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Une étude menée par l'éditeur PGP et l'institut Ponemon fait le bilan des fuites informatiques en 2009 en France. En évaluant les données recensées en entreprise, le cout de chaque dossier compromis s'élève en moyenne à 89 euros. Pour autant, chiffrer une perte s'avère plus que difficile et obtenir une vision globale des fuites reste impossible vu que les entreprises et services publics n'ont aucune obligation de communiquer leurs failles… et leurs pertes.

L'étude baptisée "Etude annuelle 2009 : le coût des effractions de données en France" explique comment et surtout combien coute une perte informatique. Sur les 89 euros par dossier, 31 sont dévolus à la réparation de la vulnérabilité, le reste est nécessaire aux activités de détection et de reporting sur les incidents. Pour autant, la notification d'une effraction ne coute que 4 euros. Explications.

En France, la notification n'est pas obligatoire, pour autant l'étude menée explique que seulement dans 35% des cas, les entreprises avaient prévenu leurs clients dans un délai d'un mois. Pourtant, le 24 mars dernier, le Sénat avait adopté une proposition de loi visant à publier toute faille de sécurité avec obligation de notification à la Cnil. L'idée était en fait une conséquence de la directive européenne 2002/58/CE qui devra, un jour où l'autre, être transposée en droit français.

Une telle loi pourrait permettre aux entreprises de mieux cerner leurs problèmes de vulnérabilités mais aussi de savoir quelles sont les conséquences qu'elles courent en termes d'image. De même, une avancée intéressante serait celle d'encourager les internautes à alerter les autorités en cas de découverte d'une faille tout en le protégeant. Par exemple, la rédaction de Clubic a été informée d'une faille de sécurité sur un site d'un grand ministère français. Contacté à ce sujet, le ministère a comblé rapidement la faille sans aucun autre mot de remerciement. Dommage…
Estimant que « la technologie impacte de façon spectaculaire la façon dont les gouvernements communiquent et s'engagent devant les citoyens», et dont les gens «construisent des communautés d'intérêt commun », Microsoft a annoncé le lancement d'une nouvelle application : TownHall. Le déclencheur, pour Microsoft, c'est l'élection américaine de 2008, qui a amené Barack Obama à la tête des Etats-Unis, et qui aurait « démontré avec des exemples forts le pouvoir d'Internet et la façon dont les gens s'organisent et s'engagent. »

Cette appplication, basée sur le cloud, permet à tout le monde, des hommes politiques au consommateurs, de parler des problèmes importants avec un hall de mairie (l'équivalent d'une agora dans l'imaginaire américain) virtuel. Un forum, en quelque sorte ? A peu près, sauf que le tout se présente sous forme de sondages proposés par les utilsateurs, type « La baisse des impôts pourrait-elle permettre de relancer l'économie ? »

Outre les résultats, des commentaires peuvent être affichés et rédigés sur chaque sondage. Un forum basé sur des questions fermées, donc. Ce nouveau réseau social politique propose également de « gagner des badges », un peu comme sur Foursquare, pour apporter une dimension ludique aux sondages : plus les utilisateurs votent, plus ils sont reconnus grâce à ces badges.

Microsoft se défend de vouloir faire un simple forum, puisque son but est de réinventer la façon dont les débats se font aux Etats-Unis, et de faciliter les débats sur les sujets importants. TownHall fait partie d'une suite baptisée Campaign Ready, qui dédie les technologies Microsoft aux campagnes électorales.
La Gesture Suite de Synaptics prendra désormais en charge nativement les systèmes Linux. La nouvelle suite de gestion des pavés tactiles de Synaptics étend donc la gestion de gestures complexes, comme les zooms, déplacements et rotations à plusieurs doigts.

Les systèmes d'exploitation d'ores et déjà annoncés comme étant pris en charge sont Fedora, Millos Linpus, Red Flag, SLED 11 (SuSE), Ubuntu et Xandros. Par extension, Synaptics estime que dans le cadre d'achat de machines équipées de ses pavés tactiles, cette suite de drivers sera aussi disponible gratuitement pour les « nouvelles saveurs de Linux », comme Chrome OS de Google.

La Synaptics Gesture Suite pour Linux (SGS-L) devrait gérer une gamme assez large de mouvements, comme le scrolling à deux doigts, le zoom par pincement, la rotation rapide par pivot des deux doigts, la rotation simple avec un doigt fixe et l'autre en mouvement, les chiquenaudes à trois doigts, la prise d'élan du curseur par effleurement, le ChiralScrolling (qui permet de faire défiler une page avec un mouvement circulaire sur le pavé tactile)... De quoi réviser le champs lexical du mouvement des doigts chez les Linuxiens, et apporter quelques-unes des fonctionnalités déjà disponibles sur Mac ou Windows. La page dédiée à la SGS-L propose des liens vers des vidéos pour se familiariser avec ces nouveaux gestes, disponibles dès aujourd'hui.TouchPad Gesture: ChiralScroll for vertical scrolling from Synaptics, Inc. on Vimeo.
Au milieu du chaos provoqué par le nuage de cendres et les perturbations du trafic aérien, certains s'organisent pour continuer à travailler ou pour entrer en communication avec leur entourage. Et pour ce faire, rien de mieux que la visioconférence : le secteur connaît d'ailleurs une hausse significative ses derniers jours.

Certains se frottent les mains. C'est le cas, entre autres, de Cisco Systems, dont l'une des branches est justement consacrée à la visioconférence : « Tous nos centres de démonstration et toutes nos salles de réunions virtuelles à travers le monde ont été prises d'assaut, que ce soit par des hauts dirigeants d'entreprise, des patrons de PME ou des ministres », a déclaré Fredrik Halvorsen, vice-président du secteur "téléprésence" chez Cisco.

C'est dans ce climat très favorable au secteur que Videoworks a fait son entrée, hier, sur le marché. Cette start up norvégienne a lancé une gamme de solutions de vidéoconférences basées sur la technologie de Sony, à destination des pays de l'Union européenne et de l'Association européenne de libre-échange.

Even Zimmer, le PDG de Videoworks, n'a pas caché sa satisfaction : « Le timing est très bon. Le marché est en pleine expansion et les conséquences du nuage de cendres ne vont pas disparaître de sitôt ». Ce dernier a également ajouté que la situation actuelle fera probablement réfléchir les entreprises sur les avantages de la vidéoconférence sur le long terme.Mais tout le monde n'est pas des plus favorables à cette explosion de la visioconférence dans l'urgence : lors de l'annonce de la réunion par caméras interposées des ministres européens en charge des télécoms, qui devait initialement se tenir à Grenade hier, Nathalie Kosciusko Morizet a exprimé ses doutes sur Twitter : « Le conseil des ministres européens du numérique programme a Grenade aujourd'hui aura lieu en visioconférence #fail » (sic), ajoutant plus tard sur son fil « Un conseil en visio c'est #fail pce que comme ce n'était pas prévu certains en tirent argument pour rejeter les discussions de fond » (sic).

NKM, contre la vidéoconférence ? Pas complètement, mais la secrétaire d'Etat prône une organisation plus avancée pour éviter que « certain en tirent argument pour repousser les sujets qui fâchent. » (sic). S'il n'est pas certain que les circonstances actuelles se prêtent à la meilleure des organisations, la visioconférence pourrait néanmoins offrir bien des avantages, aussi bien économiques qu'écologiques.

Enfin, notons que la vidéoconférence n'est pas uniquement salvatrice pour les politiques et les hommes d'affaires : elle l'est aussi pour les voyageurs malchanceux. Citons l'exemple de Sean et Natalie, un couple de tourtereaux qui devaient se marier en Angleterre le week-end dernier.

Bloqué en transit à Dubaï après un voyage en Australie, le couple, plutôt que d'annuler la cérémonie, a finalement décidé de se marier sur place, et de partager leur union avec leur proche... via Skype, avec un prêtre humaniste basé à Londres. « J'ai fait beaucoup de mariages humanistes mais jamais un comme ça. C'était génial. C'était un mariage parfait, il manquait seulement les mariés. », a-t-il déclaré.

Et si le phénomène perdurait après le nuage de cendres ?
Le logiciel interne de Google de gestion des mots de passe a bien été attaqué. L'information circulait mais elle est désormais confirmée, notamment par le New York Times. La récente attaque subie par la firme fait encore des dégâts puisqu'elle aurait affecté le programme interne de mot de passe du moteur de recherche.

Lors des attaques en janvier dernier, des pirates auraient pris le contrôle de l'ordinateur d'un employé chinois de Google en le piégeant via MSN. Ils auraient ensuite tenté de s'attaquer au programme Gaïa, du nom de la déesse grecque de la Terre, un logiciel de gestion des mots de passe bien caché du public car il n'a été décrit publiquement qu'une seule fois.

A la loupe, ce programme permet aux employés de Google de se connecter une seule fois avec leur mot de passe pour accéder à divers services comme la messagerie voire d'autres applications. Si certains experts craignent que les pirates aient installé un cheval de Troie pour "réaliser des opérations clandestines futures", les hackers n'ont apparemment pas récupéré de mots de passe d'utilisateurs.

De même, la méthode d'infection était plutôt simple puisqu'en cliquant sur un lien et en se connectant à un site vérolé, l'employé a permis aux hackers d'avoir accès à son ordinateur mais aussi aux ordinateurs d'un groupe de programmeurs au siège de Mountain View. Le motif avancé par Google était alors celui d'une attaque visant des militants des droits de l'Homme en Chine puisque deux comptes de la messagerie Gmail avaient été forcés. Pour l'instant, Google refuse d'en dire plus et de valider la thèse de l'infiltration pour espionnage économique et industriel. Pour l'instant…...
Le DrupalCon 2010 - la conférence dédiée au système de gestion de contenu (CMS) open source Drupal - a permis d'apprendre la date de sortie envisagée par son créateur Dryes Buytaert. Tout dépendra en fait selon lui de l'état d'avancement dans la résolution des 114 bugs critiques décelés à ce jour.

Actuellement en version bêta, Drupal 7 devrait marquer une étape importante dans le développement du CMS. « Légèrement plus lente que Drupal 6 », la future version devrait son créateur « mieux répondre aux exigences de montée en charge. » Autrement dit, le système devrait être plus adapté aux sites de grande taille, avec un fort trafic.

Dryes Buytaert a expliqué la longue attente - le code de Drupal 7 a été gelé en septembre 2009 - par la « difficulté à finaliser ce code. » Le créateur de Drupal souhaite avoir plus de contributeurs actifs, avec une vraie vision de ce que sera Drupal après la version 7. Selon lui, ce n'est pas encore le cas, puisque « la moitié des patches de Drupal 7 provient de seulement 25 contributeurs. » Il a d'ailleurs expressément appelé le public présent au DrupalCon à participer : « si vous vous y mettez tous, nous pouvons régler le problème rapidement. »

Malgré cette difficulté, Drupal semble s'inscrire un peu plus dans une stratégie professionnelle de création de sites web. De grands groupes, comme Accenture, Capgemini, ou IBM, ont lancé plusieurs projets basés sur le CMS, et Microsoft semble lui aussi se rapprocher de Drupal, en annonçant dans le même temps une mise à jour du pilote PHP - utilisé par Drupal - pour son SQL Server 2008. Une annonce encourageante pour Buytaert : « Regardez Linux, le projet n'a pas émergé vraiment avant qu'IBM se soit réellement impliqué, et que Dell ait commencé à livrer des machines tournant sur ses distributions. »
C'est à croire que la voiture de Google la suivait : une anglaise du nom de Wendy Southgate apparaît 43 fois sur Street View, le service complémentaire de Google Maps qui permet d'explorer en détails certains lieux.

C'est son mari qui, en "visitant" leur village de Elmswell situé à l'est de l'Angleterre, a découvert que sa femme avait été photographiée alors qu'elle promenait leur chien. "« J'ai été surpris quand j'ai vu Wendy, et puis je l'ai revue, encore et encore. J'ai compté 43 apparitions »".

La principale intéressée, quant à elle, a d'abord eu du mal à y croire, puis s'est rappelée la voiture de Google. « Je ne savais pas ce qu'elle faisait. Elle faisait le tour en roulant très, très lentement. », raconte-t-elle au Sun. Sur plusieurs plans, on peut d'ailleurs voir, malgré le floutage, que Wendy a la tête tournée vers l'étrange voiture, qui semble avoir également attiré l'attention de la Police locale.

A priori, le couple Southgate s'amuse plus qu'autre chose de la situation et n'a pas demandé à Google d'enlever les plans dans lesquels Wendy apparaît.

Mais Street View est un service qui n'est pas populaire partout : en avril 2009, les habitants de la ville de Broughton avaient bloqué la voiture de Google en créant une chaîne humaine, et en février dernier en Finlande, un homme avait déposé plainte après avoir été affiché sans pantalon sur le site.

Les situations insolites en rapport avec Google Street View ne sont donc pas rares, mais le cas de Wendy Southgate semble établir un record de présence sur le service. Après « Où est Charlie »...Agrandir le plan
Apple se retrouve au centre d'une action collective aux Etats-Unis pour ses capteurs d'humidité. Selon les plaignants, Cupertino utiliserait des capteurs défectueux, pour refuser aux consommateurs l'exercice de la garantie en cas de panne d'iPod ou d'iPhone.

La poursuite a été adressée à la cour de Caroline du Nord, et précise qu'Apple refuse toute couverture lorsque les Liquid Contact Indicators (LCI - les fameux capteurs d'humidité) montrent que « de l'eau ou un liquide contenant de l'eau a pénétré dans l'appareil. » Or, selon l'une des plaignantes, Charlene Gallion de San Francisco, les LCI ne sont pas fiable. Elle se serait vue refuser deux fois la garantie pour deux iPhones défectueux, au motif que ces capteurs avaient tourné au rouge, sans qu'aucun des deux appareils n'ait été en contact avec de l'eau.

Cela pourrait ressembler à une banale affaire de conflit sur la garantie, mais les capteurs d'immersion du téléphone d'Apple sont régulièrement mis en cause par les consommateurs. Plusieurs clients d'Apple ont témoigné de leur expérience auprès de médias américains. Selon l'un d'eux, lorsqu'il a présenté son téléphone à un « génie d'Apple » (les techniciens SAV présents dans les Apple Store), ce dernier aurait immédiatement attribué la cause d'une panne aux capteurs d'immersion, devenus rouges alors que pour le client, « l'appareil n'avait été à aucun moment en contact avec de l'eau. » En août dernier, Apple avait même admis que l'interprétation de l'état d'un capteur LCI nécessitait des compétences, et que son personnel pouvait parfois être « non qualifié pour déterminer si une panne était due à un matériel défectueux ou à un abus du consommateur. »
Constantin Film, le producteur allemand du film La Chute (Der Untergang) n'a pas vraiment d'humour. Il vient de décider de faire retirer toutes les vidéos, à savoir les nombreux mèmes, présentes sur Internet parodiant les scènes du film. Un choix qui paraît étonnant au vu de la quantité de vidéos détournées par de nombreux internautes mais aussi associations, juristes…

Constantin Film a donc choisi la date anniversaire de la naissance d'Adolf Hitler (il aurait eu 121 ans, sic) pour commencer à ordonner de retirer les vidéos portant sur les scènes de La Chute. La décision est plutôt étrange dans le sens où ce film a bénéficié depuis ces parodies d'un bon écho à travers le Web. De même, régulièrement un sujet d'actualité passait au crible de ceux qui ont la fibre humoristique. Preuve en est, le détournement orchestré par Maître Eolas dans l'affaire Zataz. Mème-orable.

Le producteur perd donc une publicité permanente et gratuite et risque de s'attirer le mécontentement des internautes. Il met également à terre un élan créatif sur le simple motif du respect du droit d'auteur. Une utilisation que l'on pourrait qualifier d'abusive vu qu'aucune copie illégale n'est vendue, aucun commerce directement visé…

Désormais lorsque l'on cherche des vidéos de parodie d'Hitler sur YouTube, nombre d'entre elles affichent ou vont afficher le message traditionnel : "Cette vidéo inclut du contenu de Constantin Film, qui l'a bloqué pour des raisons de droits d'auteur". Ach Nein.
le 20/04/2010 à 19:43
Google censuré dans 25 pays
Hier, sur son blog officiel, Google, par le biais de sa vice-présidente en matière de communications et d'affaires publiques Rachel Whetstone, a fait un rappel de sa position face à la censure sur le Web, quelques semaines après la "fin" de son conflit avec la Chine. Le moteur de recherche en profite pour rappeler que sur les 100 pays dans lesquels Google est disponible, 25 le censurent.

« Nous voyons ces tentatives de contrôle de plusieurs façons. La Chine est l'exemple le plus probant, mais ce n'est pas le seul. Les services de Google - de la recherche à Blogger, en passant par YouTube et Google Docs - ont été bloqués dans 25 des 100 pays où nous les offrons. », explique le site.

Si Google ne donne pas la liste complète des 25 pays qui brident ses services, il donne tout de même des pistes. Ainsi, le Vietnam semble poser les mêmes problèmes que la Chine. « Nous ne voulons pas nous livrer à la censure politique. C'est particulièrement le cas dans des pays comme la Chine et le Vietnam qui n'ont pas de processus démocratiques par lesquels les citoyens peuvent contester la censure. Nous évaluons soigneusement s'il faut, oui ou non, établir une présence physique dans les pays où la censure politique est susceptible de se produire. »

Par ailleurs, s'il exclut tout rapport avec les lois en vigueur dans certains pays en rapport avec le contenu proposé sur Internet, comme c'est le cas en Allemagne et en France avec le pro-nazisme, ou, plus largement, la pédophilie, le site évoque un conflit avec une loi locale turque : « En Turquie, des vidéos qui insultent le fondateur de la Turquie moderne, Mustafa Atatürk, sont illégales. Il y a deux ans, nous avions été informés d'un tel contenu sur YouTube et l'avions bloqué. Un tribunal turc avait, par la suite, demandé que nous les bloquions au niveau mondial, ce que nous avions refusé de faire, arguant que le droit turc ne pouvait pas s'appliquer à l'extérieur de la Turquie. Par conséquent, YouTube a été bloqué là-bas. »

Les 22 autres pays font sans aucun doute partie de la liste de l'Open Net Initiative citée par Google, qui précise que « le nombre de gouvernements qui censurent est passé d'à peu près 4 en 2002 à plus de 40 aujourd'hui. »

En somme, si les motivations du moteur de recherche « en faveur du droit du peuple et de la liberté d'expression » apparaissent comme toujours fortes, la censure, elle, n'a fait que gagner du terrain ces dernières années. « Nous sommes animés par la conviction que de plus amples informations signifient plus de choix, plus de liberté et, finalement, plus de pouvoir pour l'individu. », conclut Rachel Whetstone. Des idées forts louables, mais encore faut-il avoir les moyens de les appliquer...
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