News

le 04/04/2010 à 23:52
Kit de sécurité PHP
Le site PHP Sources propose un article pour bloquer l'accès au site à des adresses IP hackeuses. La détection des IP hackeuses s'effectue avec l'aide de scripts évolués.

Le site montre différentes étapes pour mettre en place ce repérage :
- Installation du kit de sécurité
- Mise en place des fonctions pour stoker les IP dans des fichiers
- Mise en place des redirections
- Une option : Nettoyage du répertoire qui contient les IP blacklistées

Mais il ne faut pas perdre de vue qu'il s'agit d'un complément et non la solution miracle qui va répondre à l'ensemble des points de sécurité connus.

- Kit de sécurité PHP
le 03/04/2010 à 23:50
Web2project
web2Project est un PMS (project management System) en Open source et basé pour un environnement AMP (Apache/PHP/MySQL). Il s'agit d'une application permettant de gérer facilement vos projets.

De nombreuses caractéristiques sont présentes :
- Infrastructure sécurisée sur le web
- Gestion de plusieurs projets en simultané
- Gestion d'ajout et de suppression de modules suivant vos besoins
- Centralise le projet de communication
- Présence d'un diagramme de Gantt pour gérer vos projets
- Présence d'un calendrier indiquant les tâches et évènement

Un outil très intéressant pour gérer un ou plusieurs projets.

- Site officiel Web2project
- Capture ecran Web2project
- demo web2project
le 03/04/2010 à 23:50
Google Summer of code 2010 est ouvert
Le Google Summer of code (GSoC) 2010 est ouvert depuis le début du mois. Actuellement 150 projets ont été retenus dont certains autour de PHP comme Drupal.

Le résultat obtenu à la fin du délai, ne profite pas directement à Google. Google retient différents projets open source et sponsorise en attribuant un certain nombre de « slots ». Bien entendu, chaque slot correspond à un étudiant, sélectionné directement par l'organisation.

- Site officiel GSOC 2010
- Google vient d'annoncer les 150 projets retenus pour le Summer of Code 2010:
- Wiki GSoC 2010
Deux jours après avoir mis à jour les précédentes branches du logiciel, Mozilla a publié jeudi soir Firefox 3.6.3, une nouvelle version de son navigateur vedette qui n'apporte aucune nouvelle fonctionnalité mais corrige la faille de sécurité exploitée en fin de semaine dernière dans le cadre du concours Pwn2Own.

Chaque année, cette compétition invite les meilleurs experts en sécurité à débusquer des vulnérabilités au sein des principaux navigateurs Web du marché. « Nils », 26 ans, qui représentait la firme britannique MWR InfoSecurity avait réussi à prendre le contrôle d'une machine équipée de Windows 7 en exploitant une vulnérabilité de Firefox liée à la façon dont le navigateur gère les noeuds DOM et susceptible d'entraîner une corruption de la mémoire vive du système.

Bien que les modalités d'exploitation de cette vulnérabilité n'aient pas été rendues publiques, Mozilla a donc pris le parti de la combler très rapidement. On pourra récupérer Firefox 3.6.3 directement depuis le module de mise à jour intégré au logiciel.
Initié en septembre dernier, avant même la mise à disposition du logiciel pour le grand public, le programme d'essai gratuit de Windows 7 en entreprise sera finalement prolongé jusqu'au 31 décembre 2010. Cette formule, qui permet de télécharger et d'installer gratuitement une édition professionnelle de Windows 7 pour une période de 90 jours, devait initialement prendre fin le 31 mars dernier.

Proposée en cinq langues, dont le français, cette version d'évaluation s'installe sans numéro de licence, et doit impérativement être activée sous dix jours. Pour accéder au téléchargement, il faudra disposer d'un compte Live, et renseigner quelques informations quant à l'usage que l'on souhaite faire du logiciel. Au delà des 90 jours, le système s'arrêtera de fonctionner toutes les heures.

Pour Microsoft, l'objectif est convaincre entreprises et professionnels de se familiariser avec les nouveautés du système et d'en vérifier la compatibilité avec les équipements et applications métier utilisés à date avant, pourquoi pas, d'envisager un déploiement que pourrait motiver un renouvellement du parc d'ordinateurs.

Toujours dans l'idée d'accélérer le passage vers Windows 7, l'éditeur a récemment mis à jour l'outil permettant de virtualiser Windows XP au sein de son dernier système de façon à assurer le fonctionnement de ce dernier sur des machines dont le processeur ne dispose pas d'instructions matérielles de virtualisation.
La firme Google explique les raisons pour lesquelles ses sites étaient indisponibles en Chine ce mardi. Un porte-parole de l'entreprise californienne estime que la source du blocage était due à un problème lors de la recodification des paramètres de recherche.

Google a, en effet, été obligé de rediriger les requêtes chinoises vers ses serveurs à Hong Kong suite aux censures exercées contre le site Google.cn. L'ex-colonie britannique est une région administrative spéciale de la Chine jouissant de plus de libertés que le reste du pays, notamment d'un Internet non censuré. Malgré ce départ, toute recherche s'avérait impossible et accompagnée d'un message d'erreur écrit en chinois.

La piste des cyber-attaques est donc écartée pour le moment puisque le moteur de recherche a précisé que ce problème avait été provoqué par « une modification interne de son code source ». Pour autant, la situation reste sensible entre l'Empire du Milieu et Google même si la firme semble se refaire une santé en Chine. Sina, premier portail internet de Chine, a annoncé qu'il comptait réexaminer sa coopération avec Google. D'autres comme Tianya, l'un des portails les plus populaires du pays ont mis fin à leur partenariat. Chacun semble choisir son camp.
La plate-forme européenne de signalement des cybercrimes ne verra pas le jour sous la forme d'un guichet unique pour tous les citoyens de l'Union. C'est la conclusion de l'atelier « Plate-forme de signalement de contenus illicites : vers une plate-forme européenne », dans le cadre du 4ème Forum international sur la cybercriminalité, organisé hier et avant-hier à Lille. Le processus d'intégration, lancé sous la présidence française de l'Union européenne en juin 2008, est cependant toujours d'actualité.

Si le commissaire de la Federal Computer Crime Unit (FCCU) belge, Laurent Bounameau, voit « un guichet unique virtuel », pour l'officier de police rattaché à la Commission européenne Radomir Jansky, « la plate-forme ne peut pas uniquement exister au niveau d'Europol ». Le service européen d'enquêtes criminelles doit plutôt « utiliser les outils existants pour les incorporer à sa plate-forme, et c'est ce qu'il a su faire. » La problématique est complexe : sur les 27 Etats de l'Union, 16 ont déjà une plate-forme de signalement étatique, 4 ont adopté une structure mixte public-privé, et 7 n'ont pas du tout de solution. Radomir Jansky estime que ces pays, « l'Espagne, l'Estonie, la Hongrie, la Pologne, les Pays-Bas, le Portugal et la Slovaquie », devraient être bientôt pourvus grâce à une aide d'Europol. Pour autant, la diversité des situations empêche toute intégration européenne du signalement des cybercrimes.

Pas de signalement unique, donc, mais une centralisation des bases de données. L'intérêt de conserver les points d'accès pour les citoyens au niveau des Etats-membres est aussi financier : la plate-forme d'Europol « n'a coûté que 300 000 euros », précise Radomir Jansky, sur un budget total du programme « Prévenir et combattre la criminalité » (ISEC) de 85 millions d'euros en 2010. A noter que ce programme ne gère pas que la criminalité en ligne, qui n'est qu'une petite partie du budget.

Pour Nicola Dileone, officier de police à Europol, le constat est le même : « Il est impossible de gérer 27 réalités sur le signalement. Il faut une gestion du système par chaque état-membre, et une centralisation des données au niveau européen. » La superplate-forme Icros (Internet crime reporting online system), qui devrait être lancée au sein d'Europol avant la fin de l'année, sera donc chargée de regrouper ces bases de données, pour une analyse complète par l'Analytical work file cyborg. Nicola Dileone explique l'importance de cette centralisation par la possibilité d'avoir les alertes très tôt : « Nous avons besoin de données. Nous avons besoin d'informations. » Et de coordination, pour que les données ne soient pas inutilisables. « Souvent, on reçoit des signalements, et on lance une enquête, alors qu'elle est déjà traitée par les polices nationales. »

En France, c'est la plate-forme Pharos qui gère l'interface avec les citoyens. Une fois signalée, l'information part au niveau européen. Une situation particulière pour la gendarmerie et la police : le lieutenant-colonel de gendarmerie, Alain Permingeat, explique que « les enquêteurs ont l'habitude de faire de la recherche, de la veille. Là, on reçoit directement les signalements. » Toute la question est donc de réussir à trier dans les nombreux témoignages reçus. Si les 8 à 9 pages de formulaire à remplir en ligne découragent « les plaisantins », il y a tout de même eu 12 419 signalements en 2008, alors que la plate-forme n'était pas officielle. Après le lancement en 2009, ce chiffre est monté à 52 353. Sur ces signalements, 6 000 ont été traités, et 313 ont fait l'objet d'enquête au niveau national, tandis que 1 800 ont été transmis à Europol.
Windows 7 rencontre un franc succès, tant en terme de parts de marché que de taux de satisfaction, d'après les rapports de plusieurs cabinets d'études. Le dernier système d'exploitation de Microsoft réalise un beau départ, cinq mois après son lancement, en octobre dernier, bien que Windows XP soit encore loin de céder la première place.

Les derniers chiffres de Net Applications montrent effectivement que Windows 7 a déjà dépassé une part de marché mondiale de 10%, confirmant l'annonce par Microsoft des chiffres de vente, un résultat que son prédécesseur Windows Vista avait mis quinze mois à atteindre. L'adoption du dernier né se fait d'ailleurs surtout au détriment de son prédécesseur, avec un rythme trois fois plus rapide que lui en son temps, tandis que Windows XP décline à peine. Windows 7 est déjà deux fois mieux représenté que Mac OS X, toutes versions confondues.

Les premiers utilisateurs de Windows 7 se disent globalement "très satisfaits" par le système d'exploitation, d'après une étude du cabinet Forrester Research. Plus de 80% de ses utilisateurs lui ont effectivement attribué une note de 4 ou 5 sur une échelle de cinq, contre une moyenne de moins de 75% pour l'ensemble des systèmes d'exploitation Windows. Près de la moitié des sondés a en revanche déclaré qu'elle ne voyait aucune raison de mettre à niveau Windows XP.

C'est néanmoins la première fois que l'adoption d'un système d'exploitation est autant le fruit d'une mise à niveau depuis une version plus ancienne que le fruit de l'acquisition d'un nouvel ordinateur. 45% des utilisateurs ont acheté un ordinateur livré sous Windows 7, ce qui représente traditionnellement la méthode majoritaire d'adoption d'un nouveau système d'exploitation, mais cette fois 43% ont spontanément mis à jour un ordinateur qu'ils possédaient déjà. Les 12% restants l'ont obtenu "autrement", sans qu'on sache ce qu'il advient des utilisateurs qui ont bénéficié de la mise à niveau "gratuite" pour avoir acheté un ordinateur peu de temps avant le lancement de Windows 7.

"Le plus grand rival de Windows 7 n'est pas le Mac," conclut un analyste de Forrester, "c'est Windows XP".
Le Forum international sur la cybercriminalité, qui s'est tenu hier et avant-hier à Lille, présentait une conférence sur les jeux d'argent et de hasard en ligne. Actualité très chaude, puisqu'au même moment était discuté le projet de loi à l'Assemblée nationale. Voté conformément au texte du Sénat, il devrait être adopté dès le 6 avril par la chambre haute du Parlement.

Le projet de loi met en place une nouvelle institution indépendante : l'Arjel, Autorité de régulation des jeux en ligne. Pour François Trucy, le rapporteur UMP du projet au Sénat, c'est une réponse à « un marché illégal des jeux en ligne insupportable, qui s'est développé sous le nez des législateurs. » Il estime le marché total des jeux en ligne à 3 milliards d'euros en chiffre d'affaire. Un seul milliard revient au PMU et à la Française des Jeux désormais appelée FDJ, les milliards restant sont une estimation du marché noir.

Pour contrer cet état de fait, la future loi doit ouvrir le marché à la concurrence avec des règles strictes. L'Arjel, dont une mission de préfiguration travaille déjà, doit avoir « pour but de faire réussir les opérateurs qui auront choisi la légalité, et donc auront obtenu l'agrément de l'Arjel », tout en offrant un arsenal répressif contraignant contre les sites illégaux. L'Arjel, qui regroupe sous une autorité unique les prérogatives de 11 ministères et organismes concernés jusqu'à aujourd'hui, propose plusieurs armes de répression.

La saisine du Tribunal de grande instance de Paris est prévue pour demander aux fournisseurs d'accès à Internet de cesser la diffusion d'un site illégal hébergé. D'autre part, la publicité pour un tel site sera interdite pour « tous les médias », selon Frédéric Epaulard, secrétaire général de la mission de préfiguration de l'Arjel. Cette infraction sera punie de 100 000 euros d'amende, un chiffre que le juge pourra sur simple motivation multiplier par quatre. Cette mesure vise l'ensemble de la chaîne publicitaire. Dernière mesure inscrite dans le projet : « il sera possible de demander aux banques de bloquer les transferts des gains entre le compte de l'opérateur et celui de l'internaute. »

Une opération de récupération des numéros de comptes sera donc nécessaire. Aucun problème, selon François Trucy, qui annonce la mise en place de cyberpatrouilleurs. Ces agents pourront facilement effectuer les opérations faites normalement par des joueurs, et récupérer les informations bancaires des sites.Questions de droit

Frédéric Epaulard, qui rappelle que la loi n'est toujours pas promulguée, et que toutes les annonces sont donc à la condition qu'elle soit adoptée, soulève plusieurs questions de droit que l'Arjel devra régler. La première, c'est la définition d'un site illégal. Pour le secrétaire général, « la loi n'en donne pas de définition précise. Par déduction, nous considérant comme illégal tout site qui n'a pas obtenu l'agrément, et qui s'adresse à la population française. »

Or où situer la frontière entre un site Canadien par exemple, qui va viser une clientèle française en grande partie, et un site européen qui n'aurait qu'une petite partie dédiée aux paris sportifs français ? C'est un vrai problème pour Frédéric Epaulard, qui estime que « l'Arjel devra se construire sa jurisprudence. Certains événements importants en France, comme la finale du championnat de la Ligue 1 de football, vont faire l'objet de paris sur des sites étrangers, sans qu'il y ait une vraie stratégie en direction des joueurs français. » Si l'utilisation de la langue française sur un site peut être un indice, ce n'est pas suffisant. « Nous devrons trouver une définition. »

Pour l'avocat Thibault Verbiest, animateur de la conférence, le problème est intéressant sur le plan juridique : « Un arrêt de la cour de cassation de moins de trois semaines a déterminé à quelles conditions on pouvait considérer qu'un site étranger a une démarche active pour le public français. Dans le même temps, une question préjudicielle du Tribunal de grande instance de Paris à la cour de justice attend un arrêt. » Il pourrait fixer des normes uniformes en la matière.

Originalité du projet de loi : le seul tribunal référent est à Paris. Le choix d'une chambre dédiée du Tribunal de grande instance de la capitale doit « éviter de devoir courir d'un TGI à l'autre aux quatre coins de la France », explique François Trucy.L'impossible équation technique ?

Si la question de l'application technique des dispositions légales reste entière, Cyril Lévy, spécialiste des questions de sécurité liées au jeu en ligne au sein de l'agence Salamandre, y apporte quelques éléments concrets. « Il existe plusieurs outils d'anonymisation en ligne. » Et pour François Trucy, pas question de refaire l'erreur de la loi sur Hadopi, pour laquelle le Parlement « n'a pas le sentiment d'avoir produit l'arme ultime. »

Estimant qu'avec « plus de 25 000 sites de jeu en ligne, il est impossible d'effectuer un vrai filtrage », Cyril Lévy donne deux pistes. D'abord, la création d'une liste de sites illégaux, transmise aux fournisseurs d'accès à Internet (FAI). Cela implique une vraie participation des FAI, qui deviennent « des auxiliaires de police ». Une solution efficace pour « contrôler l'accès d'un public non expert, mais les ressources des sites sont énormes, et ils trouvent constamment des parades. Cette solution ne peut durer qu'un certain temps. » Autre solution : un reroutage des Français vers les versions françaises des sites internationaux qui auraient obtenu l'agrément. « Cela ne présente aucun challenge technique, la plupart des outils de géolocalisation sont déjà en place pour les opérations de contrôle et de paiement. »

Limites à ces solutions : le peer-to-peer a déjà montré leur inefficacité, et le manque de nuances dans le blocage des sites : « certains ont des pages qui seront proscrites, mais d'autres pages qui sont du play for fun, sans enjeu financier, ou des pages éducatives sur le jeu en ligne. Il est délicat d'interdire globalement un site s'il n'y a que quelques pages litigieuses. » Cyril Lévy estime que « le mieux, ce serait de taper sur des sites très actifs, comme certains opérateurs canadiens qui visent explicitement une audience française. Sauf que les audiences réelles sont difficiles à obtenir, et que personne ne connait vraiment les leaders du secteur. » Il évoque cependant « de nouvelles solutions intelligentes de contrôle à distance. » Des systèmes évolutifs qui pourraient enrichir les bases de données à proscrire, en prenant en compte les pages de play-for-fun et les audiences des sites.
Le géant Microsoft vient de voir sa requête rejetée auprès de la Cour d'appel des Etats-Unis. Pour la seconde fois, la firme reste accusée d'avoir violé des brevets liés au traitement des fichiers XML dans Word. Dans un communiqué, la société canadienne i4i explique que la Cour d'appel fédéral a rejeté la demande de Microsoft afin de réexaminer le dossier par un panel de 11 juges.

Déjà, le 22 décembre dernier, le tribunal d'appel avait condamné Microsoft à verser 290 millions de dollars à i4i et avait délivré une injonction interdisant la vente de son logiciel Word sur le sol américain. Cette fois, Loudon Owen, Président d'i4i, a déclaré : « Le processus fut long et ardu, mais cette décision renforce fortement le message selon lequel les petites entreprises et les inventeurs titulaires d'une propriété intellectuelle peuvent être protégés et le seront ».

La décision était déjà une confirmation du jugement de première instance en faveur de la société canadienne. De quoi pousser le géant de Redmond dans ses retranchements. Du coup, Microsoft avait été obligé de retirer la fonction XML de Word 2003 et 2007 des versions vendues outre-Atlantique. Un choix contraint dans la mesure où la plainte d'i4i reposait sur une demande soumise en 1994 et validée par le bureau américain des brevets (USPTO) en 1998.

Microsoft a désormais l'option de faire à nouveau appel ou de se tourner vers la Cour Suprême pour obtenir une révision du jugement et surtout contester sa condamnation à verser 290 millions de dollars.
LoadingChargement en cours