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Microsoft n'a qu'à bien se tenir : Google redouble ses efforts dans le domaine de la bureautique. En effet, sur le blog de Google Documents, Jonathan Rochelle, responsable du groupe Produits, annonce qu'une nouvelle version de la suite Google Docs est actuellement en train d'être peaufinée. L'équipe de développement aurait revu de fond en comble les outils proposés pour l'éditeur texte, le gestionnaire de feuilles de calcul ainsi que l'outil de présentation. Notons l'arrivée d'une palette d'outils de dessins avec un éditeur dédié ainsi que de nouvelles fonctionnalités de collaboration.

Pour son traitement de texte, l'équipe de Google Docs s'est inspirée de Google Wave en rajoutant la collaboration en temps réel, c'est-à-dire caractères après caractères. Nous retrouvons également la possibilité de discuter des différentes modifications via un module de messagerie instantanée embarqué au sein d'une nouvelle barre latérale à droite. L'implémentation de ces technologies aurait d'ailleurs requis un travail de fond sur l'architecture. Cette dernière est maintenant capable de supporter l'édition dynamique des documents. Par la même occasion les options de formatage ont été améliorées avec une meilleure mise en page, un nouveau système de commentaires, des outils d'importation et d'exportation revus et corrigés ou encore une meilleure compatibilité avec les navigateurs les plus anciens. Cette rapidité se retrouve également sur le gestionnaire de feuilles de calcul. A partir du document l'utilisateur aura la possibilité de changer à la volée le champ des formules, de glisser-déposer des colonnes et toujours de travailler avec ses collègues en temps réel. Google introduit un nouvel éditeur de dessin sur lequel il sera possible de concocter quelques illustrations à l'aide d'un jeu de formes prédéfinies et différents outils. Ces créations pourront ensuite être insérées directement au sein d'un document.

Pour activer ces nouveautés, rendez-vous dans la section Paramètres > paramètres de Documents > Editing. Cochez la case intitulée "Créez des documents texte à l'aide de la dernière version de l'éditeur de documents ». Par la suite Google devrait travailler sur la prise en charge du mode déconnecté du HTML5, c'est-à-dire en intégrant les technologies de mise en cache Web Storage et Indexed Database. Voici ci-dessous une vidéo de présentation (en anglais).

Rappelons que le mois dernier Google a racheté DocVerse, un petit plugin qui vient se greffer aux applications de la suite Microsoft Office (éditions 2003 et 2007). DocVerse permet de sauvegarder ses documents sur Internet, de les synchroniser et de les mettre à jour automatiquement. La firme de Mountain View tente également d'attirer les utilisateurs de Microsoft Exchange et multiplie les fonctionnalités de migration vers ses services hébergés.
Le 23 mars dernier, la société norvégienne Opera Software annonçait la soumission à l'App Store d'une version d'Opera Mini pour iPhone. Trois semaines plus tard, Apple vient d'approuver le navigateur, qui est désormais disponible sur la plateforme de téléchargement iTunes.

Un dénouement heureux pour le navigateur, à l'heure où Apple a plutôt tendance à évincer les programmes entrant en concurrence directe avec ses propres applications. Le processus de validation a tout de même duré près de trois semaines, contre une seule en moyenne d'habitude. On imagine donc que la décision a du être difficile pour la firme de Cupertino.

En marge de l'annonce de la soumission du navigateur à Apple, Opera Software avait diffusé une vidéo démontrant qu'Opera Mini pouvait offrir une navigation jusqu'à 6 fois plus rapide que Safari, le navigateur natif de l'iPhone, grâce au système Opera Turbo qui qui réduit le poids des pages via compression des données côté serveur. Son système de cache offre par ailleurs un retour rapide aux pages précédemment visitées sans aucun rechargement. Enfin, sa page d'accueil permet d'intégrer jusqu'à 9 raccourcis pour accéder rapidement aux sites favoris, et le navigateur peut gérer jusqu'à 5 onglets ouverts en même temps.Télécharger Opera Mini pour iPhone et iPod touch sur Clubic !

Plus rien n'empêche désormais les adeptes de la machine d'Apple de se faire leur propre opinion.
Pendant toute la journée, l'Arcep (Autorité de régulation des communications électroniques) invite au débat autour du thème de la neutralité du Net. Sujet chaud puisqu'après l'ouverture de la consultation publique par le gouvernement, ce thème va nourrir des oppositions entre les partisans de la neutralité et ceux en faveur des mesures de régulation. Jean-Ludovic Silicani, le président de l'Arcep pose les bases : explosion de la demande de service en matière de mobiles, limitation du P2P ou de la VoIP, les accrocs sont nombreux pour estimer que les réseaux sont dénués de tout contrôle privé voire étatique. Selon le responsable, deux pratiques doivent être évitées. L'absence totale de gestion de trafic mais aussi une liberté totale dans ces pratiques seraient contraires à l'esprit d'Internet. Les esprits s'échauffent.

Plusieurs thèmes sont donc au coeur du sujet. Tout d'abord, l'opposition Europe-Etats-Unis. Yves Gassot, directeur général de l'Idate s'inquiète de "la concentration des grandes sociétés américaines sur ce secteur. La régulation des réseaux doit aussi prendre en compte le fait que ces grandes firmes Google, Apple, Facebook sont américaines et non européenne". Signe que si deux visions ne peuvent que s'opposer entre d'un côté des sociétés qui mettent en avant leur force économique et de l'autre des régulations européennes attentives au respect de leur régulation étatique et communautaire.

Tarik Krim, fondateur de Netvibes estime que les deux principales attaques à la neutralité des réseaux sont les OS qui "s'arrogent des pouvoirs". Il met en cause une "Term of servicisation de l'Internet" c'est-à-dire que les conditions commerciales des opérateurs ou des sites prennent le pas sur le reste du Web. Des barrières existent donc avec d'un côté des OS fermés qui brident certaines technologies (Apple et le Flash par exemple), et de l'autre certains sites qui décident par eux mêmes d'ajouter, à leur rythme, une dose de régulation.

Autre opposition entre Europe et Etats-Unis, celle de la fibre et du sans-fil. Thimothy Wu, professeur à l'Université de Columbia, estime que l'approche américaine s'appuie sur le sans fil alors que la fibre se développe en Europe. Il saisit un iPad et lance "Regardez l'iPad par exemple. Cela peut être une clé pour l'avenir."

Cette journée de débat commence donc par poser les bases de la discussion. Nul doute que les 6 experts nommés par le secrétariat d'Etat à l'Economie numérique, dirigé par Nathalie Kosciuzko-Morizet s'intéresse aux observations des spécialistes puisque deux de ses experts sont présents dans la salle… Pour autant, chacun peut suivre les débats en vidéo à cette adresse jusqu'à 18h15. Même Clubic écoute attentivement.
Une fois de plus les propos du PDG de Google Eric Schmidt ont laissé une audience mitigée. En effet, lors de la conférence annuelle de l'ASNE (American Society of News Editors), ce dernier s'est exprimé au sujet du marché actuel de la presse en ligne.

L'Associated Press rapporte les propos de M.Schmidt qui déclarait alors : "nous comprenons le caractère fondamental de votre mission", après avoir affirmé que le quotidien était un aspect fondamental de la démocratie. Paradoxalement c'est véritablement le géant de Mountain View qui est pointé du doigt par ces éditeurs. En effet, les représentants de la presse en ligne - à l'étranger comme en France - ont plusieurs fois critiqué le service Google News indexant les dernières actualités de différents sites Internet. En décembre 2009, Google avait ainsi dû limiter le nombre d'articles consultables gratuitement.

A en croire M. Schmidt, le marché de l'actualité en ligne devrait, à terme, trouver un véritable modèle économique combinant revenus publicitaires et formules de souscription. Sans plus détails, Google souhaiterait même faciliter la mise en oeuvre de ce modèle économique. "Nous sommes tous dans le même lot", déclarait-il ainsi. Parmi les solutions proposées, Schmidt évoque un contenu personnalisé selon les attentes du lecteur ou une stratégie multi-format avec notamment une version des magazines pour smartphones et tablettes.

Google saura-t-il répondre aux besoins des éditeurs ? Pour l'heure les regards se tournent davantage vers Apple et son iPad. Les nouvelles versions plus interactives des magazines justifient en effet de nouveaux modèles de souscription. Cela metterait-il la pression à la firme de Mountain View ? Quoiqu'il en soit tout le monde ne semble pas convaincu des motivations de Google, à l'image d'Anders Gyllenhaal, PDG du Miami Herald et pour qui Google suivrait un chemin bien différents des éditeurs de contenus en ligne.

Rappelons qu'en septembre 2009, le même Eric Schmidt s'était exprimé au sujet de la stratégie de Ruper Murdoch. Le grand magnat de la presse avait en effet déclaré vouloir repasser à un modèle payant pour plusieurs de ses magazines en ligne parmi lesquels nous retrouvons The Wall Street Journal, The New York Post, The Sun, The Times, The Australian, etc . Eric Schmidt avait alors déclaré : " En général, ces modèles (payants) ne fonctionnent pas auprès du grand public, parce qu'il y a assez de sources gratuites sur le web... Payer n'est pas justifié, étant donné le nombre d'informations librement accessibles".
Zaoza, filiale de Vivendi Mobile Entertainment, s'est félicité jeudi dernier des bons résultats enregistrés par son service de distribution et de partage de contenus en ligne. Il compterait aujourd'hui 900 000 abonnés, dont 670 000 se seraient au moins une fois acquitté du montant de l'abonnement demandé. Pour Cédric Ponsot, directeur général, Zaoza prouve à sa façon que l'internaute n'est pas qu'un incorrigible amateur de gratuité.

La clé du succès ? Une offre facturée 5 euros par mois, sans engagement, avec laquelle on accède à l'intégralité des contenus (albums, vidéos, jeux vidéo) proposés par la plateforme. A ce prix, on accède à des albums complets d'artistes tels que Lady Gaga, U2, les Black Eyed Peas, Air ou Sébastien Tellier. Du côté de la vidéo, des formats courts adaptés de séries à succès, des extraits d'émission TV, mais aussi des longs métrages ou des dessins animés. L'offre comprend également des jeux vidéo de type casual et, depuis peu, quelques bande dessinées proposées sous un format numérique.

Distribués sans mesure technique de protection contre la copie, les contenus restent accessibles même après que l'internaute a résilié son abonnement, et peuvent être transférés assez largement sur ses ordinateurs, téléphones mobiles et autres appareils multimédia, en fonction des conditions associées à chacun d'entre eux. « 5 euros par mois, ça n'est pas facile, mais c'est la barre fatidique », a expliqué Cédric Ponsot à l'occasion d'une soirée organisée pour fêter les deux ans du service.

Une fois établi ce premier contact, la principale difficulté réside dans le fait d'inciter l'internaute à régler son abonnement tous les mois et à ne pas mettre fin à ce dernier une fois qu'il a récupéré tous les contenus qui l'attiraient. Pour ce faire, Zaoza mise sur un outil de partage communautaire intégré à la plateforme, permettant d'héberger ses fichiers et de les diffuser à ses proches, ainsi que sur une offre éditoriale se renouvelant à intervalles réguliers. En fer de lance, une série d'exclusivités et d'avant-premières, issues notamment des différentes activités du groupe Vivendi.

Dernier argument majeur : le fait que les contenus soient accessibles aussi bien sur ordinateur que sur téléphone mobile. Aux côtés d'une application iPhone déjà disponible, Zaoza annonce d'ailleurs l'arrivée d'un logiciel dédié à l'iPad, ainsi que la mise en branle prochaine d'accords avec des fabricants de téléviseurs connectés à Internet. En parallèle, la filiale de Vivendi évoque la signature prochaine de nouveaux accords commerciaux avec Studio Canal, des partenariats à venir avec M6, ainsi que le développement de son offre à l'international, par l'intermédiaire de l'opérateur allemand E-Plus (19 millions d'abonnés, filiale du hollandais KPN).

Il serait donc possible d'amener l'internaute à payer pour des contenus en ligne, pour peu que l'on parvienne à lui proposer l'offre qu'il attend au juste prix. Reste ensuite la question de la rentabilité du service, sur laquelle Zoaza ne s'étend guère pour l'instant. Le service réaliserait toutefois un chiffre d'affaires mensuel de l'ordre du million d'euros. Il affirme par ailleurs recruter entre 50 et 75 000 nouveaux abonnés par mois, score qu'il envisage d'augmenter grâce à la vente prochaine de cartes prépayées distribuées dans les enseignes du groupe Casino.
Beaucoup d'articles sont publiés pour aider les développeurs PHP, pour améliorer les différentes approches, aider à utiliser les nouveaux outils, etc... Mais il est beaucoup moins répandu d'aider les autres métiers comme les chefs de projets.

Chris Roane a publié sur le site SitePoint.com quelques « anti-conseils » des points à éviter, si vous devez tenir le poste de chef de projets.

- Ne pas communiquer clairement avec vos clients
- Si vous ne respectez pas un délai sans en informer votre client
- Toujours sous-estimer les ressources nécessaires à un projet
- Ne jamais admettre de faire une erreur
- Passez très peu de temps à écrire des emails
- Mal préparer une réunion

- 14 Ways to Be the World s Worst Web Project Manager
le 13/04/2010 à 19:10
Liste définitive de sécurité PHP
Le site SK89Q a réalisé une synthèse sur la sécurité qui vous sera utile.

- Partie commune
- Les données saisies
- Les données affichées et publiées
- L'encodage
- Les fichiers téléchargés
- Les bases de données
- L'authentification
- Les sessions et les cookies
- Les sites à distance
- Hote partagé

- Definitive PHP security checklist
Le site de Mozilla propose depuis quelques jours de télécharger la bêta de la nouvelle mouture de Firefox, dont l'évolution majeure est de protéger contre les crashs de plugins. Il s'agit de la seconde pre-release basée sur la version 1.9.3 du moteur de rendu Gecko, destinée à stabiliser le navigateur.

En effet, à l'instar de Chrome, la version Lorentz de Firefox sépare les processus pour mieux les isoler en cas de problème. Si l'un des plugins plante, seul l'onglet dans lequel est chargé ce dernier sera fermé par le programme pour conserver la stabilité du système.

La page de téléchargement de la bêta annonce actuellement trois plugins sous surveillance : Quicktime, Flash et Silverlight, mais la version définitive offrira un contrôle bien plus étendu des extensions de Firefox. A noter que cette fonction n'est pour le moment disponible que sous Windows et Linux.

Une nouvelle qui intervient quelques jours seulement après l'annonce du caractère multi-processus de WebKit2, qui devrait démocratiser à plus ou moins long terme ce type de fonction sur les navigateurs développés actuellement sous Webkit, tel que Safari.

Quant à la version 3.6.4 de Firefox, elle est toujours attendue pour le mois de mai.
Les fournisseurs d'accès à Internet européens en ont après Google : trois d'entre eux, France Télécom, l'Allemand Deutsche Telekom, et l'Espagnol Telefónica, viennent de déclarer au Financial Times que Google devrait leur verser « une compensation pour transporter du contenu comme Youtube sur leurs réseaux, car la vidéo sature rapidement leurs infrastructures ADSL et mobile. »

Selon Stéphane Richard, président de France Télécom, « il y a quelque chose de tout à fait anormal et contraire à la logique économique dans le fait de laisser Google utiliser nos réseaux sans en payer le prix. » Derrière ces annonces, il y a évidemment la crainte que Google verrouille le marché de la publicité mobile comme il l'a fait pour le web. Telefónica tient par exemple à sécuriser une grande partie des recettes sur ce marché naissant.

France Télécom estime de son côté que Google réduit les opérateurs à des « tuyaux muets », donc à leur seul rôle de fournisseur d'infrastructure. Ce qui éroderait la relation entre les FAI et leurs clients. De plus en plus d'utilisateurs seraient ainsi plus intéressés par les fonctionnalités de leurs outils (Android, Google, Windows Mobile, Maemo, etc.) que par le réseau sur lequel ils sont. Et les opérateurs de critiquer ce que leur verse Google en contrepartie : rien ou pas beaucoup plus. Selon César Alierta, président de Telefónica, « ces gens utilisent les réseaux et ne payent personne. » Il estime que si aucun accord de partage des revenus n'est signé entre les moteurs de recherche - Google en tête - et les FAI, il faudrait en venir à une réglementation.

Les opérateurs de télécommunications pourraient chercher à s'allier avec des groupes qui partagent leur point de vue, comme les médias. La récente annonce de Rupert Murdoch, le plus important magnat mondial de la presse, a pu conforter les FAI dans leur volonté : le patron de News Corp veut empêcher Google d'utiliser les contenus éditoriaux des publications de son groupe sans payer. Une problématique identique, sauf que les opérateurs sont bien en charge de l'infrastructure. Et c'est ce qui pourrait poser problème, car si un accès dégradé était proposé sur des sites comme Youtube faute d'accord, ce sont les FAI qui pourraient en pâtir auprès de leurs clients. Pour Craig Labovitz, spécialiste de la sécurité réseau chez Arbor Networks, « les opérateurs ont peu de pouvoir pour négocier de nouveaux arrangements. »

Une situation qui pourrait surtout pénaliser les consommateurs au final, en portant atteinte à la neutralité des réseaux. Car les opérateurs payent aujourd'hui la vente d'offres haut débit grand public basées sur un marketing du contenu. Ce sont bien des services comme Youtube qui ont permis de vendre des abonnements ADSL, et il y a peu de chances que les clients suivent les FAI sur ce problème. Avec le risque qu'au final, un Internet à deux vitesses se développe : plus de bande passante pour les clients gourmands, avec un tarif supérieur à ceux qui auront le service de base. Ou, plus radical, le blocage de certains ports, comme ceux utilisés pour le peer-to-peer, pour décongestionner les réseaux. Un débat qui devrait revenir bientôt, puisque la Commission européenne commence à s'intéresser de près à la neutralité du net.
Ce weekend, le populaire site de micro-blogging Twitter a annoncé le rachat de la société Atebits éditant notamment le client Tweetie pour Mac OS X et iPhone. Evan Williams, PDG de Twitter, explique sur son blog officiel que cette acquisition n'est qu'un premier pas vers le marché du mobile pour la société.

Disponible au travers de l'App Store, Tweetie pour iPhone permet la gestion de plusieurs comptes Twitter. L'utilisateur sera en mesure d'opérer les fonctionnalités clés du réseau à savoir : envoi de messages publics ou privés, publication de photos ou de vidéos en configurant les hébergeurs tiers de son choix ou encore la lecture des dernières mises à jour de ses contacts. Tweetie offre également des outils bien plus avancés comme la prise en charge du mode déconnecté, un système de sauvegarde automatique, une lecture des messages par fil de discussion, mais aussi un système de traduction de tweets ou encore une géo-localisation de ces derniers. Initialement proposée pour 2,99 dollars, l'application est désormais disponible gratuitement.

Loren Brichter, fondateur de Atebits, devrait rejoindre les équipes de Twitter et travailler sur une application spécialement conçue pour l'iPad d'Apple. Ce n'est pas la première acquisition du groupe. Par le passé, la start-up a investi dans Summize pour la création de son moteur de recherche et Mixer Labs pour ses fonctionnalités de géo-localisation. Rappelons que la semaine dernière, le canadien Research In Motion a lancé une première bêta pour son client Twitter à destination des smartphones BlackBerry.
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