au niveau des bénéfices d'exploitation. Koefoed annonce pourtant que Bing a eu 10 mois consécutifs de croissance sur le marché des moteurs de recherche depuis son lancement. Microsoft espère voir les premiers revenus du partenariat avec Yahoo arriver à partir de la deuxième partie de l'année fiscale 2012.

Ces bons résultats ont néanmoins été tempérés par ceux d'IBM, d'Apple et d'Intel, qui pouvaient laisser croire que Redmond connaîtrait aussi un trimestre exceptionnel sur le marché des entreprises. Malgré une annonce supérieure à celle attendue par les analystes, Microsoft a connu la même déconvenue que Yahoo sur les marchés, avec une chute de 4% de son action après la publication des résultats.
Le géant américain des cartes de crédit, Visa, vient d'annoncer le rachat de la société Cybersource, spécialisée dans le paiement en ligne sécurisé, pour la somme de 26 dollars par action de l'entreprise, soit un montant total de 2 milliards de dollars. L'accord devrait être finalisé fin septembre 2010, à la fin du quatrième trimestre de l'année fiscale de Visa.

Avec cette acquisition de taille, Visa cherche de toute évidence à renforcer sa présence sur le marché du paiement en ligne. Via sa plateforme de paiement VisaNet, Visa représenterait déjà 45% des paiements en ligne aux Etats-Unis. Mais le groupe désire se développer davantage dans le reste du monde, et espère réaliser 60% de son chiffre d'affaires en dehors des USA dès 2015.

Visa juge donc cela possible grâce à Cybersource, qui revendique 295 000 clients, parmi lesquels Google et Facebook, et qui traite quant à lui 25% des paiements sur les sites de e-commerce américains.

Concurrent direct de Master Card, Visa mise également beaucoup sur le développement du paiement mobile, en pleine expansion aux Etats-Unis. Selon le cabinet Coda, le marché devrait connaître une hausse de 65% par an aux USA, et devrait représenter 20% des revenus globaux du e-commerce en 2015.

Le PDG de Visa, Joseph Saunders, a également expliqué que le rachat de Cybersource était « une réaction » face à Paypal. « Nous faisons très attention à Paypal et à toutes les entreprises qui rentrent sur le marché du e-commerce, et nous sommes conscients que cela pourrait avoir un impact sur notre part de marché ».

Du côté de Paypal, même si son président Scott Thompson s'est déclaré surpris par cette alliance, l'heure ne semble pas être à l'inquiétude, du moins pour le moment.
le 23/04/2010 à 23:40
La PETA s'oppose à un jeu Facebook
En début de semaine, le blog du populaire jeu Facebook Mafia Wars annonçait l'arrivée prochaine d'animaux dans le jeu, destinés à servir de combattants durant les phases d'attaque et de vol. Parmi les bêtes proposées sont annoncées, entre autre, le lion, le tigre et le pit-bull, qui sont représentées de façon agressive.

Une nouvelle qui n'a pas plus à la PETA, qui défend les droits des animaux à travers le monde. L'association a annoncé hier avoir envoyé une lettre à Mark Pincus, le PDG de Zynga Game Network, qui édite Mafia Wars.

« Nous vous prions de laisser les animaux en dehors de ce jeu, car l'expérience nous a appris que représenter les chiens et autres animaux comme rien de plus que des armes vivantes encourageait les gens à les maltraiter dans la vie réelle. » explique le courrier de la PETA, qui cible particulièrement la représentation du pit-bull.

Mafia Wars compte plus de 25 millions de joueurs, dont 7 millions jouent chaque jour. L'association s'inquiète donc de la mauvaise image qui pourrait être très largement véhiculée par le jeu à travers le monde.

« Voulez-vous s'il vous plait reconsidérer l'utilisation de l'image des pit-bulls et des autres animaux comme des machines dans Mafia Wars, et décider de ne pas transmettre un message négatif qui considère qu'il est normal de forcer les animaux à se battre, de les garder enchaînés, et de refuser tout ce qui est naturel et important pour eux ? »

L'association ajoute également une touche mélo que certains jugeront un peu déplacée, en citant Zinga, le bulldog américain adoré de Mark Pincus, mort l'année dernière. « S'il vous plaît, pour l'amour des chiens comme Zinga, pouvez-vous enlever les animaux de votre jeu ? »

A l'heure actuelle, Zynga n'a pas encore donné de réponse à cette requête, et la mise à jour du jeu est toujours prévue pour la semaine prochaine. Mais l'intervention de la PETA et les nombreux commentaires négatifs postés sur son blog pourraient bien changer la donne.
Google a mis à jour son service Google Maps pour permettre de localiser plus facilement les lieux et les commerces locaux. Après avoir dévoilé récemment sa nouvelle solution de visibilité à destination des entreprises, et son système de photographies de magasins, Google donne donc aux internautes un accès à ces vitrines en ligne.

D'abord disponible en Allemagne, en Chine, à Hong-Kong puis à Taiwan, le système de suggestion est désormais étendu à dix autres versions, dont la française. Le principe, pour les utilisateurs, est d'obtenir « les suggestions les plus utiles en fonction de l'endroit où leur carte est centrée. »

Dans les faits, il suffit de faire la même recherche en zoomant à deux endroits différents de la carte. Centrez la carte sur la région parisienne, et cherchez « cyber café », la liste dévoilera des adresses à Paris, mais aussi à la Garenne-Colombes ou à Puteaux. Si la carte englobe toute l'Ile de France, mais qu'elle est légèrement centrée sur l'Ouest de Paris, ce seront les cyber cafés de cette zone qui seront indiqués les premiers. Déplacez légèrement la carte, en vous dirigeant vers l'Est de Paris par exemple, et un clic dans le champs de recherche donne une nouvelle liste, composée des cyber cafés de Troyes et Reims.

Cette nouvelle fonctionnalité affiche non seulement des noms génériques de boutiques ou de services (comme cyber café), mais aussi des grandes enseignes. Une stratégie cohérente avec le lancement de Google Places, qui permet aux utilisateurs de retrouver les fiches des magasins, avec avis des internautes, adresse, numéro de téléphone, et bientôt photographies de l'intérieur des magasins.
Le site de partage en ligne répond au producteur du film La Chute. Constantin Film avait intimé l'ordre de retirer toutes les vidéos parodiques représentant des scènes du film avec l'acteur incarnant Adolf Hitler. La méthode était devenue un méme sur l'affaire Zataz, l'Hadopi, Avatar, le football américain… Chaque sujet d'actualité était, dès lors, sujet à la parodie en sous-titrant un extrait du film.

Pour sa défense, YouTube invoque sur un blog officiel la notion de "Fair use" ou usage loyal, équitable pour ne pas retirer les vidéos concernées. Cette qualification juridique aux Etats-Unis apporte des limitations et des exceptions aux droits d'auteur. De même, la justice américaine a déjà considéré que le caractère commercial n'était pas un obstacle absolu à l'usage loyal. La règle étant que plus l'oeuvre initiale est transformée, moins les critères retenus par un auteur ont d'importance.

La décision de YouTube va donc sûrement déplaire à Constantin films. La société allemande avait décidé, après de nombreux mois suite à la sortie du film, de demander le retrait des vidéos visées. D'autant que la réponse de YouTube est cinglante. Shenaz Zack, responsable produit du site de partage lance : "les individus qui mettent en ligne ces vidéos sont typiquement les plus grands fans, et sont exactement le genre de consommateurs que les détenteurs de droits d'auteur devraient apprécier".

Le débat n'est donc pas terminé puisque la filiale de Google explique que les membres concernés ont été mis au courant de la demande de retrait du producteur. Cela étant, un contributeur peut s'opposer à cette demande s'il considère que le Fair use à vocation à s'appliquer. Si le producteur souhaite donner suite, il doit alors porter plainte. Pourtant, de nouveaux mèmes ont déjà été postés.
Pour une fois, ce n'est pas le caractère intrusif des photos prises pour Street View par le géant du net qui est mis en cause, mais le scannage des réseaux Wi-Fi par les voitures de Google.

Peter Shaar, le responsable de l'équivalent de la CNIL en Allemagne, pointe du doigt cette pratique qu'il considère comme une violation de la vie privée. Il accuse en effet Google de ne pas se limiter au référencement des points d'accès, mais également de recueillir les noms des réseaux Wi-Fi, ainsi que les adresses MAC des appareils émetteurs.

« Je suis consterné. Je demande à Google de supprimer immédiatement les données personnelles concernant les réseaux sans fil, récoltées illégalement, et d'arrêter de circuler pour alimenter Street View », a-t-il annoncé.

De son côté, Google s'est défendu auprès du quotidien allemand Spiegel en expliquant n'avoir jamais caché cette pratique, effectuée depuis plusieurs années dans le but de cartographier les hotspots Wi-Fi sur Google Maps. Le moteur de recherche indique également qu'il ne publie pas les informations personnelles, tels que les noms de réseaux. Par ailleurs, en Allemagne, les adresses MAC ne sont pas considérées comme des "données personnelles", puisqu'associées à des appareils et non à des personnes.

Ce n'est d'ailleurs pas le seul organisme à recenser les accès Wi-Fi en Allemagne. Skyhook Wireless, entre autre, le fait depuis 2003 sans subir les foudres des défenseurs de la vie privée.

A l'heure actuelle, Google ne propose pas encore sa cartographie des hotspots Wi-Fi sur le territoire allemand, et compte la lancer d'ici à la fin de l'année. Mais cette nouvelle affaire autour du non-respect de la vie privée de la part de la firme de Mountain View qui, malgré un certain souci de transparence, n'en fini plus de se faire épingler pour son attitude, pourrait l'obliger à changer ses plans.
le 23/04/2010 à 23:40
Rasmus : mastermind de startup
Depuis les premiers jours du démarrage de l'internet, il y a eu des grandes orientations dans les idéologies, ce qui a permi de voir de nombreuses réussites.

Ces changements ont été fondés par des leaders d'opinion qui ont remis en question nos attitudes au niveau du développement (comme PHP), des financements et des modèles d'affaires.

Le site mashable.com a publié une liste des 5 premières personnes qui ont été les initiateurs de ces grandes orientations :
- Paul Graham
- Jason Calacanis
- Gary Vaynerchuk
- Mark Zuckerberg
- Rasmus Lerdorf

- 5 Masterminds That Have Redefined Startup Life
Las, Adobe vient d'annoncer par la voix de Mike Chambers, son responsable des relations développeurs concernant Flash, la fin des efforts visant à permettre la mise au point d'applications iPhone depuis ses propres outils. L'option qui permet d'exporter vers iPhone OS un développement réalisé sous Flash CS5 est conservée, mais elle ne fera plus l'objet d'efforts particuliers de la part de l'éditeur.

Guerre d'usure

Flash et l'iPhone, c'est une histoire qui traine en longueur. Dès 2008, Adobe fait part de son intention de proposer une déclinaison iPhone de son environnement d'exécution Flash, qui présente pour les développeurs l'intérêt de pouvoir s'affranchir des contraintes liées à chacun des systèmes d'exploitation mobiles présents sur le marché.

Immédiatement, Apple fait savoir qu'il est hors de question d'accueillir Flash sur iPhone et Steve Jobs lui-même prend la parole pour dénigrer cette technologie, pourtant réclamée à corps et à cris par une partie des utilisateurs d'iPhone. Selon lui, la version standard de l'environnement d'exécution d'Adobe est trop lourde pour fonctionner sur un téléphone. La version mobile de Flash serait quant à elle trop pauvre sur le plan fonctionnel pour apporter une quelconque valeur ajoutée à l'iPhone.

Conscient que sur ce point, il serait difficile d'obtenir gain de cause, Adobe finit par changer son fusil d'épaule et annonce, fin 2009, que l'outil de développement Flash intégré à la Creative Suite 5 permettra la compilation d'applications conçues à l'aide de Flash en vue d'une exécution sur iPhone OS. La solution est élégante : elle autorise en effet les développeurs à partir de Flash pour leurs développements, en partant du principe qu'ils toucheraient ainsi l'iPhone, mais aussi d'autres plateformes mobiles, l'univers des PC ou le Web "fixe".

Nouveau rebondissement en forme de coup de Jarnac début avril, trois jours avant que n'arrive sur le marché la Creative Suite 5, avec la modification du contrat de licence associé au programme de création de logiciels destinés à l'App Store. "Les applications ne pourront utiliser que les interface de programmation, en accord avec les prescriptions formulées par Apple, et ne devront pas utiliser ou faire appel à une quelconque interface de programmation privée", indique la clause 3.3.1 du nouveau contrat de licence, dotée d'une ultime mention sans équivoque : "les applications liées aux interfaces de programmation documentées par l'intermédiaire d'un portage, ou d'un outil ou d'une couche de compatibilité, sont prohibées".

Apple 1 - Adobe 0 ?

Par cette modification, Apple interdit explicitement aux applications qui auraient été conçues à partir de Flash le chemin de l'App Store. Pour Adobe, qui n'est d'ailleurs pas seul concerné, c'en est trop. « Nous allons conserver la possibilité de cibler l'iPhone et l'iPad avec Flash CS 5. Cependant, nous n'investirons plus, pour l'instant, dans le développement de cette fonctionnalité », explique Mike Chambers, ajoutant ce conseil quelque peu désabusé adressé aux développeurs : « Si vous voulez développer pour l'iPhone, vous devez être préparé à un rejet ou une restriction de la part d'Apple à tout moment, et apparemment sans raison tangible ».

En dépit de parts de marché moindres, les faveurs d'Adobe iront maintenant à Android, indique encore Chambers. L'éditeur dit à ce sujet collaborer avec Google pour que soient bientôt proposés sur Android des versions dédiées de Flash Player 10.1 et de l'Adobe Integrated Runtime (AIR) 2.0.

Apple, mauvais cheval ? « Certains prennent le problème à l'envers », a défendu mardi Trudy Muller, porte-parole d'Apple. « Le HTML 5, les CSS, JavaScript et le H.264, qui tous sont pris en charge par l'iPhone et l'iPad, sont ouverts et se posent comme des standards, tandis que le Flash d'Adobe est fermé et propriétaire ».

Reste à voir si à vouloir conserver un riche environnement d'applicatifs exclusifs à sa plateforme mobile, Apple ne risque pas de se couper d'une partie de la population des développeurs, qui verraient sans doute d'un bon oeil la possibilité de pouvoir facilement mutualiser leurs productions. C'est peut-être dans leur camp que se situe la balle.
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